LA scape N'EST PAS...

De la chasse sans fusils. Les scènes de vies sauvages ne peuvent s’observer que lorsque la faune est apaisée.
Cela peut prendre plusieurs années après le passage de la terreur cynégétique !

 

...de la photo animalière...

…Bien que de nombreux photographes animaliers se reconnaissent dans ses valeurs, la scape ne se limite pas à l’immortalisation photographique des scènes de vies sauvages.
À la préhistoire, ils peignaient les murs des cavernes.

Mais ce qui distingue surtout scape d’autres loisirs de pleine nature, c’est la recherche de scènes de vies authentiques. Leur aspect esthétique ou spectaculaire n’a d’intérêt que dans le choix du support d’immortalisation.
Elles peuvent être racontées ou même, n’être qu’un souvenir (immortel).
Les plus beaux souvenirs sont souvent ceux que l’on n’a pas enregistré.

...une compétition...

Pour éviter les dérives toujours préjudiciables à la faune, la scape n’organise pas de concours ou de vente et n’encourage pas la compétition. 

...contre la chasse...

La scape ne s’oppose pas à la chasse alimentaire, elle remplace les hordes armées qui terrorisent les campagnes, n’ont plus rien à voir avec des prédateurs naturels.
L’élevage et la reproduction de leurs cibles vivantes prouvent que leur seul plaisir est de faire un maximum de victimes. Les chasseurs ont multiplié par cinq le nombre de sangliers depuis qu’on les subventionne pour les « réguler » !
Selon les chasseurs, la « régulation » n’est pas de la chasse. Elle est souvent contre-productive et devrait être confiée à des professionnels ou l’armée pour éviter les conflits d’intérêts.

 

...politique...

… mais son caractère politique est évident, puisqu’elle réclame un peu plus de justice et d’équité dans la législation environnementale de la chasse.

Il n’est plus tolérable, dans une république démocratique et laïque, qu’une communauté minoritaire s’approprie, transforme ou détruise le bien commun qu’est la biodiversité, avec la complicité de nombreux politiciens, jusqu’au sommet de l’état.

...à caractère religieux...

Comme toutes les religions, scape rêve d’une nature apaisée, partagée avec la faune. Mais elle sait que ce jardin d’Éden ne sera jamais un terrain de chasse ou quelques exterminateurs jouent à la gué-guerre contre une faune innocente. 

 

...communautariste...

… Le droit de pouvoir observer la faune qui partage la planète Terre avec nous, devrait être libre et imprescriptible, donc accessible gratuitement et à tous. C’est l’inverse du communautarisme.

Toutes celles et tous ceux qui n’aiment pas tuer et détruire sont des scapeuses et des scapeurs.