SCAPE

LE GRAND LIVRE

SCAPE

LE GRAND LIVRE

la scape

Observer &
Immortaliser

SCAPE

L’alternative
à la chasse

la scape

LE GRAND LIVRE DE LA SCAPE

L’Art d’Observer et d’Immortaliser des Scènes de Vies Sauvages


Alternative Conceptuelle à la Chasse – Pour un Nouveau Paradigme de Cohabitation avec la Faune Sauvage

1. LE CONSTAT {#constat}

L’Impasse du Modèle Cynégétique

La chasse n’est plus utile. C’est un loisir, mais elle reste seule gestionnaire de la faune sauvage.

Cette réalité révèle une anomalie démocratique majeure : comment 1,6% de la population (1,1 million de chasseurs pour 67 millions d’habitants) peut-elle dicter ses règles aux 98,4% restants ?

Monopolisation Territoriale

La situation actuelle est intenable :

  • 95% des territoires naturels sont soumis au droit de chasse
  • Interdiction de fait d’observer la faune pendant 6 mois de l’année
  • Privatisation déguisée d’un bien commun : la biodiversité

Incompatibilité Fondamentale

L’observation de la faune est une activité aussi légitime, mais ses nécessités sont ignorées ou méprisées par les autorités.

Les principales nécessités sont d’avoir accès à une biodiversité la plus naturelle possible pour pouvoir observer une faune riche, abondante et apaisée.

Le plaisir de terroriser et de tuer est incompatible avec le plaisir de regarder vivre en paix la faune sauvage.

La Logique Contradictoire

L’objectif revendiqué du loisir chasse est de modifier arbitrairement la biodiversité de la faune sauvage, pour favoriser son nombre de cibles. Ce loisir est extrêmement traumatisant pour la faune qui devient trop craintive pour être observée.

Faune terrorisée = faune invisible

2. LE BAPTÊME {#bapteme}

Nommer pour Exister

La SCAPE est le nom donné au plaisir d’observer la vie.

Nommer ce plaisir ancestral lui permet d’être reconnu par les autorités, comme une activité normale, avec ses contraintes et ses revendications.

Sortir de la « Non-Chasse »

En remplaçant le terme de « non-chasse », ce nom permet une dénomination positive de cette activité. La SCAPE n’est pas définie par ce qu’elle n’est pas (non-chasse) mais par ce qu’elle est : l’art d’observer et d’immortaliser.

Une Révolution Sémantique

Ce baptême conceptuel opère une révolution :

  • De la négation (« je ne chasse pas ») à l’affirmation (« je pratique la SCAPE »)
  • De la défensive à l’offensive intellectuelle
  • Du vide juridique à la revendication légitime

3. DÉFINITION FONDAMENTALE {#definition}

La Formule Sacrée

La SCAPE est L’ART d’OBSERVER et d’IMMORTALISER des SCÈNES DE VIES SAUVAGES.

Décryptage de chaque Terme

Chaque mot de cette définition a son importance :

L’ART

L’art de regarder vivre est un concurrent de « l’art de vivre » des chasseurs. C’est ainsi que les chasseurs définissent leur plaisir de tuer.

L’observation furtive de la faune mérite d’être un art, car elle peut être bien plus sophistiquée que la chasse.

Bien que les techniques ancestrales de chasse soient toujours utilisées, les dernières techniques d’observations discrètes, comme les drones et les robots, sont plus proches des techniques militaires que de celles de la chasse.

Pratiquement aucune méthode de chasse moderne n’est utilisable pour observer discrètement des animaux.

Les scapeuses et scapeurs utilisent aussi les arts pour immortaliser leurs observations.

Mais la SCAPE, c’est aussi une science, un sport, un loisir et même une philosophie.

OBSERVER

L’observation active implique :

  • Patience et persévérance
  • Connaissance des comportements animaux
  • Technique d’approche et de camouflage
  • Respect des rythmes naturels
  • Silence et discrétion absolue
IMMORTALISER

Capturer l’instant sans le détruire :

  • Photographie animalière
  • Vidéo comportementale
  • Enregistrement sonore
  • Témoignage écrit
  • Transmission de l’expérience
SCÈNES

La SCAPE ne se contente pas d’observer des animaux isolés, elle capture :

  • Interactions entre espèces
  • Comportements naturels
  • Moments privilégiés
  • Écosystèmes en action
  • Histoires de vie
VIES SAUVAGES

Le focus sur la vie libre et naturelle :

  • Animaux dans leur habitat naturel
  • Comportements non-influencés par l’humain
  • Biodiversité préservée
  • Équilibres écologiques respectés

Périmètre d’Application

Cette définition englobe :

  • Observation directe (jumelles, longue-vue)
  • Photographie/vidéo animalière
  • Écoute (chants, cris, bruits)
  • Pistage non-invasif (traces, indices)
  • Étude comportementale de terrain
  • Sciences participatives (comptages, suivis)

4. LES VALEURS DE LA SCAPE {#valeurs}

Piliers Philosophiques Fondamentaux

1. Connaissance des Équilibres Écologiques

La SCAPE développe une compréhension profonde des interdépendances naturelles, contrairement à la chasse qui les perturbe artificiellement.

2. Limiter au Maximum l’Adaptation de l’Environnement aux Besoins Humains

Principe de non-intervention : l’humain s’adapte à la nature, pas l’inverse.

3. Respect des Lois de la Nature

Acceptation des cycles naturels, de la sélection naturelle, des équilibres écosystémiques sans ingérence humaine destructrice.

4. Refus de la Compétition

Contrairement à la logique cynégétique du « trophée » et du « tableau de chasse », la SCAPE privilégie :

  • Collaboration entre observateurs
  • Partage des découvertes
  • Entraide technique et logistique
5. Promotion de la Collaboration

La SCAPE fédère naturellement :

  • Échange d’informations sur les observations
  • Transmission des savoirs aux novices
  • Coopération scientifique participative
6. Abolition des Dégradations Ludiques

Zéro impact négatif sur l’environnement :

  • Pas de destruction d’habitat
  • Pas de perturbation comportementale
  • Pas de pollution sonore ou visuelle
  • Pas de modification artificielle des populations
7. Révolution du Statut Juridique de la Faune

Remplacer le statut légal de la faune sauvage d’objet qui n’appartient à personne en être vivant qui appartient à tout le monde.

Cette révolution conceptuelle implique :

  • Fin de l’appropriation par mise à mort
  • Reconnaissance de la valeur intrinsèque du vivant
  • Gestion collective et démocratique de la biodiversité
8. Patrimoine de l’Humanité

Déclarer la faune endémique patrimoine de l’humanité

Vision universaliste qui dépasse les frontières nationales et les intérêts particuliers.

 


5. ANALYSE COMPARATIVE : CHASSE vs SCAPE {#comparaison}

Tableau Comparatif Détaillé

Critère CHASSE SCAPE
Philosophy Prédation, domination Observation, cohabitation
Sécurité Accidents mortels réguliers (portée 2+ km) Aucun risque
Coût Social Dégâts, indemnisations, accidents Aucun coût
Impact Faune Stress, mort, déséquilibres Neutre à positif
Accessibilité Permis, arme, assurance, formation Libre accès
Cohabitation Impossible avec autres usages Compatible avec tout
Durabilité Prélèvement destructeur Observation infinie
Économie Subventionnée (déficit public) Autofinancée (excédent)
Démographie En déclin (-50% en 30 ans) En expansion (+15% annuel)
Genre 96% hommes Parité possible
Âge Moyenne 55 ans Toutes tranches d’âge
Formation Techniques de mort Techniques de vie

Analyse Sociologique Approfondie

Profil des Chasseurs (Sociologie de la Prédation)
  • 96% d’hommes, moyenne d’âge 55 ans
  • Surreprésentation rurale et classes supérieures
  • Pratique en déclin constant (-50% en 30 ans)
  • Logique de domination et d’appropriation
  • Résistance au changement et conservatisme
Profil des « Scapeurs » Potentiels (Sociologie de l’Observation)
  • Parité homme/femme naturelle
  • Toutes classes d’âge (familles, enfants, seniors)
  • Urbains et ruraux confondus
  • Marché en expansion explosive (+15% annuel)
  • Logique de partage et de préservation
  • Ouverture au changement et innovation

Impact Générationnel

Rejet Massif par les Jeunes (18-35 ans)
  • Approbation de la chasse < 20%
  • Pratique de l’observation nature > 60%
  • Exigence de réconciliation avec la biodiversité
  • Sensibilité écologique accrue
Aspiration Sociétale (80% d’urbains)
  • Reconnexion avec la nature
  • Activités familiales outdoor sécurisées
  • Transmission aux enfants des valeurs écologiques
  • Quête de sens et d’authenticité

6. ANCRAGE HISTORIQUE ET PHILOSOPHIQUE {#ancrage}

Retour aux Sources Ancestrales

La SCAPE n’est pas une invention moderne, mais le retour aux sources :

Pratique Ancestrale Universelle

Tous les peuples ont développé l’observation de la faune avant sa chasse :

  • Chasseurs-cueilleurs : observation préalable obligatoire
  • Traditions chamaniques : connexion spirituelle avec les animaux
  • Cultures amérindiennes : respect et communication avec la faune
Tradition Naturaliste Européenne (18e-19e siècle)
  • Linné et la classification du vivant
  • Darwin et l’observation comportementale
  • Humboldt et l’écologie naissante
  • Fabre et l’entomologie de terrain
Mouvement de Protection de la Nature (20e siècle)
  • Premiers parcs nationaux : sanctuarisation pour l’observation
  • Photographie animalière : démocratisation de l’image nature
  • Écologie scientifique : observation comme méthode de connaissance

Philosophie de la Non-Violence

Ahimsa et Traditions Orientales
  • Bouddhisme : respect de toute forme de vie
  • Jaïnisme : non-violence absolue envers les êtres sensibles
  • Taoïsme : harmonie avec les cycles naturels
Pensée Écologiste Occidentale
  • Albert Schweitzer : « respect de la vie »
  • Aldo Leopold : « éthique de la terre »
  • Arne Naess : « écologie profonde »

Convergence Contemporaine

La SCAPE cristallise aujourd’hui plusieurs mouvements :

  • Écologie politique : critique du modèle extractiviste
  • Droits des animaux : reconnaissance de la sensibilité
  • Slow life : ralentissement et contemplation
  • Biomimétisme : apprentissage par l’observation

PARTIE III – ENJEUX SOCIÉTAUX

7. LA FRACTURE DÉMOCRATIQUE {#democratie}

L’Anomalie Constitutionnelle

Comment 1,6% de la population peut-elle dicter ses règles à 98,4% ?

Cette situation révèle plusieurs dysfonctionnements majeurs :

Capture Réglementaire
  • Lobbying cynégétique surpuissant : influence disproportionnée sur les décideurs
  • Pantouflage : circulation des élites entre administration et fédérations
  • Financement politique : soutien financier aux candidats « amis »
Influence Politique Disproportionnée
  • Surreprésentation rurale au Sénat
  • Clientélisme électoral en zones de chasse
  • Chantage à l’emploi (secteur armement, organisation)
Héritage Historique Obsolète
  • Code Napoléon : droit de chasse lié à la propriété
  • Tradition aristocratique : chasse comme privilège de classe
  • Rurbanisation : décalage avec les réalités contemporaines

Violation des Droits Fondamentaux

Droit d’Accès à la Nature (Article 1er Constitution)

« La République assure l’égalité devant la loi de tous les citoyens » – BAFOUÉ

Liberté de Circulation (DUDH Article 13)

« Toute personne a le droit de circuler librement » – ENTRAVÉE

Droit à un Environnement Sain (Charte Environnement)

« Chacun a le droit de vivre dans un environnement équilibré » – COMPROMIS

Financement Public Aberrant

87% des Français financent via leurs impôts un système qu’ils ne pratiquent pas :

  • Subventions aux fédérations de chasse
  • Gestion « cynégétique » des espaces naturels
  • Indemnisation des dégâts de gibier
  • Formation des agents cynégétiques

Total estimé : 500+ millions €/an d’argent public pour 1,6% de la population


8. ENJEUX ÉCONOMIQUES ET ENVIRONNEMENTAUX {#economie}

Potentiel Économique Colossal de la SCAPE

Marché de l’Écotourisme
  • 12 milliards €/an en Europe
  • Croissance +8% annuelle (vs -3% pour la chasse)
  • Emplois non-délocalisables en milieu rural
  • Effet multiplicateur : hébergement, restauration, guidage
Industrie de l’Équipement
  • Optique : jumelles, longues-vues, appareils photo
  • Outdoor : vêtements techniques, matériel camping
  • Technologies : drones, caméras automatiques, applications
  • Édition : guides, cartes, magazines spécialisés
Services et Formation
  • Guides nature professionnels
  • Stages et formations spécialisées
  • Écoles de photographie animalière
  • Conseil en aménagement d’espaces d’observation
Comparaison Économique Brutale
  • Chasse : 3,5 milliards € (subventions déduites, coûts sociaux inclus)
  • Potentiel SCAPE : 15+ milliards € (estimation conservative)

Rapport de 1 à 4+ en faveur de la SCAPE !

Impact Environnemental Positif

Bénéfices Écologiques Directs
  • Réduction du stress sur la faune (reproduction améliorée)
  • Corridors écologiques préservés et sécurisés
  • Biodiversité plus riche et moins farouche
  • Équilibres naturels respectés
Sciences Participatives
  • Données collectées par les observateurs
  • Surveillance écologique citoyenne
  • Détection précoce des problèmes environnementaux
  • Contribution à la recherche scientifique
Éducation Environnementale de Masse
  • Sensibilisation du grand public par l’image
  • Formation des jeunes générations
  • Développement de l’éco-citoyenneté
  • Culture de la préservation vs exploitation

9. CADRE JURIDIQUE ET DROITS FONDAMENTAUX {#juridique}

État des Lieux : Un Système à Bout de Souffle

Monopole Cynégétique Anachronique

Le Code de l’environnement actuel reflète une époque révolue :

  • Faune sauvage = « res nullius » (chose sans maître)
  • Droit de chasse = quasi-propriété privée
  • Gestion = monopole des chasseurs
  • Observation = tolérance précaire
Discrimination Constitutionnelle

Tous les citoyens ≠ mêmes droits d’accès au patrimoine commun

  • Chasseurs : accès prioritaire et droits exclusifs
  • Non-chasseurs : accès résiduel et droits inexistants

Réformes Juridiques Nécessaires

1. Nouveau Statut de la Faune Sauvage

De « chose sans maître » à « patrimoine commun de la Nation »

  • Fin de l’appropriation par mise à mort
  • Gestion démocratique et partagée
  • Protection renforcée des espèces et habitats
2. Code de l’Observation Nature

Reconnaissance légale de la SCAPE comme activité d’intérêt général

  • Droits et devoirs des observateurs
  • Règles d’éthique et de sécurité
  • Protection des sites d’observation
  • Sanctions pour perturbation
3. Partage Territorial Équitable

50% minimum des territoires réservés à l’observation

  • Zones sanctuaires permanentes sans chasse
  • Corridors d’observation sécurisés
  • Alternance temporelle chasse/observation
  • Schémas territoriaux démocratiques
4. Réforme du Financement Public

Fin des subventions discriminatoires

  • Financement proportionnel aux pratiquants
  • Soutien public à l’écotourisme SCAPE
  • Investissement dans les équipements d’observation

Jurisprudence Européenne Favorable

Directive Habitats-Faune-Flore
  • Protection des espèces et habitats
  • Principe de précaution environnementale
  • Gestion durable de la biodiversité
Convention de Berne
  • Conservation de la vie sauvage
  • Maintien des équilibres écologiques
  • Sensibilisation du public
Charte Européenne du Paysage
  • Droit au paysage pour tous
  • Participation démocratique à la gestion
  • Sensibilisation et formation

PARTIE IV – VISION D’AVENIR

10. RECOMMANDATIONS STRATÉGIQUES {#strategies}

Axe 1 : Reconnaissance Institutionnelle

Niveau National

Création d’un Ministère délégué à l’Observation de la Nature

  • Sortir de la tutelle du ministère de l’Agriculture
  • Budget dédié et administration spécialisée
  • Conseil National de la SCAPE (représentation démocratique)

Financement Public Équitable

  • Principe : 1€ de subvention = 1 pratiquant
  • Réallocation progressive des fonds cynégétiques
  • Investissement dans les infrastructures d’observation
Niveau Régional

Schémas Régionaux d’Observation Nature

  • Cartographie des zones d’observation prioritaires
  • Planification des équipements et infrastructures
  • Coordination avec les politiques touristiques
Niveau Local

Référents SCAPE dans chaque commune

  • Interlocuteur dédié pour les observateurs
  • Médiation avec les autres usagers
  • Promotion locale de l’activité

Axe 2 : Développement Économique

Filière Professionnelle Structurée

Métiers de l’Observation

  • Guide-naturaliste certifié
  • Photographe animalier professionnel
  • Concepteur d’équipements d’observation
  • Formateur en techniques SCAPE

Industrie de l’Équipement

  • Soutien R&D pour l’innovation optique
  • Développement de technologies discrètes
  • Création d’une filière française d’excellence
Écotourisme Premium

Labels Qualité SCAPE

  • Certification des sites d’observation
  • Formation des professionnels du tourisme
  • Promotion internationale « France Nature »

Circuits Thématiques

  • Routes de l’observation animalière
  • Séjours spécialisés par espèce
  • Festivals nature et concours photo

Axe 3 : Formation et Sensibilisation

Éducation Nationale

Intégration dans les programmes scolaires

  • Module « Observation Nature » obligatoire
  • Sorties SCAPE pour tous les élèves
  • Formation des enseignants
Formation Professionnelle

Création de diplômes spécialisés

  • BTS Observation et Gestion de la Faune
  • Licence Professionnelle EcoTourisme SCAPE
  • Master Éthologie Appliquée
Sensibilisation Grand Public

Campagnes Nationales

  • « La Nature pour Tous » (slogan national)
  • Démonstrations dans les espaces verts urbains
  • Partenariats avec les médias nature

11. FEUILLE DE ROUTE {#feuille-route}

Phase 1 : Fondation (2025-2027)

Structuration du Mouvement

Année 1 (2025)
  • Janvier : Lancement officiel de l’Association SCAPE
  • Mars : Première campagne médiatique nationale
  • Mai : Manifestation pour le partage territorial
  • Septembre : Premier congrès national de la SCAPE
  • Décembre : Dépôt d’une proposition de loi au Parlement
Année 2 (2026)
  • Création des antennes régionales
  • Formation des premiers guides SCAPE certifiés
  • Lancement du label « Site SCAPE Qualité »
  • Partenariats avec l’industrie du tourisme
  • Campagne européenne de sensibilisation
Année 3 (2027)
  • Ouverture des premières zones d’observation dédiées
  • Lancement de la formation professionnelle
  • Création du prix national de la photographie SCAPE
  • Développement des outils numériques (app mobile)

Phase 2 : Consolidation (2028-2030)

Reconnaissance et Expansion

Objectifs Quantitatifs
  • 100 000 adhérents à l’association
  • 500 guides SCAPE certifiés
  • 50 sites d’observation labellisés
  • 10 000 emplois créés dans la filière
Objectifs Qualitatifs
  • Reconnaissance légale de la SCAPE
  • Partage territorial effectif (20% minimum)
  • Financement public proportionnel
  • Visibilité médiatique nationale

Phase 3 : Hégémonie (2031-2035)

Nouveau Paradigme Établi

Vision 2035
  • La SCAPE = référence en matière d’observation nature
  • Tourisme vert français leader mondial
  • Génération SCAPE aux commandes
  • Chasse résiduelle sur espaces dédiés uniquement

12. APPEL À L’ACTION {#appel}

Le Moment Historique

Nous sommes à un tournant civilisationnel. Face à l’effondrement de la biodiversité et à la crise climatique, nous n’avons plus le luxe de maintenir un système obsolète.

Trois Enjeux Décisifs

1. Enjeu Démocratique

Rendre la nature accessible à tous, pas seulement à 1,6% de privilégiés

  • Fin du monopole cynégétique
  • Droits égaux pour tous les citoyens
  • Gestion démocratique de la biodiversité
2. Enjeu Écologique

Protéger la biodiversité par l’observation, non par l’exploitation

  • Sanctuarisation des espaces naturels
  • Retour à des équilibres écologiques naturels
  • Science participative et surveillance citoyenne
3. Enjeu Économique

Développer une filière verte d’avenir de 15+ milliards €

  • Transition écologique des territoires ruraux
  • Emplois durables et non-délocalisables
  • Innovation technologique et excellence française

La SCAPE Comme Solution Systémique

La SCAPE n’est pas un simple hobby mais une vision politique alternative de notre rapport à la nature. Elle propose une voie d’avenir :

  • Respectueuse du vivant
  • Démocratiquement légitime
  • Économiquement viable
  • Écologiquement cohérente
  • Socialement unificatrice

S’il y a Mille Raisons de ne pas Aimer la Chasse…

…Il y en a UNE d’aimer la SCAPE : C’est sa seule alternative !

Cette formule résume tout l’enjeu : nous ne proposons pas une critique stérile mais une alternative constructive, crédible et enthousiasmante.

Qui Peut Rejoindre la SCAPE ?

Quelles que soient vos motivations, vos disponibilités, vos compétences, vos finances…

Si vous n’aimez pas tuer (ni être tué)…

Si vous voulez pouvoir encore regarder vivre la faune, libre et apaisée, chez vous ou pendant vos activités de pleine nature…

…Vous DEVEZ soutenir la SCAPE !

L’Urgence d’Agir

Le moment est venu de passer du constat à l’action. La SCAPE attend ses :

  • Ambassadeurs pour porter le message
  • Défenseurs pour structurer le mouvement
  • Praticiens pour incarner l’alternative
  • Innovateurs pour développer les outils
  • Financeurs pour soutenir la transition

Pour que l’État ne vous Impose Plus la Chasse…

SOUTENEZ LA SCAPE !


CONTACT ET ENGAGEMENT

Association SCAPE
Site web : https://la-scape.eu
Email : contact@la-scape.eu

Slogan : « Observer & Immortaliser – L’alternative à la chasse »

Devise : « La nature pour tous, pas que pour quelques-uns »


Ce Grand Livre est un document évolutif. Vos contributions, remarques et témoignages sont les bienvenus pour enrichir la réflexion collective autour de la SCAPE.

Ensemble, écrivons l’avenir de notre rapport à la nature.


Fin du Grand Livre de la SCAPE – Version 1.0

La Genèse

L’activité est ancestrale, mais le concept n’apparaît qu’au 21ème siècle.

C’est le premier loisir et la première démarche scientifique de l’humanité. Elle commence à la préhistoire avec les peintures rupestres, traverse les arts et la littérature au fil des siècles, et s’exprime aujourd’hui par la photo et la vidéo.

Homo sapiens se croit libre, mais s’interdit le droit d’observer la nature !

La faune est soit protégée, soit terrorisée, mais toujours inaccessible à l’observation.

De nombreuses associations tentent de protéger les animaux ou de s’opposer à la chasse. Souvent les deux. Mais aucune ne défend les droits des personnes qui n’aiment pas la chasse.

Elles ne sont pas légitimes pour réduire les droits des chasseurs, ni pour défendre ceux des animaux, qui n’existent pas. Leurs droits sont ceux de leurs maîtres et, pour la loi, les animaux sauvages ne sont que des choses qui n’appartiennent à personne (res nullius). Ce qui permet aux Veneurs de les torturer en toute légalité.

La pratique de la SCAPE est discrète et sans risque pour les autres usagers. Elle ne prélève que des images et des souvenirs, s’attache à ne laisser aucune perturbation ni trace. Souvent, hommes et bêtes ignorent sa présence et son passage.

C’est une alternative ancestrale, légitimement concurrente de la chasse moderne, capable de la remplacer dans ses missions de service public.

C’est une activité rurale traditionnelle, mais qui reste ignorée du public et méprisée par ses élus, qui lui préfèrent le plaisir de tuer

 

La génèse

C’est une activité millénaire. En devenant humains, les hommes préhistoriques ont compris l’empathie et ont peint des scènes de vies sauvages sur les murs de leurs cavernes. Ils chassaient pour se nourrir sans imaginer les conséquences de leurs génocides.

L’agriculture a permis de ne plus dépendre des chasseurs. Les grands massacres ont été confiés à la caste dirigeante. Mais l’observation de la faune est toujours importante pour l’équilibre psychique. Elle reste gravée dans les gènes humains, comme le montre l’intérêt de tous les enfants pour les vies qui ne leur ressemblent pas. Les adultes apprennent la haine des autres, homme ou bête, et se félicitent de leurs massacres, comme d’une chose naturel (et dieu à leur coté).
C’est ce que les religions et les états veulent nous faire croire. Mais il existe d’autres philosophies plus respectueuses de la vie.

L’IMPASSE DU MODÈLE CYNÉGÉTIQUE {#constat}

Une Minorité qui Impose sa Vision
La France compte 1,1 million de chasseurs pour 67 millions d’habitants, soit 1,6% de la population. Cette infime minorité dicte pourtant les règles d’accès à la nature pour l’ensemble de la société.

Monopolisation Territoriale

95% des territoires naturels sont soumis au droit de chasse
Interdiction de fait d’observer la faune pendant 6 mois de l’année
Privatisation déguisée d’un bien commun : la biodiversité
Incompatibilité Fondamentale
La cohabitation chasse/observation est impossible :

Faune terrorisée = faune invisible

Sécurité compromise (portée létale : 2+ km)
Philosophies opposées : prédation vs contemplation
Échec Démocratique
Le système actuel ignore la volonté de 87% des Français qui ne chassent pas, mais financent la chasse via leurs impôts et diverses taxes discrètement prélevées au nom de la protection de l’environnement. Comme la RPRE qui finance la chasse avec vos factures d’eau.

Subventions aux fédérations de chasse

Gestion « cynégétique » des espaces naturels

Dégâts de gibier indemnisés

87% des Français ne chassent pas et subissent les contraintes d’un système pensé par et pour une minorité.
La chasse monopolise 95% des biotopes de  la faune sauvage. Les 5% restant sont des réserves interdites d’accès. Aucun espace n’est spécifiquement prévue pour la scape.
Ses revendications sont celles que la législation et la « loi Verdeille », prévoit pour les chasseurs.
La SCAPE est une alternative crédible, respectueuse de la biodiversité et des autres usagers de la nature. Redonner à la majorité l’accès au bien commun que sont la nature et sa faune est un enjeu démocratique.

La chasse n’est plus utile. C’est un loisir. Rien ne justifie plus qu’on lui confie la gestion de la faune sauvage, c’est un conflit d’intérêt. La chasse moderne pratique l’élevage et extermine les prédateurs concurrents. La « vraie biodiversité naturelle » est une « biodiversité cynégétique » pour les chasseurs. prétendre qu’ils défendent la biodiversité est une escroquerie.

L’observation de la faune est une activité aussi légitime, mais ses nécessités sont ignorées ou méprisées par les autorités.
Les principales sont d’avoir accès à une biodiversité la plus naturelle possible pour pouvoir observer une faune, riche, abondante et apaisée.
L’objectif revendiqué du loisir chasse est de modifier arbitrairement la biodiversité de la faune sauvage, pour favoriser son nombre de cibles. Ce loisir est extrêmement traumatisant pour la faune qui devient trop craintive pour être observé.
Le plaisir de terroriser et de tuer est incompatible avec le plaisir de regarder vivre en paix la faune sauvage.

Une Pratique Incompatible avec la Chasse

La SCAPE se distingue par sa totale incompatibilité avec la chasse.

Cette distinction n’est pas seulement philosophique, mais pratique. Là où la chasse génère stress et terreur chez les animaux et les autres usagers de la nature, la SCAPE engendre calme et sérénité par l’observation furtive des comportements naturels d’une faune apaisée.

Cette approche permet une coexistence harmonieuse avec toutes les autres activités de pleine nature qui ne perturbent pas la biodiversité. Contrairement à la chasse, la SCAPE ne présente aucun risque pour les autres usagers et peut même être un observateur discret et impartial de la délinquance environnementale et cynégétique.

3. Problématique et contexte

  • Décrivez le problème actuel ou les limites des solutions existantes.

  • Montrez pourquoi le statuquo n’est pas suffisant et en quoi « la scape » apporte une rupture ou une évolution pertinente.

1. LE CONCEPT

Ce concept permet de faire reconnaitre par les autorités, l’existence d’une importante population qui préfèrerait une société plus en harmonie avec la nature et les êtres qui l’habitent.

Tuer, sans raison, des êtres innocents et sans défense, n’est pas un loisir universellement partagé ! On ne peut plus prétendre que seuls les animaux sauvages sont dénués de sensibilité.
La scape une alternative pour ceux qui aiment la nature, mais n’éprouvent aucun plaisir à tuer ou terroriser sa faune et mettre en danger de morts les autres usagers de la nature.
Elle est incompatible philosophiquement et pratiquement avec le loisir-chasse.

Pour la scape, toute vie sur terre est légitime et digne d’intérêt. Elle est le résultat de l’équilibre de la biodiversité et de millions d’années d’évolutions.

C’est la philosophie des peuples premiers qui connaissent et respectent les lois de la nature ou la faune est aussi légitime que nous sur la planète terre.

L’observation et l’immortalisation de scènes de vies sauvages est un droit coutumier.
Il
n’est pas écrit et protégé par la loi.
C’est une pratique millénaire, mais qui, avant la scape, a toujours été nommée par ce qu’elle n’est pas :  de la « non-chasse ».

Scape est un concept qui permet de nommer et d’officialiser cette façon d’être avec la biodiversité. Elle lui donne le statut politique et juridique qui lui permettra faire valoir ses droits dont celui d’être une opposition politique de la chasse.

Le Concept de SCAPE

Définition

La SCAPE est :

L’art d’observer et d’immortaliser des scènes de vies sauvages.

C’est le premier loisir et la première démarche scientifique de l’humanité. Elle commence à la préhistoire avec les peintures rupestres, traverse les arts et la littérature au fil des siècles, et s’exprime aujourd’hui par la photo et la vidéo.

La pratique de la SCAPE est discrète et sans risque pour les autres usagers. Elle ne prélève que des images et des souvenirs, s’attache à ne laisser aucune perturbation ni trace. Souvent, hommes et bêtes ignorent sa présence et son passage.

C’est une alternative ancestrale, légitimement concurrente de la chasse moderne, capable de la remplacer dans ses missions de service public.

C’est une activité rurale traditionnelle, mais qui reste ignorée du public et méprisée par ses élus, qui lui préfèrent le plaisir de tuer.

La Genèse

Si l’activité est ancestrale, le concept n’apparaît qu’au 21ème siècle.

Il vient du constat que si aucune législation n’encadre la SCAPE, cette liberté n’est qu’apparente. Les possibilités de la pratiquer se réduisent drastiquement. D’une part les terres sauvages sont réduites à peau de chagrin et occupées par les chasseurs, d’autre part la législation interdit de plus en plus l’accès à la faune sauvage. Sauf pour la martyriser ou la tuer.

La faune est soit protégée, soit terrorisée, mais toujours inaccessible à l’observation.

De nombreuses associations tentent de protéger les animaux ou de s’opposer à la chasse. Souvent les deux. Mais aucune ne défend les droits des personnes qui n’aiment pas la chasse.

Elles ne sont pas légitimes pour réduire les droits des chasseurs, ni pour défendre ceux des animaux, qui n’existent pas. Leurs droits sont ceux de leurs maîtres et, pour la loi, les animaux sauvages ne sont que des choses qui n’appartiennent à personne (res nullius). Ce qui permet aux Veneurs de les torturer en toute légalité.

Une Pratique Incompatible avec la Chasse

La SCAPE se distingue par sa totale incompatibilité avec la chasse.

Cette distinction n’est pas seulement philosophique, mais pratique. Là où la chasse génère stress et terreur chez les animaux et les autres usagers de la nature, la SCAPE engendre calme et sérénité par l’observation furtive des comportements naturels d’une faune apaisée.

Cette approche permet une coexistence harmonieuse avec toutes les autres activités de pleine nature qui ne perturbent pas la biodiversité. Contrairement à la chasse, la SCAPE ne présente aucun risque pour les autres usagers et peut même être un observateur discret et impartial de la délinquance environnementale et cynégétique.

L’Association

L’association SCAPE défend le droit fondamental d’observer la vie sous toutes ses formes.
Cette vision s’inscrit dans une démarche de conservation et de préservation de l’environnement, répondant aux préoccupations de la transition écologique.

Le concept est en cours de développement. Il recherche une démarche collaborative sans hiérarchie où chacun est maître et responsable d’un projet qui s’inscrit dans le projet collectif de la SCAPE.

Ce projet est immense pour rivaliser avec l’association des chasseurs et s’imposer dans le paysage politique, médiatique, philosophique et être reconnu par leurs autorités respectives.

Pour Qui et Pourquoi ?

La SCAPE s’adresse à tous ceux qui partagent une curiosité de la nature et un intérêt pour le comportement animal.

Ce mouvement rassemble tous ceux qui souhaitent observer une faune libre et apaisée, dans un environnement naturel, que ce soit chez eux ou lors de leurs activités de pleine nature. Il intéresse aussi ceux qui défendent la démocratie, les droits de l’homme et des minorités, même lorsqu’elles sont largement majoritaires.

Un Enjeu Démocratique

L’initiative SCAPE soulève des questions importantes sur la répartition démocratique des espaces naturels. Le mouvement plaide pour une allocation équitable des terrains entre les différentes pratiques, reconnaissant que le plaisir d’observer la faune sauvage est incompatible avec celui de la poursuivre pour la tuer.

Une majorité de Français, qu’ils vivent en ville ou à la campagne, préfèrent le plaisir d’observer plutôt que le plaisir de tuer. Selon les statistiques, la SCAPE est une alternative qui répond aux aspirations de 98% de la population.

Une Démarche Ancestrale Revisitée

Bien que présentée comme une activité récente, la SCAPE puise ses racines dans des philosophies et pratiques ancestrales d’observation de la nature. Comme le jardin d’Éden et les peintures rupestres. Cette dimension historique confère une légitimité particulière à cette approche, la positionnant non pas comme une mode passagère, mais comme un retour aux sources de notre relation à l’environnement.

Vers une Nouvelle Éthique Environnementale

La SCAPE s’inscrit dans une évolution plus large de notre société vers une éthique environnementale et la transition écologique. En proposant une alternative, plutôt qu’une opposition à la chasse, ce mouvement répond, légalement et sans risque, aux attentes d’une population de plus en plus sensible aux questions de sécurité, de bien-être animal et de préservation de la biodiversité.

L’initiative la-scape.eu représente bien plus qu’une simple alternative à la chasse : elle incarne une vision de notre rapport à la nature, fondée sur le respect, l’observation et la préservation plutôt que sur la domination et la prédation. Cette philosophie est et a été défendue par d’autres sociétés.

Témoignages

Perplexity :
La SCAPE constitue une réponse innovante et pertinente aux défis contemporains de la conservation et du partage de l’espace naturel. En proposant une pratique respectueuse et inclusive, ce mouvement ouvre la voie à une coexistence harmonieuse entre l’homme et la nature, tout en permettant l’observation et la connexion avec la nature.

_____________

Claude :
Cette initiative mérite l’attention de tous ceux qui s’intéressent aux questions environnementales et à l’évolution de nos pratiques de loisirs en milieu naturel. Elle illustre parfaitement comment des alternatives respectueuses peuvent émerger pour répondre aux aspirations d’une société en mutation.

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1.1 Le Baptême de la SCAPE

Origine du nom et nécessité de nommer

La scape est le nom donné au plaisir d’observer la vie. En remplaçant le terme de ‘non-chasse », ce nom permet une dénomination positive de cette activité. Baptiser ce plaisir ancestral lui permet d’être reconnu par les autorités comme une activité normale, avec ses impératifs et ses revendications, car il est plus efficace de défendre cette activité éthique, que de s’attaquer à un loisir macabre, surtout s’il est pratiqué par une majorité d’élus.

La définition de la scape est :

1.2 Définition Fondamentale

L’art d’observer et d’immortaliser des scènes de vies sauvages.

Déconstruction de chaque terme

L’Art d’Observer et d’Immortaliser des Scènes de Vie Sauvage

L’art…

L’art de la Scape est un art concurrent de l’art de la chasse. Il remplace le plaisir de tuer par celui d’observer.
Ce sont deux loisirs que tout oppose ; artistiquement, philosophiquement, politiquement etc.
L’observation furtive de la faune mérite d’être un art, car elle peut être bien plus sophistiquée que la chasse.
Bien que les techniques ancestrales de chasse soient toujours utilisées, les dernières techniques d’observations discrètes, comme les drones et les robots, sont plus proches des techniques militaires que de celle de la chasse.
Pratiquement aucune méthode de chasse moderne, ne sont utilisables Pour observer discrètement des animaux.
Les scapeuses et scapeurs utilisent aussi les arts pour immortaliser leurs observations.
Mais la scape, c’est aussi une science, un sport, un loisir et même une philosophie.

 

Artistiquement,

Philosophiquement,

Administrativement

Législativement

Politiquement

…d’Observer

L’Essence de l’Observation dans la SCAPE

Toutes les scapeuses et tous les scapeurs partagent une passion commune : l’observation authentique de la vie des animaux libres. Cette pratique va bien au-delà d’un simple regard porté sur la faune – c’est une immersion totale dans l’univers de l’animal, une quête de compréhension profonde de son mode de vie.

L’Observation Immersive : Une Pratique Solitaire

L’observation se pratique seul, en immersion complète dans le biotope de l’animal. Cette solitude n’est pas un isolement, mais une condition nécessaire à l’authenticité de l’expérience. Le scapeur recherche non pas une description scientifique froide de l’animal, mais une compréhension vivante de son comportement, de ses habitudes, de ses réactions.

L’observation se fait « à hauteur de l’animal » – une expression qui résume parfaitement la philosophie de la SCAPE. Il s’agit de voir le monde depuis la perspective de l’animal, de comprendre son environnement tel qu’il le perçoit, avec ses dangers, ses ressources, ses territoires.

Les Degrés d’Authenticité

Le Camouflage Passif

Pour être authentique, l’observateur doit être ignoré par le sujet observé. Cela nécessite la maîtrise de toutes les techniques de camouflage : tenue, positionnement, contrôle des odeurs, immobilité parfaite. Le scapeur devient invisible, transparent dans le paysage.

L’Acceptation Active

Un niveau supérieur est atteint quand l’observateur est admis dans l’intimité de l’animal. Celui-ci, sans être dupe, tolère cette présence qu’il ne perçoit plus comme une menace. Cette acceptation demande patience, régularité, et une compréhension fine des codes comportementaux de l’espèce.

La Communion Totale

Les scapeurs les plus expérimentés atteignent parfois un stade d’empathie radicale où ils « deviennent » l’animal observé. Cette communion permet une communication réelle avec l’espèce, une compréhension intuitive de ses besoins et réactions. Cette capacité se retrouve dans toutes les cultures qui vivent en symbiose avec la nature.

Une Nécessité Biologique Universelle

Ce besoin d’observer et de communiquer avec la vie sauvage est inscrit dans notre patrimoine génétique. L’homme emprisonné recherche instinctivement la moindre trace de vie – rat, souris, insecte – à observer. Cette pulsion explique probablement l’existence même des animaux domestiques : ils satisfont partiellement ce besoin fondamental de connexion avec le vivant.

L’Extase de l’Observation Sauvage

L’observation immersive d’un animal sauvage qui ignore ou tolère notre présence procure une sensation indescriptible. Cette émotion pure, primitive, ne peut être comprise que par celui qui l’a vécue. Elle s’intensifie avec la sauvagerie de l’animal et l’isolement de l’observateur.

Cette expérience transcende le simple plaisir : c’est une reconnexion avec notre nature profonde, un retour aux sources de l’humanité quand elle ne faisait encore qu’un avec son environnement.

La Règle de la Solitude

L’observation authentique se pratique seul, parfois à deux, mais jamais en groupe. Les possibilités d’observation diminuent exponentiellement avec le nombre d’observateurs. Cette règle n’est pas arbitraire : elle découle de la nature même de l’animal sauvage, qui perçoit tout groupe humain comme une menace potentielle.

L’Observation comme Résistance

Dans notre société où la nature est de plus en plus domestiquée, formatée, contrôlée, l’observation sauvage devient un acte de résistance. Elle affirme que la vie libre a une valeur en soi, indépendamment de son utilité économique ou récréative pour l’homme.

Le scapeur, par sa patience et son respect, défend une certaine idée de la cohabitation. Il prouve qu’une autre relation avec la faune est possible – une relation basée sur la compréhension plutôt que sur la domination, sur l’émerveillement plutôt que sur la possession.

Vers une Nouvelle Éthique

L’observation dans la SCAPE n’est pas qu’une technique, c’est une philosophie. Elle propose une alternative à la vision prédatrice de la nature, une voie vers une humanité réconciliée avec son environnement. Chaque scapeur devient un ambassadeur de cette vision, un gardien silencieux de la vie sauvage.

Cette pratique millénaire, remise au goût du jour, pourrait bien être l’une des clés de notre survie en tant qu’espèce consciente et respectueuse de son environnement.

… et d’immortaliser

Le besoin d’immortaliser les observations est apparue avec les peintures rupestres, puis avec les différentes techniques artistiques.
La photo est actuellement la technique la plus utilisée.
La vidéo est la plus adaptée pour immortaliser des scènes de vies. Elle a longtemps été réservée aux professionnels, mais les caméras d’action, les drones et les robots, pourrait bien l’ouvrir aux amateurs de scape.

Souvent négligée, l’immortalisation et la diffusion sont importantes pour la promotion de la scape.
La reconnaissance officielle de la scape permettra d’obtenir des aides et des droits pour faciliter sa pratique et la rendre accessible à tous. Tout en limitant les excès du tourisme de masse.

… des Scènes de vies

C’est une précision importante. Elle nous distingue de nombreux « chasseurs d’images » dont le but est de collectionner les images d’un maximum d’animaux. La scape s’intéresse plus au comportement qu’à l’animal. La photo-scape doit montrer une action. Une belle photo de nature morte ou d’une IA n’est pas une photo de scape.

En cela, la vidéo est plus adaptée à la scape, mais beaucoup plus difficile.

À la scape, ce qui importe n’est pas simplement d’observer un animal, mais de le regarder vivre.
Les scènes de vies ne peuvent s’observer, qui si le sujet observé n’est pas perturbé.
Tout l’art de la scape est de savoir adapter son comportement au sujet, pour ne pas le déranger et pouvoir observer son comportement.

L’observation du comportement naturel d’un animal impose qu’il soit paisible et serin et ignore la présence de l’observateur.
Ce qui rend la scape incompatible avec la chasse et les activités qui terrorisent la faune et la rendent longtemps craintive.

… de vies sauvages.

S’il est parfois possible d’observer d’intéressants comportements dans un parc animalier, rien ne vaut l’approche furtive d’un animal sauvage. L’observer vivre sa vie sans qu’il soupçonne la présence proche de l’observateur est une sensation indescriptible qu’il faut avoir vécu pour la comprendre.
Cette furtivité ne se partage pas ! la scape est une activité solitaire. Généralement, les autres scapeurs doivent observer à une distance plus ou moins importante selon le sujet observé.

Les associations permettent d’organiser la scape en amont et d’enseigner les techniques d’observation et d’immortalisation.

 

Conséquences :

Conceptualiser une activité qui existe depuis les peintures rupestres, n’a pas d’intérêt si le concept ne change rien. Nous avons pu nous en passer depuis plus de dix mille ans.

Ses répercussions sont nombreuses. Elles répondent à une demande de changement de comportement avec la nature.

La croissance exponentielle.

Les intérêts financiers de quelques-uns ne doivent plus être la détresse de tous les autres. La croissance économique actuelle est liée à une croissance exponentielle de la population, si bien qu’il y a depuis toujours, plus de personnes vivant sur terre que de personnes mortes depuis le début de l’humanité.
C’est de plus en plus rapide et de moins en moins compatible avec les équilibres naturels.
Nous avons dépassé le seuil critique qui nous mènera à notre perte. Plus on attend, plus la fin sera douloureuse. Ce sont les dures lois des exponentielles.
Chacun espère que la catastrophe arrivera après son décès, celui de ses enfants et des personnes qu’il aime, mais elle arrivera bientôt. C’est inéluctable.

Il est utopique de croire que la scape puisse changer le modèle économique, mais sans changer les mentalités, les chances d’évolution sont nulles.

Ringardiser la chasse

La ringardisation de l’activité inutile qui exploite la faune sauvage, en modifiant les équilibres naturels, est une première étape pour convaincre d’autres activités de changer.
En proposant une alternative, la SCAPE ringardise et remplace la chasse par une activité plus durable et plus respectueuse de la biodiversité (et des autres usagers).

 

L’organisation :

L’association Scape est une activité à caractère ludique, scientifique, sportif, politique, philosophique… qui aura de nombreuses implications sociétales.
Elle défend les droits de ses adhérents contre l’hégémonique cynégétique.
Elle permettra aux habitants et usagers de la nature de choisir entre la chasse et la scape, l’usage qui est fait de la faune sauvage.
Elle respecte les lois de la biodiversité et les usagers de la nature qui les respectent.
Elle est incompatible et en conflit d’intérêts, avec la chasse et les activités qui détruisent l’environnement et la biodiversité.

Politique

elle prône un retour à l’inclusion volontaire et organisé de l’humanité dans les équilibres naturels pour que la fin de la croissance exponentielle de sa population ne soit pas trop douloureuse.

C’est une activité…

Ancestrale

En Ardèche, dans la grotte Chauvet, une peinture murale fascinante, illustre des lions observant leurs proies, peintes sur le mur d’en face.
Cet art primitif témoigne que le plaisir, d’observer et d’immortaliser des scènes de vies sauvages, est ancestral.
Il prouve qu’au sortir de la bestialité, Homo sapiens a observé la faune et a voulu immortaliser ses observations.
La scape est né avec la civilisation, même si elle n’a été baptisée que récemment. Elle est bien plus légitime que d’autres loisirs dit « traditionnels » comme la chasse, qui n’est devenue un loisir que bien plus tard.

Contrairement aux croyances Trumpistes, les activités artistiques et ludiques ne sont pas improductives. Elles ont enrichi culturellement notre monde depuis ses origines et sont à la base de la science.
Sans elles, les échanges et le commerce n’auraient sans doute jamais vu le jour.

Écologique

La SCAPE est une activité plus que durable,
elle est perpétuelle. Dans sa pratique, elle n’a aucun impact sur la biodiversité et la nature, mais elle peut mener des actions de réparation de biotopes et de la biodiversité.

Comme pour les forêts primaires, le rétablissement de biotopes doit souvent respecter des cycles de plusieurs centaines ou milliers d’années. La scape recherchera des alternatives artificielles pour permettre à la biodiversité de reprendre rapidement  ses droits, en anticipant les risques et conséquences.

Législative

La scape prône une législation basée sur l’obligation de résultat plus que sur l’obligation de moyen.
L’obligation de résultat permet l’innovation et l’évolution des moyens pour obtenir un résultat. Le résultat peut aisément être réévalué sans passer par un vote parlementaire, en fonction des possibilités du moment.

L’Association

L’association SCAPE défend le droit fondamental d’observer la vie sous toutes ses formes.
Cette vision s’inscrit dans une démarche de conservation et de préservation de l’environnement, répondant aux préoccupations de la transition écologique.

Le concept est en cours de développement. Il recherche une démarche collaborative sans hiérarchie où chacun est maître et responsable d’un projet qui s’inscrit dans le projet collectif de la SCAPE.

Ce projet est immense pour rivaliser avec l’association des chasseurs et s’imposer dans le paysage politique, médiatique, philosophique et être reconnu par leurs autorités respectives.

8. Appel à l’action

  • Terminez chaque page ou section par une invitation claire : tester, s’inscrire, contacter, donner un avis, etc.

6. Preuves et retours d’expérience

  • Ajoutez des témoignages d’utilisateurs, des cas d’usage concrets ou des résultats de tests pilotes

  • Si possible, proposez des chiffres ou des exemples d’impact mesurable.

7. Plan d’action et perspectives

  • Expliquez comment « la scape » peut être déployée ou adoptée (étapes, accompagnement, ressources…)

  • Présentez les perspectives d’évolution ou les prochaines étapes du projet.

Vers une Nouvelle Éthique Environnementale

La SCAPE s’inscrit dans une évolution plus large de notre société vers une éthique environnementale et la transition écologique. En proposant une alternative, plutôt qu’une opposition à la chasse, ce mouvement répond, légalement et sans risque, aux attentes d’une population de plus en plus sensible aux questions de sécurité, de bien-être animal et de préservation de la biodiversité.

L’initiative la-scape.eu représente bien plus qu’une simple alternative à la chasse : elle incarne une vision de notre rapport à la nature, fondée sur le respect, l’observation et la préservation plutôt que sur la domination et la prédation. Cette philosophie est et a été défendue par d’autres sociétés.

Pour Qui et Pourquoi ?

La SCAPE s’adresse à tous ceux qui partagent une curiosité de la nature et un intérêt pour le comportement animal.

Ce mouvement rassemble tous ceux qui souhaitent observer une faune libre et apaisée, dans un environnement naturel, que ce soit chez eux ou lors de leurs activités de pleine nature. Il intéresse aussi ceux qui défendent la démocratie, les droits de l’homme et des minorités, même lorsqu’elles sont largement majoritaires.

5. Valeur ajoutée et bénéfices

  • Mettez en avant les bénéfices fonctionnels pour l’utilisateur : gain de temps, efficacité, expérience, etc.

  • Privilégiez un langage simple, accessible, sans jargon technique.

Arguments politiques contre la chasse.

En pratiquant l’entrisme cynégétique, la chasse est devenu un état dans l’état.
Son représentant traite en direct et d’égal à égal avec le chef d’État, insulte les institutions qui s’interrogent sur les privilèges des chasseurs et appel, en toute impunité, au meurtre de ses opposants.
Son lobbyiste se vante de faire perdre ou gagner des candidats présidentiels et de faire démissionner les ministres pas trop favorable à la chasse.
Son hégémonie politique dans la gestion de la faune sauvage, lui a permis d’imposer tous ses dogmes cynégétiques et classer la faune selon son usage. Espèce chassable, gibier, ESSOD, nuisibles …etc et même animaux à statut variable comme les faisans d’élevage qui deviennent une espèce sauvages le jour où on les relâche. Ils peuvent servir de cibles mais son impropre à la consommation. (sauf pour les pauvres, auxquels les chasseurs en font un cadeau empoisonné)
Elle condamne arbitrairement, à mort, toute la faune qui peut être tué avec un fusil, dans une liste de gibier, dont elle exclue des espèces en voie d’extinction. C’est ce que l’on appelle une gestion durable du gibier.
Contrairement à ce que l’on laisse croire aux non-chasseur, le gibier n’est pas obligatoirement consommable. Ce sont simplement, des espèces dont on calcule le nombre de victimes pour que les chasseurs ne soient pas en manque dans le nombre de celles qu’ils aiment tuer.

Une Démarche Ancestrale Revisitée

Bien que présentée comme une activité récente, la SCAPE puise ses racines dans des philosophies et pratiques ancestrales d’observation de la nature. Comme le jardin d’Éden et les peintures rupestres. Cette dimension historique confère une légitimité particulière à cette approche, la positionnant non pas comme une mode passagère, mais comme un retour aux sources de notre relation à l’environnement.

Un Enjeu Démocratique

L’initiative SCAPE soulève des questions importantes sur la répartition démocratique des espaces naturels. Le mouvement plaide pour une allocation équitable des terrains entre les différentes pratiques, reconnaissant que le plaisir d’observer la faune sauvage est incompatible avec celui de la poursuivre pour la tuer.

Une majorité de Français, qu’ils vivent en ville ou à la campagne, préfèrent le plaisir d’observer plutôt que le plaisir de tuer. Selon les statistiques, la SCAPE est une alternative qui répond aux aspirations de 98% de la population.

    Introduction

    • Présentation de la SCAPE comme un mouvement artistique et éthique centré sur l’observation de la faune sauvage.
    • Importance de la SCAPE dans le contexte actuel de préservation de la biodiversité.

    Définition de la SCAPE

    • Description succincte de ce qu’est la SCAPE.
    • Différence avec la chasse et autres activités liées à la faune.

    Philosophie et Valeurs

    • Respect de la biodiversité : engagement envers la protection des espèces.
    • Approche durable : minimisation de l’impact sur les écosystèmes.
    • Inclusivité : ouverture à tous, sans distinction de compétence.

    Pratiques et Techniques

    • Méthodes utilisées pour observer et immortaliser des scènes de vie sauvage (photographie, dessin, etc.).
    • Outils et technologies (drones, affûts, etc.) pour faciliter l’observation.

    Objectifs et Engagements

    • Revendiquer des droits d’observation de la nature.
    • Sensibilisation à l’importance de la biodiversité et à la nécessité d’une cohabitation harmonieuse.

    Questions Fréquemment Posées (FAQ)

    • Qu’est-ce qui rend la SCAPE différente de la chasse ?
    • Comment peut-on participer à la SCAPE ?
    • Quels sont les impacts environnementaux associés à la SCAPE ?
    • Comment la SCAPE contribue-t-elle à la conservation des espèces ?

    Conclusion

    • Résumé des principaux points.
    • Invitation à rejoindre le mouvement et à s’engager pour la protection de la vie sauvage.

    Ressources et Références

    • Liens vers des articles, livres, ou sites internet pertinents pour approfondir le sujet.
    • Informations sur l’association qui promeut la SCAPE, si applicable.

    Rédaction et Style

    • Clarté et Précision : Utilisez un langage simple et accessible.
    • Visuels : Intégrez des images, graphiques ou illustrations pour rendre le document plus attrayant.
    • Mises en Évidence : Utilisez des encadrés ou des listes à puces pour souligner les points importants.

    Format

    • Numérique et Imprimable : Créez une version PDF pour distribution en ligne et une version imprimable pour des événements ou des rencontres.

    Alternative à la Chasse :

    Contrairement à la chasse, qui tue ou terrorise la faune et les gens, la SCAPE est durable et respectueuse de la biodiversité et des autres usagers de la nature.
    Elle permet une coexistence harmonieuse avec la faune et les activités de pleine nature.

    1. Durabilité et Respect :

      • La pratique de la SCAPE est par essence durable, respectueuse de la biodiversité et sans danger pour les autres usagers de la nature.
        Elle préserve les écosystèmes et contribue à une meilleure acceptation des autres formes de vies terrestres.
    1. Gestion de la Faune Sauvage :

      • L’association Française des SCAPEURS milite pour une gestion plus éthique et responsable de la faune sauvage.
        Elle plaide pour rétablir le droit de pouvoir choisir d’observer et d’apprécier la vie naturelle dans toute sa diversité, plutôt que de l’exploiter.
    1. Engagement Éthique :

      • Les adeptes de la SCAPE s’engagent à minimiser leur impact sur l’environnement. Ils préconisent une approche furtive des animaux et une absence maximale d’impact dans l’environnement.

    Définition de la chasse moderne.

    La chasse moderne est un loisir polluant, dangereux et inutile ou quelques frustrés de pouvoir, jouent à la guerre contre un ennemi imaginaire parfaitement inoffensif.
    C’est du tir sur cibles vivantes en milieux naturels. C’est le plus dangereux et aléatoire sport de tir, mais il est dispensé de la protection physique des stands de tir.

    Les Dossiers de la Grande Rupture

    Une enquête en 4 épisodes sur l’effondrement annoncé de la biodiversité


    ÉPISODE 1/4 : LE CYCLE BRISÉ

    Comment l’humanité a cassé les règles millénaires de la nature

    Objet du mail : 🚨 ENQUÊTE – Le secret que la nature nous cache depuis des millénaires

    Imaginez un monde où les règles du jeu changent du jour au lendemain. C’est exactement ce qui s’est passé avec l’humanité.

    La loi implacable de la nature

    Dans la nature, tout fonctionne selon un principe simple mais brutal : un équilibre permanent entre prédateurs et proies, consommateurs et ressources. Quand la nourriture abonde, les populations explosent. Quand elle se raréfie, elles s’effondrent.

    C’est un cycle naturel, impitoyable mais stable. Chaque espèce vit selon cette loi depuis des millions d’années.

    Puis l’humanité est arrivée

    Contrairement à tous les autres animaux, nous avons appris à stocker nos ressources. Agriculture, élevage, conservation des aliments : nous avons développé des techniques révolutionnaires qui ont tout changé.

    Fini les famines hivernales qui régulaient naturellement nos populations. Fini les cycles de croissance et de déclin qui maintenaient l’équilibre.

    Résultat ? Notre population ne baisse plus jamais. Elle explose, littéralement.

    La rupture historique

    Nous avons brisé un cycle vieux de millions d’années en quelques millénaires seulement. Cette rupture historique a des conséquences que nous commençons à peine à comprendre.

    Car la nature, elle, n’a pas oublié ses règles…


    À SUIVRE LA SEMAINE PROCHAINE : Découvrez les chiffres vertigineux de cette explosion humaine et pourquoi nos économistes refusent de regarder la réalité en face.

    Partagez cette enquête avec #LaGrandeRupture


    ÉPISODE 2/4 : L’EXPLOSION SILENCIEUSE

    Quand les chiffres révèlent l’ampleur du bouleversement

    Objet du mail : 📊 Les chiffres qui vont vous glacer le sang

    Récap épisode 1 : L’humanité a cassé le cycle naturel qui régulait les populations depuis des millions d’années en apprenant à stocker ses ressources.

    La statistique qui change tout

    Voici un chiffre qui va vous faire réfléchir : il y a aujourd’hui plus d’êtres humains vivants sur Terre que de morts depuis le début de notre espèce.

    Laissez cette information faire son chemin. Nous vivons un moment unique dans l’histoire de l’humanité. Une explosion démographique sans précédent.

    La machine économique de la croissance

    Cette explosion alimente une machine économique qui ne connaît qu’une seule direction : la croissance. Toujours plus de consommateurs, toujours plus de production, toujours plus de ressources ponctionnées sur une planète aux limites fixes.

    Depuis l’ère industrielle, toute notre économie repose sur ce principe : enrichir quelques producteurs grâce à un nombre toujours croissant de consommateurs.

    L’économie du déni

    Face à cette réalité, nos dirigeants économiques pratiquent la politique de l’autruche. Ils savent qu’une croissance exponentielle est impossible sur une planète finie, mais refusent d’imaginer autre chose.

    Même une simple stagnation de la population leur semble impensable.

    Le problème des retraites ? Un avant-goût de ce qui nous attend partout. Plutôt que d’organiser la transition, on préfère convaincre les gens de « manger moins de viande » pour réduire discrètement la production.

    Une stratégie du fait accompli qui évite les vraies questions.


    À SUIVRE LA SEMAINE PROCHAINE : En Chine, ils pollinisent déjà à la main. Cette image surréaliste pourrait devenir notre quotidien.

    Que pensez-vous de cette explosion démographique ? Répondez-moi !


    ÉPISODE 3/4 : QUAND LA CHINE POLLINISE À LA MAIN

    Les signaux d’alarme sont déjà là

    Objet du mail : 🐝 ALERTE – Quand les humains remplacent les abeilles

    Récap épisodes précédents : L’humanité a cassé le cycle naturel, provoquant une explosion démographique inédite que notre économie refuse d’anticiper.

    L’image qui préfigure notre avenir

    En Chine, dans certaines régions, les agriculteurs n’ont plus le choix : ils pollinisent leurs arbres fruitiers à la main, un par un, armés de pinceaux.

    Pourquoi ? Les insectes ont disparu.

    Cette image surréaliste – des milliers d’ouvriers remplaçant les abeilles – pourrait bientôt se généraliser dans le monde entier.

    La biodiversité s’effondre

    Les scientifiques sont formels : la biodiversité s’effondre à une vitesse vertigineuse. Nous assistons à la sixième extinction de masse de l’histoire de la Terre.

    La différence ? Cette fois, c’est nous qui en sommes responsables.

    Et contrairement aux précédentes, nous risquons de tomber avec elle.

    Les terroristes de nos enfants

    Nous vivons une contradiction temporelle cruelle :

    • Pour le réchauffement climatique, nous payons les erreurs d’hier
    • Pour la biodiversité, ce sont nos enfants qui paieront nos erreurs d’aujourd’hui

    Nous sommes devenus les terroristes de nos propres enfants.

    Les intérêts économiques immédiats priment toujours sur l’avenir des générations futures. Quelques voix s’élèvent pour dire qu’on ne peut pas mépriser nos enfants, mais le réalisme politique reprend vite ses droits.

    L’effondrement en marche

    Nous avons brutalement modifié l’équilibre écologique de la biodiversité. Les conséquences commencent à peine à se faire sentir, mais elles sont déjà irréversibles dans certaines régions.


    À SUIVRE LA SEMAINE PROCHAINE : Le grand final – Quel nouvel équilibre va naître et comment nous y préparer.

    Avez-vous déjà observé la disparition d’espèces près de chez vous ? Témoignez !


    ÉPISODE 4/4 : L’ÉQUILIBRE QUI VIENT

    Ce qui nous attend, que nous le voulions ou non

    Objet du mail : ⚖️ FINAL – L’équilibre qui va tout changer

    Récap de l’enquête : L’humanité a cassé le cycle naturel, provoqué une explosion démographique inédite, et déclenché un effondrement de la biodiversité dont les signaux sont déjà visibles.

    Le retour de bâton

    Le cycle naturel que nous avons brisé va se reconstituer, mais à sa manière : brutalement.

    Plus nous retardons l’ajustement, plus il sera violent. Les famines et épidémies que nous avons réussi à éviter pendant des siècles pourraient revenir en force, d’autant plus destructrices qu’elles auront été longtemps contenues.

    L’inéluctable correction

    Un nouvel équilibre écologique va naître, que nous le voulions ou non. La question n’est plus de savoir si cela arrivera, mais comment et quand.

    Nous avons modifié si brutalement les règles du jeu naturel qu’une correction tout aussi brutale semble inévitable.

    Trois scénarios possibles

    Scénario 1 – L’effondrement brutal : Nous continuons comme si de rien n’était jusqu’au point de rupture Scénario 2 – La transition forcée : La nature nous impose ses règles par la crise Scénario 3 – L’adaptation volontaire : Nous anticipons et organisons la transition

    La biodiversité trouvera son chemin

    Avec ou sans nous, la biodiversité trouvera un nouvel équilibre. Elle a survécu à cinq extinctions de masse, elle survivra à la sixième.

    La vraie question : Voulons-nous faire partie de ce nouvel équilibre ?

    Et maintenant ?

    Cette enquête révèle l’ampleur d’une crise que nos dirigeants peinent encore à regarder en face. Le temps de l’action se rétrécit dangereusement.

    Mais l’information circule. La prise de conscience grandit. Et c’est par là que tout commence.


    MERCI d’avoir suivi cette enquête jusqu’au bout.

    Votre mission maintenant : Partagez ces révélations avec #LaGrandeRupture

    Quel scénario vous semble le plus probable ? Que comptez-vous changer dans votre vie ? Dites-le moi !


    BONUS – GUIDE DE DIFFUSION

    Calendrier recommandé :

    • Lundi : Épisode 1
    • Lundi suivant : Épisode 2
    • Lundi suivant : Épisode 3
    • Lundi suivant : Épisode 4

    Optimisation engagement :

    • Envoi vers 9h (optimal pour ouverture)
    • Relance aux non-ouvreurs après 3 jours
    • Création d’un groupe Facebook/Telegram pour les discussions
    • Sondages entre les épisodes pour maintenir l’engagement

    Manifeste pour la scape

    Bonjour,

    L’entrisme cynégétique a permis à la chasse d’influencer la législation, pour imposer le plaisir de tuer, sans risque et sans raison, des animaux sensibles et innocents.

    Les maires ont été récemment « sollicités » pour rétablir les privilèges et passe-droits des chasseurs, que l’Europe tente de limiter.

    La législation de la chasse est devenue une « charia » cynégétique, protégée par une dangereuse mafia.

    Ce courrier rappelle qu’il existe des usagers de la nature qui n’éprouvent aucun plaisir à tuer et qu’ils méritent tout autant l’attention des autorités municipales.
    D’autant plus qu’ils sont cinquante à cent fois plus nombreux, malgré la propagande et le soutien cynégétique de l’état.

    Bonjour,

    La scape est : L’art d’observer et d’immortaliser des scènes de vies sauvages. : https://la-scape.eu/

    Nous vous adressons ce manifeste qui est une réponse à celui que les chasseurs ont remis aux mairies. Il permettra à votre conseil municipal de savoir qu'il existe d’autres usages de la faune sauvage que le plaisir de tuer. Une très grande majorité de Français, des villes et des champs, préfèrent cette activité.

    Le plaisir de regarder vivre la faune sauvage étant incompatible avec celui de la terroriser et de la tuer, nous vous demandons de répartir équitablement les terrains de pratique de ces deux loisirs.

    La Scape peut coexister avec toutes les activités qui ne dérangent pas la faune et ne présentent aucun risque pour les autres usagers de la nature, contrairement au "tir sur cibles vivantes en milieu ouvert", souvent désigné sous le terme de "chasse".

    Manifeste pour la SCAPE

    VERSUS

    VERSUS marque une opposition ou une comparaison entre deux notions, contrairement à un système hégémonique, comme la chasse, qui ne permet pas de choisir son camp. On peut être pour ou contre (ou s’en foutre), mais pas choisir entre deux politiques, deux convictions ou deux loisirs.

    VERSUS est une catégorie d’articles qui compare deux activités. Généralement la Scape et la chasse, mais aussi la scape avec d’autre association afin d’expliquer leurs différences complémentaires ou opposées.

     

    Entrisme islamique VS entrisme cynégétique

    Deux formes d’influence sur la société

    L’entrisme est une stratégie qui consiste à infiltrer progressivement des structures existantes pour en influencer les décisions et les orientations. Si l’actualité politique met en avant l’entrisme islamique des Frères musulmans, un autre type d’entrisme, moins médiatisé, mais tout aussi structurant, mérite d’être analysé : l’entrisme cynégétique, qui façonne depuis des décennies la gestion de la biodiversité en France.

    L’entrisme cynégétique : une prise de contrôle silencieuse de la gestion de la faune

    À l’image de l’entrisme islamique, l’entrisme cynégétique repose sur une infiltration progressive des instances décisionnelles pour imposer leur vision spécifique de la gestion de leur biodiversité cynégétique.
    Depuis la révolution, les chasseurs ont réussi à institutionnaliser leur pratique, obtenant des privilèges législatifs, une influence considérable sur les politiques environnementales et une appropriation de fait des espaces naturels des communes rurales.
    Le droit de chasse est inscrit dans le Code de l’environnement, et ses lois sont toujours rédigées en concertation avec les fédérations de chasseurs.
    Les chasseurs siègent majoritairement dans toutes commissions environnementales, influençant les réglementations sur la faune sauvage.
    Comme récemment avec leur « manifeste pour la chasse« , les élus locaux sont souvent contraints de composer avec les groupes de chasseurs, qui exercent une pression pour maintenir leurs privilèges.

    Scape : une alternative pour contrer l’entrisme cynégétique

    Face à cette domination cynégétique, Scape propose une alternative fondée sur l’observation et l’immortalisation de la vie sauvage. Contrairement à la chasse, qui repose sur la prédation, Scape défend une approche respectueuse de la biodiversité, où la faune est étudiée et préservée plutôt que Massacrée.

     

    Deux formes d’entrisme, deux visions du monde

    Si l’entrisme islamique est perçu comme une menace pour la République, l’entrisme cynégétique est une réalité bien ancrée, qui façonne la gestion de la biodiversité au détriment d’alternatives plus respectueuses. Scape représente une opportunité de rééquilibrer cette influence en proposant une approche fondée sur l’observation et la préservation, plutôt que sur la domination et la destruction.

    La reconnaissance de Scape comme un droit est essentielle pour offrir une véritable alternative à la chasse et rétablir une gestion de la faune plus éthique et durable.

    changement d’horaire

    L’absurdité du changement d’heure

    La persistante incompétence technique de certains députés est consternante, d’autant plus que leurs pairs n’osent les contredire. Prenons l’exemple emblématique du changement d’heure, mesure inepte justifiée par de prétendues économies d’énergie.

    Une erreur scientifique grossière
    L’idée qu’avancer ou reculer les aiguilles permettrait d’économiser l’électricité relève de la méconnaissance des lois physiques élémentaires. L’énergie ne disparaît pas : non consommée, elle se dissipe en vapeur ou eau chaude, nuisant à l’environnement. Pire, la vapeur d’eau émise contribue bien davantage à l’effet de serre que le CO2.

    Un chaos organisationnel
    Les conséquences pratiques sont désastreuses : anomalies horaires (trains « arrivant avant leur départ »), rendez-vous manqués, et perturbations majeures pour les professions dépendant du cycle solaire (agriculteurs, éleveurs, parents…). La nature ne suit pas les décrets bureaucratiques.

    L’immobilisme bureaucratique
    Face à ces évidences, Bruxelles a créé une commission… qui piétine depuis des années. La raison est triviale : statuer signifierait la fin de ses subsides. Cette inertie coûteuse illustre comment des dépenses « anodines » alimentent le déficit public.

    La solution évidente
    Retourner à l’heure solaire, seul système cohérent avec les rythmes naturels, serait pourtant simple. Mais en technocratie, le bon sens est souvent la dernière des priorités.

    L’état est responsable des accidents de chasse

    Les cynégécides sont des faits ayant entrainé la mort d’un usager de la nature innocent par un chasseur.
    Contrairement aux accidents de voitures, c’est fait sont toujours classés en « malheureux accidents de chasse », bien que ce soit statistiquement contestable. La victime peut avoir été délibérément visée.

    À la décharge du coupable, il faut avouer que le législateur fait tout pour favoriser les accidents.

    En accordant les dérogations de sécurité élémentaire imposée aux autres sports de tir, les chasseurs se comportent comme des intégristes soutenus par la charia d’un état cynégétique.

    Législation détaillée des associations

    L’obligation de tenue d’une assemblée générale dans une association loi 1901 n’est pas imposée par la législation. Cependant, elle constitue un moyen indispensable pour délibérer sur toutes les questions concernant le fonctionnement d’une association.

    Les statuts prévoient les modalités relatives à l’organisation d’une assemblée générale, notamment :

    • Les formalités de convocation ;
    • Le mode de vote.

    Assemblée générale d’une association : quelles sont les obligations ?

    Concernant l’obligation de tenue d’une assemblée générale dans une association loi 1901, les tâches ainsi que l’organisation sont librement fixées par les statuts. Ces derniers sont rédigés lors de l’assemblée générale constitutive, laquelle permet également de décider des différentes dispositions relatives à la gestion de l’association.

    Bon à savoir : la validité des décisions prises pendant l’assemblée générale est conditionnée par le respect de toutes les dispositions établies dans les statuts. Dans le cas contraire, un membre dispose d’un délai de cinq ans pour engager une procédure d’annulation auprès du tribunal.

    Gestion désintéressée

    En référence à la loi de 1901, une association est avant tout une organisation créée sans but lucratif. Ainsi, ses dirigeants ne sont pas payés pour les services qu’ils rendent à l’association. C’est cette gestion désintéressée qui la distingue de l’entreprise commerciale. Cette dernière a pour vocation de développer des activités pour en tirer des bénéfices.

    Selon la loi 1901, la gestion désintéressée d’une association implique trois principaux points :

    • Aucune distribution de bénéfices n’est admise dans le cadre des activités ;
    • Aucun actif ne peut être attribué à un membre ou à leurs ayants droit en cas de cessation d’activité ;
    • La gestion est assurée par des bénévoles. Si la gratuité du service rendu par les dirigeants est de rigueur, la loi dispose qu’ils peuvent recevoir une rémunération sous certaines conditions. Pour ce faire, il est nécessaire de modifier les statuts. Dans ce cas, l’obligation de tenue d’une assemblée générale dans une association loi 1901 s’impose pour statuer sur le montant de la rétribution.
    À noter : les associations d’utilité publique ne sont pas soumises au paiement des impôts commerciaux. Elles ne sont pas non plus autorisées à rétribuer leurs dirigeants. Aucune dérogation à ce principe n’est possible.

    Désignation du représentant légal

    Conformément à la loi 1901, une association doit obligatoirement avoir un représentant légal. Celui-ci agit au nom de l’organisation et toutes les décisions qu’il prend s’imposent aux tiers. Il est aussi habilité à défendre les intérêts de l’association auprès de toutes les instances. En tant que mandataire, il peut signer des contrats ou engager des actions en justice au nom de l’association.

    Le représentant légal peut être nommé par les statuts ou par l’assemblée générale. La plupart du temps, il s’agit du président de l’association. Cependant, aucune disposition légale n’empêche la désignation d’une autre personne. Par ailleurs, plusieurs délégués peuvent être choisis librement en tant que représentants légaux, leurs attributions étant souvent différentes. À titre d’exemple, un représentant est désigné pour le volet financier et un autre pour les démarches administratives.

    Les pouvoirs et les tâches du représentant légal sont délimités par les statuts. Par ailleurs, pour certains actes importants, il peut être nécessaire de procéder à une habilitation spécifique par l’assemblée générale ou par le conseil d’administration. Cette habilitation peut être permanente ou temporaire.

    Bon à savoir : si une faute grave de gestion est avérée, la responsabilité individuelle du représentant légal peut être retenue. C’est par exemple le cas lors de la signature d’un chèque sans provision. Parallèlement, si les statuts le prévoient, le représentant légal peut déléguer une partie ou l’ensemble de ses pouvoirs à des membres de l’association. Néanmoins, sa responsabilité reste engagée.

    Tenue d’une assemblée générale

    L’assemblée générale est un organe indépendant d’une association. Selon la loi de 1901, les statuts en fixent librement l’organisation et la composition. Elle réunit de plein droit l’ensemble des membres admis et qui doivent délibérer sur toutes les questions relatives à l’association.

    Ce que prévoit la loi

    Globalement, la loi de 1901 n’inclut pas de mention obligatoire quant au fonctionnement interne des associations. Ainsi, celles-ci sont libres de fixer les règles qui régissent les parties dirigeantes. Dans ce sens, bien que l’assemblée générale soit l’organe de décision par excellence de l’association, la loi n’indique pas d’obligation stricte concernant sa tenue.

    Toutefois, pour certaines décisions, l’assemblée générale est indispensable. Tel est notamment le cas pour :

    • La validation des comptes de l’association ;
    • La procédure en reconnaissance pour utilité publique ;
    • La demande d’exemption de TVA pour les services à visée sociale, éducative ou culturelle.

    La loi dispose également que la tenue d’une assemblée générale est une obligation pour les associations réglementées. Cela concerne par exemple les associations cultuelles.

    Bon à savoir : pour toute demande de subventions auprès des collectivités territoriales, le dossier doit être accompagné d’un extrait de procès-verbal de l’assemblée générale. Celui-ci doit valider les comptes.

    Ce que prévoient les statuts

    L’organisation de l’assemblée générale est fondamentale pour la gestion de l’association. Elle permet de délibérer sur des questions fondamentales. De ce fait, elle doit être prévue par les statuts. Ces derniers déterminent les modalités d’organisation ainsi que les détails relatifs au déroulement des activités.

    Ainsi, les statuts doivent comporter des précisions sur les compétences de l’assemblée générale. La qualité des personnes autorisées à participer ainsi que le mode de scrutin admis ou encore le quorum doivent aussi y figurer.

    Bon à savoir : selon la nature des décisions à prendre, on distingue deux types d’assemblées générales. L’assemblée générale ordinaire (AGO) délibère sur les questions relatives au fonctionnement normal de l’association.

    Quant à l’assemblée générale extraordinaire (AGE), elle traite des questions plus importantes qui peuvent impacter la vie de l’association. Il s’agit par exemple de révoquer le conseil d’administration ou de statuer sur la dissolution de l’association.

    Quelles sont les associations concernées par ces obligations ?

    Si la loi 1901 n’impose pas la tenue d’une assemblée générale pour le bon fonctionnement de l’association, il est recommandé de la prévoir dans les statuts. Par ailleurs, cette réunion doit obligatoirement avoir lieu tous les ans pour certaines associations.

    Associations reconnues d’utilité publique

    Les associations reconnues d’utilité publique (ARUP) peuvent disposer d’une capacité juridique plus importante et bénéficier d’avantages fiscaux intéressants. Grâce à ce statut, leur crédibilité est soutenue avec un renforcement du bien-fondé des actions qu’elles engagent.

    Ainsi, la reconnaissance d’utilité publique de l’association lui permet de recueillir des donations et des legs importants. Ces derniers désignent des dons enregistrés par un acte notarié. Par exemple, une ARUP peut obtenir gratuitement des biens immobiliers. Ils peuvent être mis en vente s’ils ne sont pas utiles pour les activités de l’association.

    Au niveau de la fiscalité, la reconnaissance d’utilité publique (RUP) d’une association permet à tout donateur de bénéficier d’un crédit d’impôt non négligeable.

    Pour obtenir la RUP, une association doit respecter certaines exigences :

    • Agir dans l’intérêt général. Elle doit par exemple se focaliser sur les actions en faveur de l’éducation ;
    • Être enregistrée à la préfecture depuis au moins trois années ;
    • Disposer d’une bonne situation financière. À titre d’exemple, les ressources propres à l’association doivent s’élever au moins à 46 000 euros par an ;
    • Avoir un impact au niveau national ;
    • Enregistrer au moins 200 membres.

    Pour formaliser la procédure, une demande doit être envoyée au ministère de l’Intérieur. Celle-ci doit être jointe aux comptes de résultat et aux statuts de l’association. Ensuite, un avis des ministères compétents est requis. En cas d’approbation, le Conseil d’État est invité à se prononcer. Au terme de la procédure, c’est également cette instance qui statue par un décret. La décision doit être publiée dans le Journal officiel pour finaliser la démarche.

    La reconnaissance d’utilité publique peut être retirée sur demande de l’association. L’assemblée générale doit délibérer dans ce sens pour appuyer le dossier de renonciation déposée auprès du ministère de l’Intérieur.

    Elle peut aussi être ôtée par les pouvoirs publics si ceux-ci constatent des manquements graves. Dans tous les cas, il revient au Conseil d’État d’abroger le décret relatif à la RUP.

    Bon à savoir : une association d’intérêt général ne peut accepter que des dons manuels. Il s’agit de dons reçus de particuliers ou d’entreprises. L’acte notarié n’est pas utile dans ce cas-ci et la valeur des donations est assez modeste comparée à ceux reçus par une ARUP.

    Associations exerçant une activité économique

    La loi 1901 dispose que l’action sociale doit être désintéressée. À ce titre, l’association peut exercer une activité économique, à condition qu’elle contribue à l’achèvement de son objet social. Aucune distribution de profits ne doit se faire entre les membres. Par ailleurs, l’assemblée générale doit délibérer dans ce sens afin que la mention soit inscrite dans les statuts de l’association.

    Sont considérées comme associations exerçant une activité économique celles qui peuvent facturer des biens et des services dans différents secteurs (commercial, agricole…). Il s’agit, par exemple, des associations qui organisent des activités sportives ou des collectes de fonds.

    Dès lors que l’exercice d’une action économique est avéré, même à titre exceptionnel, l’association se doit de respecter les dispositifs appliqués aux entreprises commerciales. Par exemple, pour chaque service ou produit vendu, elle doit fournir une facture réglementaire. Ainsi, même s’il s’agit d’une activité ponctuelle, la facture d’association est due.

    Par ailleurs, au niveau de la fiscalité, l’exonération en matière d’impôts commerciaux n’a plus lieu d’être. L’association est désormais soumise au paiement de la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) et de la contribution économique territoriale (CFE). Elle devient également soumise à l’impôt sur les sociétés (IS).

    En outre, l’association doit tenir une comptabilité. Si nécessaire, dans le cas de l’exercice habituel d’une activité économique, elle procède à la certification des comptes par un commissaire aux comptes. L’approbation par l’assemblée générale est obligatoire tout comme la publication sur le site internet de la direction des Journaux officiels.

    À noter : certaines associations ne perçoivent que les cotisations de leurs membres, les dons des tiers ou les subventions. Dans ce cas, elles sont reconnues comme n’ayant aucune activité économique.

    Autres associations concernées

    D’autres associations sont également concernées par ces obligations. Il s’agit notamment des :

    • Associations agréées par certaines institutions publiques ;
    • Associations recevant des aides publiques ;
    • Associations sportives qui désirent obtenir un agrément ;
    • Fédérations régionales de courses hippiques.

    Les associations exemptées de ces obligations

    Certes, la loi 1901 n’impose pas d’obligation quant à la tenue d’une assemblée générale. Toutefois, dans la pratique, les dirigeants qui ne prévoient pas d’organiser une telle réunion régulièrement sont considérés comme responsables d’une appropriation des pouvoirs au sein de l’association.

    À ce titre, les juges sont habilités à reconsidérer l’objet de l’association, celle-ci étant désormais vue comme une société. Dans ce cas, le mandat des dirigeants est modifié et leur responsabilité personnelle est engagée.

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     Quels sont les différents types d’AG ?

    L’assemblée générale permet de statuer sur des questions relatives à la vie de l’association et de valider les décisions prises par les membres. Même si les objectifs sont les mêmes, une distinction doit être faite entre AGO et AGE.

    Assemblée générale ordinaire

    L’AGO vise à traiter tous les sujets relatifs à la gestion de l’association au quotidien.

    Objectifs

    L’assemblée générale ordinaire vise globalement à faire le point sur les activités réalisées et sur celles programmées pour l’année suivante. Elle permet de statuer sur :

    • Le bilan annuel avec la présentation des rapports moral, d’activités et financier ;
    • La validation des orientations des activités pour l’année à venir ;
    • L’approbation du budget prévisionnel de l’association;
    • La fixation du montant à percevoir au titre des cotisations ;
    • Le renouvellement ou la modification des pouvoirs des différents organes dirigeants.

    Fréquence

    L’AGO est prévue se tenir régulièrement, à savoir chaque année. La date de la réunion peut être choisie librement, mais doit être inscrite dans les statuts. Généralement, les associations choisissent de l’organiser en mars, en septembre ou à la fin de l’année.

    Participants

    Les statuts de l’association déterminent les participants à une assemblée générale ordinaire. En principe, l’ensemble des membres de l’association sont autorisés à y prendre part.

    Cependant, dans des cas particuliers, il est possible de limiter l’accès à certains membres, notamment ceux qui n’ont pas respecté leurs engagements envers l’association. Par exemple, la participation des adhérents qui n’ont pas payé leurs cotisations peut être interdite. S’ils consentent à se mettre à jour dans leurs obligations, ils pourront participer à l’AGO au même titre que les autres membres.

    Présidence

    Il est d’usage de désigner un président de séance. Ce dernier a pour mission de diriger les échanges et de valider les décisions prises durant la réunion. Dans la majorité des cas, ce sont les statuts qui indiquent la personne habilitée à occuper cette fonction.

    S’ils n’en font pas mention, il convient de se référer au règlement intérieur. Dans le cas où aucune indication à ce sujet ne serait faite dans les documents réglementaires, l’assemblée peut élire directement un président de séance. Le cas échéant, le président de l’association peut également occuper cette fonction.

    Assemblée générale extraordinaire

    L’AGE est organisée pour traiter des questions qui nécessitent de prendre des résolutions décisives et importantes.

    Objectifs

    L’assemblée générale extraordinaire délibère sur des sujets importants qui peuvent avoir des conséquences sur la vie de l’association, en l’occurrence :

    • La demande de reconnaissance d’utilité publique ;
    • La modification des statuts de l’association ;
    • L’exclusion d’un membre ;
    • Le changement de siège social ;
    • La dissolution de l’association.

    Fréquence

    La possibilité d’organiser une assemblée générale extraordinaire doit être prévue par les statuts. Elle est convoquée suite à une décision du dirigeant de l’association, du conseil d’administration ou du bureau. Dans certains cas définis par les statuts, quelques adhérents peuvent requérir une AGE.

    Bon à savoir : une AGE peut être organisée en même temps qu’une AGO, les questions traitées étant différentes. Toutefois, les horaires doivent être décalés.

    Participants

    Tous les membres de l’association sont autorisés à prendre part à une assemblée générale extraordinaire. Cependant, si les statuts ou le règlement intérieur le prévoient, seuls certains membres peuvent assister à la réunion. Ces derniers sont généralement les membres du conseil d’administration. Par ailleurs, le cas échéant, il est d’usage de convoquer le commissaire aux comptes par écrit afin qu’il puisse assister à l’assemblée.

    Concernant la prise de décision, chaque participant à l’assemblée dispose d’une voix lors du vote. Les modalités de scrutin sont définies par les statuts. D’un point de vue général, pour une AGE, il est courant qu’un quorum plus élevé soit exigé en plus de la majorité. Par exemple, une décision est adoptée si la moitié des membres présents ou représentés ont voté en sa faveur avec deux tiers des suffrages.

    Bon à savoir : il est courant d’ajouter une rubrique « questions diverses » à l’ordre du jour détaillé afin que les participants puissent débattre de sujets qui n’étaient pas prévus.

    Présidence

    Si le président de séance n’est pas désigné dans les statuts, la fonction revient généralement au président de l’association. Il a pour mission de gérer les échanges entre les membres présents et de veiller au respect des modalités d’organisation et de vote prévues par les statuts.

    Il revient aussi au président de séance d’évaluer les pouvoirs des participants, de soumettre les décisions aux délibérations et d’authentifier le procès-verbal d’association en y apposant sa signature.

    À noter : après une AGE, il est obligatoire de dresser un procès-verbal. Ce dernier sera enregistré auprès de la préfecture et sera utilisé à titre de référence en cas de conflits.

    Comment s’organise une AG d’association loi 1901 ?

    Pour le bon fonctionnement d’une association loi 1901, il est primordial de tenir une assemblée générale au moins une fois tous les ans. En effet, cette réunion permet aux membres de statuer sur des questions importantes pour la vie de l’association. Par ailleurs, c’est l’organe de décision le plus important d’une association.

    Pour que les résultats des délibérations soient valables, il est indispensable de respecter les règles d’organisation des assemblées. Celles-ci sont librement fixées dans les documents de référence de l’association (statuts ou règlement intérieur).

    Bon à savoir : l’annulation d’une décision prise lors d’une assemblée générale peut indiquer un problème au niveau de la gestion de l’association.

    Responsabilité de l’organisation de l’assemblée générale

    L’organisation d’une assemblée générale est souvent confiée à un organe ou un membre du bureau de l’association. Président, secrétaire ou représentant du conseil d’administration, il lui incombe de préparer l’assemblée et d’envoyer les convocations.

    Désignation du responsable par les statuts

    Dans la majorité des cas, les statuts sont des documents de référence qui comportent généralement une indication sur le responsable de l’organisation de l’assemblée générale.

    Désignation du responsable par le règlement intérieur

    Lorsque les statuts ne prévoient pas de responsable de l’organisation de l’assemblée générale, le règlement intérieur peut en faire mention.

    Aucun responsable désigné par les statuts ni par le règlement intérieur

    Dans le cas où aucun document réglementaire ne préciserait le responsable de l’organisation de l’assemblée générale, le président de l’association peut s’en charger. En effet, il s’agit de la personne disposant des pouvoirs les plus étendus au sein de l’association.

    Convocation à l’assemblée générale

    La première étape de l’organisation de l’assemblée générale est l’expédition des convocations aux membres de l’association qui peuvent y participer. La composition de l’assemblée est déterminée par les textes de référence.

    Généralement, c’est le président qui est habilité à envoyer les convocations. Il peut le faire par lettre recommandée ou par e-mail. Le délai minimum admis par la loi pour l’envoi de l’invitation est de 15 jours.

    La convocation peut être individuelle ou collective. Dans tous les cas, elle doit renfermer plusieurs informations obligatoires. Il s’agit notamment de l’heure, du lieu de l’assemblée ainsi que l’ordre du jour. Pour être valide, l’invitation doit être signée et comporter le nom du signataire.

    Pour les participants qui ne peuvent être présents lors de l’assemblée, il est possible de donner procuration à un autre adhérent de l’association. L’élection en ligne est aussi envisageable.

    À noter : dans le cas où le président de l’association ne consentirait pas à convoquer une assemblée générale, le conseil d’administration peut s’en charger.

    Déroulement d’une assemblée générale

    Avant le début de l’assemblée générale, quelques étapes préalables doivent être effectuées. Il est entre autres question de vérifier les pouvoirs des participants, faire signer la fiche de présence et désigner un secrétaire de séance.

    La réunion proprement dite débute généralement par la présentation de l’ordre du jour qui est suivie des différentes présentations et des débats. Ensuite, l’assemblée peut procéder au vote. Sur ce point, la loi 1901 ne dispose pas d’un quorum à respecter.

    Cependant, les modalités peuvent être inscrites dans les documents réglementaires de l’association. Il en est de même pour le mode de scrutin ainsi que le nombre de voix accordé à chaque participant. Dans le cas contraire, l’assemblée peut décider.

    Dès lors que tous les points de l’ordre du jour ont été évoqués, le président de séance peut clôturer l’assemblée générale. Toutes les décisions prises ainsi que le déroulement des débats sont relatés dans un procès-verbal. Ce dernier est signé par le président et le secrétaire de séance.Créer mon association

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    47 Commentaires
    Le plus ancien
    Le Métayer
    Le Métayer
    février 15, 2023 8:56 pm

    Doit on receVoir un compte rendu de l’AG quand on est membres actifs et cotisants

    Louise
    Administrateur
    mars 1, 2023 11:38 am

    Répondre à  Le Métayer

    Bonjour,

    Dans le cadre d’une association, il n’y pas d’obligation légale d’établir un compte rendu à la suite d’une assemblée générale
    Néanmoins, en établir un est recommandé pour garder un historique des sujets abordés et des décisions prises (notamment en cas de désaccord au sein de l’association) et aura vocation a être utilisé en interne par les membres de l’association.
    En espérant avoir su répondre à vos interrogations.
    L’équipe LegalPlace

    Domond
    Domond
    mars 23, 2023 5:47 am

    Bonjour,
    Lors de l’expression d’un argumentaire de vote (en l’occurrence pour devenir association confessionnelle ou laïque), le président de l’Assemblée Générale doit-il être neutre dans sa présentation des arguments pour et contre afin de ne pas influencer le vote ?
    Une association peut-elle devenir “structure de conviction” au même titre que les entreprises de convictions. Si oui, que cela implique-t-il (changement de statuts, apparition dans les statuts …)

    Johanna
    Johanna
    mars 31, 2023 10:13 am

    Répondre à  Domond

    Bonjour,
    Oui, lors de l’expression d’un argumentaire de vote, le président de l’Assemblée Générale doit être neutre dans sa présentation des arguments pour et contre afin de ne pas influencer le vote.
    Concernant votre deuxième question, cela dépend des statuts de l’association et des règles qui régissent son fonctionnement. En général, une association peut défendre une conviction ou une cause, mais elle doit le faire dans le respect de la loi et des principes démocratiques.
    En vous souhaitant une agréable journée,
    L’équipe LegalPlace

    Guy
    Guy
    avril 9, 2023 10:30 am

    Bonjour, que se passe-t-il si une association 1901 ayant une activité économique ne fait pas son AGO dans les délais? Merci de votre réponse.

    Louise
    Administrateur
    avril 11, 2023 12:52 pm

    Répondre à  Guy

    Bonjour,

    Si l’AGO d’une association n’est pas réunie dans les délais requis et empêche certains membres d’être présents, alors les résolutions adoptées durant cette AG sont susceptibles d’être annulées en justice par un membre qui n’est pas à l’origine de la nullité ou d’un administrateur.
    En espérant avoir su répondre à vos interrogations.
    L’équipe LegalPlace

    Cyril Vie
    Cyril Vie
    mai 8, 2023 11:29 am

    Bonjour,
    Je cherche désespéremment à mettre à jour l’espace officiel d’une association de parent d’élèves. On me demande la date de fin de validité d’un PV d’AG. Quelqu’un peux t il me rediriger vers un site qui pourrait me donner une date ou un nombre d’année ?

    Alissia
    Administrateur
    mai 11, 2023 10:47 am

    Répondre à  Cyril Vie

    Bonjour, Malheureusement, il n’existe pas de règle spécifique en matière de durée de validité d’un PV d’AG (Procès-Verbal d’Assemblée Générale) pour une association de parents d’élèves. En général, un PV d’AG est considéré comme valable jusqu’à la tenue de la prochaine AG qui doit approuver le procès-verbal de la précédente AG. Cependant, cette durée peut varier en fonction des statuts de l’association et des règles internes. Je vous recommande donc de vous référer aux statuts de votre association pour connaître les règles spécifiques en matière de durée de validité d’un PV d’AG. Si les statuts ne précisent pas de durée… Lire la suite »

    Deraeve
    Deraeve
    juin 19, 2023 4:21 am

    Bonjour. L ag est elle valide s il n y a pas eu d envoi de convication dans les 15 j qui precedent ?merci

    Louise
    Administrateur
    juin 19, 2023 10:18 am

    Répondre à  Deraeve

    Bonjour,

    Il n’existe pas de délai légal pour procéder à la convocation des AG.
    En pratique un délai est 15 est un délai suffisant pour envoyer les convocations et laisser un temps suffisant aux membres.
    En revanche, si un délai est prévu dans les statuts, il faut le respecter. A défaut, la nullité de l’AG peut être encourue.
    En espérant avoir su répondre à vos interrogations.
    L’équipe LegalPlace

    Bernard
    Bernard
    juillet 30, 2023 12:33 pm

    Bonjour,
    Est-il possible et légal de réaliser une assemblée générale uniquement en distanciel (visio-conférence) si plus des 3/4 des membres ne sont pas domiciliés ni dans la région, ni dans le pays référent du siège de l’association ?

    Secondement, si une association française dispose de plus de la moitié de ses membres d’origines et de langues étrangères, une assemblée générale peut-elle être tenue uniquement en anglais ?

    Merci

    Louise
    Administrateur
    août 3, 2023 11:15 am

    Répondre à  Bernard

    Bonjour,

    Les modalités de déroulement de l’AG d’une association sont prévues par ces statuts.
    Ainsi, si les statuts ne contiennent pas de disposition en sens contraire, cela peut être possible.
    Si besoin n’hésitez pas à vous adresser à un professionnel en la matière.
    En espérant avoir su répondre à vos interrogations.
    L’équipe LegalPlace

    Aurore
    Aurore
    novembre 26, 2023 11:04 pm

    Bonjour, a-t-on obligation de fournir avec la convocation les rapports moral et financier, ainsi que le budget prévisionnel en intégralité à tous les membres en prévision des votes ? Merci de votre aide

    Alissia
    Administrateur
    décembre 1, 2023 3:46 pm

    Répondre à  Aurore

    Bonjour,
    Il vous faut fournir aux membres, avec la convocation à l’assemblée, tous les documents pouvant les aider à prendre des décisions éclairées en fonction de l’ordre du jour établi pour la tenue de l’assemblée. S’il est prévu que ces documents soient étudiés, il est en effet recommandé de les fournir, afin que les membres puissent en prendre connaissance avant l’assemblée.
    En espérant que notre réponse vous sera utile, nous vous souhaitons une belle journée,
    L’équipe LegalPlace

    agnès
    agnès
    décembre 13, 2023 10:44 am

    bonjour, notre association envisage de révoquer le président qui a vidé pour son compte personnel les comptes de l’association. les statuts et le règlement intérieur ne prévoient rien en ce sens. doit on faire une AG en sa présence et donc le convoquer pour le révoquer, ou peut on le faire sans lui? on ne peut plus attendre, doit on quand même appliquer les 15 jours minimum pour la convocation d’AG?
    merci pour vos réponses

    FRANCOISE LAHOREAU
    FRANCOISE LAHOREAU
    janvier 13, 2024 8:41 am

    Bonjour
    Est-ce qu’un adhérent peut demander le bilan comptable avant l’assemblée Générale Ordinaire et Extraordinaire
    Merci de votre réponse

    Louise
    Administrateur
    janvier 15, 2024 3:53 pm

    Répondre à  FRANCOISE LAHOREAU

    Bonjour,

    La loi du 1er juillet sur la liberté d”association n’a pas expressément prévu l’accès aux comptes de l’association pour un membre. En revanche, avoir accès aux comptes satisfait le principe de fonctionnement démocratique et la transparence du groupement associatif.
    Par conséquent, on peut considérer que les membres payant des cotisations ont le doit de connaitre des comptes annuels qui rendent compte de l’activité financière de l’association, à laquelle ils ont adhéré.
    En espérant avoir su répondre à vos interrogations.
    L’équipe LegalPlace

    Anne-Marie LOPEZ
    Anne-Marie LOPEZ
    février 8, 2024 1:10 pm

    Bonjour ! J’aimerais savoir si l’AGE et/ou l’AGO d’une association loi 1901 peut se dérouler chez des privés (bénévoles) ? En vous remerciant pour vos réponses. Bonne journée !

    Anne-Marie LOPEZ
    Anne-Marie LOPEZ
    février 9, 2024 12:01 pm

    Répondre à  Anne-Marie LOPEZ

    Bonjour ! Je reviens à ma question pour laquelle j’ai besoin d’une réponse rapide et précise, les deux AGE et AGO étant prévues pour le 18 février : J’aimerais savoir si l’AGE et/ou l’AGO d’une association loi 1901 peut se dérouler chez des privés (bénévoles) ? Ou doit-elle – impérativement – se dérouler dans un lieu public, afin que les adhérents (ou non) puissent y être présents. Sachant qu’il s’agit d’une association à but commercial qui demande des subventions. En vous remerciant pour vos réponses. Bonne journée !

    Louise
    Administrateur
    février 12, 2024 3:21 pm

    Répondre à  Anne-Marie LOPEZ

    Bonjour,

    Les modalités de fonctionnement d’une association sont prévues par ses statuts ou son règlement intérieur.
    Par conséquent, nous vous invitons à les consulter afin de savoir où peuvent se réunir les AG.
    En espérant avoir su répondre à vos interrogations.
    L’équipe LegalPlace

    Elisabeth MARIE
    Elisabeth MARIE
    février 10, 2024 8:49 pm

    Bonjour. J’ai une question à laquelle je n’arrive pas pas à avoir de réponse. Je suis secrétaire d’une association, lors de la réunion du bureau, le trésorier était absent, la présidente nous a dit il reste dans la caisse…. Euros. Je lui ai demandé le bilan financier détaillé de l’année avant l’assemblée générale. Elle a refusé, me disant qu’elle allait le fournir que le jour de l’AG, à t elle le droit ? J’ai aussi si possible une autre question qui m’inquiète. Le trésorier a acheté une voiture dd 3 000 euros l’an passé pour lui. Nous avons 600 eoros… Lire la suite »

    Alissia
    Administrateur
    février 16, 2024 4:11 pm

    Répondre à  Elisabeth MARIE

    Bonjour,
    Votre situation est complexe et nécessite l’avis d’un professionnel.
    Nous vous invitons à prendre contact avec un avocat spécialisé, qui saura vous renseigner.
    En vous souhaitant une belle journée,
    L’équipe LegalPlace.

    Min
    Min
    février 19, 2024 7:05 pm

    Bonsoir, quel risque pour une association 1901 qui n’a pas eu d’AG depuis 2 ans .
    Le président fait tout pour rendre service, il y avait un trésorier qui ne s’est jamais occupé de rien, mais comme il n’y a pas de cotisations ni de participation, pouvez vous me dire svp ce qu’il en est.
    Merci.

    Alissia
    Administrateur
    février 23, 2024 3:24 pm

    Répondre à  Min

    Bonjour, La loi elle-même ne spécifie pas explicitement l’obligation de tenir une AG annuellement, mais cette pratique est fortement recommandée et est souvent inscrite dans les statuts de l’association. Les conséquences de ne pas tenir d’AG peuvent varier selon les dispositions statutaires de chaque association et peuvent inclure des implications juridiques et administratives. Pour remédier à la situation, il serait judicieux d’organiser une AG dès que possible pour régulariser la situation, discuter des activités passées et à venir, et renouveler le bureau si nécessaire. Cela aiderait à assurer la conformité de l’association avec ses propres statuts et avec les bonnes… Lire la suite »

    Agnès Herlicq
    Agnès Herlicq
    février 24, 2024 11:37 pm

    Bonjour, les personnes ayant adhéré à l’association l’an dernier mais qui n’ont pas réglé leur cotisation le jour de la tenue de l’assemblée 2024 peuvent-elles participer et prendre part aux votes de cette assemblée générale ?
    Merci pour votre réponse

    Louise
    Administrateur
    février 26, 2024 6:48 pm

    Répondre à  Agnès Herlicq

    Bonjour,

    En règle générale, tous les membres d’une association peuvent participer à l’AG et la qualité de membre découle du paiement à jour des cotisations sociales.
    Néanmoins, le fonctionnement d’une association est prévue par ses statuts, lesquels peuvent prévoir d’autres modalités.
    Nous vous invitons à les consulter sur ce point.
    En espérant avoir su répondre à vos interrogations.
    L’équipe LegalPlace

    Tom
    Tom
    mars 13, 2024 7:58 pm

    Je suis président d’une association. Notre AGO a eu lieu début mars. Tous les membres dirigeants ne se représentent pas et personne n’a souhaité reprendre l’association lors de l’assemblée. Nous ne voulons pas mettre en sommeil. Une poignée de personnes semblent motivées pour reprendre. Quel est le délais légal entre la date de l’assemblée et l’envoi du PV pour modification des membres à la Préfecture ? Merci.

    Louise
    Administrateur
    mars 14, 2024 4:09 pm

    Répondre à  Tom

    Bonjour,

    Dans le cadre d’une association, les modifications sont à déclarer dans les 3 mois auprès du greffe des associations de la préfecture du département du siège social de l’association.
    En espérant avoir su répondre à vos interrogations.
    L’équipe LegalPlace

    molikul
    molikul
    avril 21, 2024 5:28 pm

    bonjour

    peut on faire une AGO définit dans les statuts de l’assocation qu’avec les membres du bureau et non tous les membres de l’association ?

    Louise
    Administrateur
    avril 24, 2024 9:53 am

    Répondre à  molikul

    Bonjour,

    Les modalités de réunion d’une AGO d’une association et les personnes pouvant y participer sont prévues dans ses statuts.
    Ainsi, si ceux si prévoient que tous les membres doivent y participer et pas que les membres du bureau alors tous les membres doivent être convoqués.
    N’hésitez pas à les consulter sur ce point.
    En espérant avoir su répondre à vos interrogations.
    L’équipe LegalPlace

    Risso
    Risso
    mai 3, 2024 7:33 am

    Le Président d’une association 1901a t il le droit de voter au cours de l’AG de cette association?
    Jeannine

    Louise
    Administrateur
    août 20, 2024 1:29 pm

    Répondre à  Risso

    Bonjour,

    Les modalités de fonctionnement et de vote aux AG d’une association sont prévues par ses statuts ou son règlement intérieur.
    En règle générale, tous les membre à jour des cotisations peuvent voter lors de l’AG d’une association.
    En revanche, les statuts peuvent prévoir d’autres conditions ou exclusion, nous vous invitions à les consulter sur ce point.
    En espérant avoir su répondre à vos interrogations.
    L’équipe LegalPlace

    Alex Franc
    Alex Franc
    juin 11, 2024 9:59 am

    Bonjour,
    La composition du Bureau d’une association (Président.e, trésorier.e, Secrétaire, …), devrait elle obligatoirement être définie par l’AG ?
    Est-ce que les membres du Bureau d’une association dont les statuts ont prévu la tenue d’une AG régulière, peuvent ils maintenir leurs fonctions à vie, sans être désignés ou renouvellés chaque année par l’AG ?

    Merci

    Louise
    Administrateur
    juillet 22, 2024 11:08 am

    Répondre à  Alex Franc

    Bonjour,

    La loi 1901 sur la liberté d’association laisse une grande liberté d’organisation au statut de l’association afin de régir le fonctionnement de celle-ci notamment sur les questions de composition du bureau et des modalités de désignation
    De plus, concernant la désignation et le renouvellement des membres du bureau, les modalités sont généralement prévues dans les statuts.
    Si besoin, n’hésitez pas à solliciter les conseils d’un professionnel en la matière qui saura vous conseiller personnellement.
    En espérant avoir su répondre à vos interrogations.
    L’équipe LegalPlace

    Brazi Éric
    Brazi Éric
    juin 25, 2024 4:22 pm

    Bonjour comment organiser une AG extraordinaire lorsque le président de l’association refuse de faire des AG ordinaires et que la mairie ne reçoit aucun compte rendu du fonctionnement de l’association ni bilan financier ? Merci
    cordialement Eric

    Louise
    Administrateur
    juin 26, 2024 10:25 am

    Répondre à  Brazi Éric

    Bonjour,

    Les modalités de fonctionnement d’une association sont prévues par ses statuts.
    Ainsi, une telle situation de blocage peut être prévue par les statuts via la convocation d’une AGE. Nous vous invitons à les consulter sur ce point.
    En cas de blocage persistant, une révocation est également envisageable.
    Si besoin, n’hésitez pas à contacter un professionnel en la matière qui saura vous conseiller personnellement.
    En espérant avoir su répondre à vos interrogations.
    L’équipe LegalPlace

    Henry patrick
    Henry patrick
    juin 28, 2024 7:48 pm

    Bonsoir, j’aurai une question à vous poser. A-t-on le droit de refuser l’entrée à des personnes pour une AG d’une ACCA même si ces personnes ne sont pas membres mais qui désirent le devenir la saison prochaine.
    Merci d’avance pour votre réponse.

    Louise
    Administrateur
    juillet 1, 2024 11:10 am

    Répondre à  Henry patrick

    Bonjour,

    Dans le cadre d’une association, les modalités de fonctionnement sont prévues par ces statuts.
    Ainsi, si ces derniers prévoient que l’accès à l’AG est réservé aux membres (à jour des cotisations), il est possible de refuser l’accès à ceux qui ne le sont pas cette année.
    En espérant avoir su répondre à vos interrogations.
    L’équipe LegalPlace

    Chanson
    Chanson
    juillet 18, 2024 7:51 pm

    Bonjour,
    J’ai quitté l’association que je dirigeais il y a quelques mois. Lors du dernier rapport moral en AG, mon nom a été associé à des mensonges, pour me faire porter la responsabilité de problématiques, une fois que je suis partie c’est plus simple 😡.
    Des proches m’en ont informé.
    J’ai contacté le bureau pour obtenir le rapport moral et pouvoir agir, notamment parce que cela nuit lourdement à ma réputation. Le bureau refuse de me le transmettre.
    En ont ils le droit ?
    Merci à vous

    Louise
    Administrateur
    juillet 23, 2024 11:38 am

    Répondre à  Chanson

    Bonjour,

    Les documents issus des AG de l’association peuvent être communiqués aux membres de l’association. Hors, si vous n’êtes plus membre cela peut être un peu plus délicat.
    Ainsi, nous vous invitons à contacter un professionnel en la matière qui saura vous conseiller sur la procédure à suivre.
    En espérant avoir su répondre à vos interrogations.
    L’équipe LegalPlace

    Dominique Kuhn
    Dominique Kuhn
    juillet 27, 2024 12:26 pm

    Bonjour
    Dans les statuts de notre association il est prevu 1er septembre mais l association est cree depuis juillet
    Que doit ont considerer comme date de debut d activité ?
    Merci

    Louise
    Administrateur
    juillet 31, 2024 11:48 am

    Répondre à  Dominique Kuhn

    Bonjour,

    En règle générale, l’association est considérée créée à compter de la date décidée lors de l’AG au cours de laquelle il est décidé de la création de cette dernière.
    En espérant avoir su répondre à vos interrogations.
    L’équipe LegalPlace

    Pascal
    Pascal
    octobre 11, 2024 7:36 pm

    Bonjour, Je suis Pascal. Serait-il possible d’avoir quelques réponses à certaines questions ? Je sais que la tenue d’une AG n’est pas obligatoire dans une association, mais : L’Assemblée générale est-elle obligatoire dans une association ? C’est-à-dire Peut-on créer une association de loi 1901 à but non lucratif sans AG ? D’autre part, si son existence est une obligation de la loi, quelles sont les missions qui ne peuvent être transférer à un autre organe de l’association ? C’est-à-dire seule l’AG est habilitée à prendre cette décision aux regards de la loi. Association pas encore fondée : 2 fondateurs. But : Annoncer,  diffuser l’Évangile et aider son… Lire la suite »

    Houssin
    Houssin
    janvier 4, 2025 9:43 am

    Bonjour
    Pour une association loi 1901 sommes nous tenu avant l’assemblée générale d’envoyer à chaque adhérents le bilan financier au préalable pour une approbation le jour de l’assemblée générale .

    Louise
    Administrateur
    janvier 6, 2025 6:03 pm

    Répondre à  Houssin

    Bonjour, La loi de 1901 n’impose pas explicitement l’envoi du bilan financier aux adhérents avant une assemblée générale. Cependant, cette obligation peut découler des statuts de votre association ou de son règlement intérieur. Si vos statuts prévoient une telle transmission, vous devez la respecter. En l’absence de disposition statutaire, il est recommandé d’envoyer le bilan financier à l’avance afin de permettre aux adhérents de l’examiner et de poser des questions lors de l’assemblée générale. Cette pratique favorise la transparence et facilite l’approbation du bilan le jour de l’assemblée. Si vous ne l’envoyez pas, veillez au moins à ce qu’il soit… Lire la suite »

    MARC
    MARC
    février 12, 2025 8:05 am

    Bonjour,
    Notre association doit organiser son AG mais la mairie refuse de nous prêter une salle au motif que nous sommes une association de soutien à l’opposition politique locale. Est-ce légal et pouvons-nous organiser cette AG en extérieur ?
    Merci

    Louise
    Administrateur
    février 13, 2025 2:42 pm

    Répondre à  MARC

    Bonjour, Le refus de la mairie de vous prêter une salle au motif que votre association soutient l’opposition politique locale peut être contesté. Une mairie peut refuser l’attribution d’une salle pour des motifs d’intérêt général (sécurité, disponibilité, respect de l’ordre public), mais elle ne peut pas discriminer une association en raison de ses opinions politiques. Ce refus pourrait donc être considéré comme une atteinte au principe de neutralité des services publics et à la liberté d’association, protégée par l’article 1er de la loi du 1er juillet 1901. Vous pouvez contester cette décision en adressant un recours gracieux au maire, puis… Lire la suite »

    Compétition

    La biodiversité confirme que la compétition ne profite qu’à une minorité éphémère alors que la collaboration permet une amélioration collective durable.
    La scape est une association collégiale sans hiérarchie, tous ses adhérents participent à son évolution.

    L’armée au secours de la scape.

    La scape propose l’utilisation de l’armée, pour l’aider à gérer la faune sauvage. Les militaires Français ne tuent pas par plaisir et limitent au maximum les dégâts collatéraux. Ils sont désintéressés et légitimes pour assurer la mission de service public de régulation des espèces envahissantes, lorsque c’est nécessaire.
    Dans de nombreux pays Européens, les domaines militaires sont devenus des réserves naturelles de biodiversité.
    Il y aurait énormément d’avantages pour la biodiversité et pour les militaires à confier la régulation de la faune sauvage à l’armée :

    • Les décisions de détruire certaines espèces ne seraient plus partisanes. Elles tiendraient compte, démocratiquement, des intérêts de tous les usagers de la nature et non plus de ceux des seuls chasseurs, comme c’est le cas actuellement. Les ESOD (espèces susceptibles d’occasionner des dégâts) ne nuisent qu’aux chasseurs qu’elles concurrencent, alors que le gibier est nuisible à l’agriculture.
    • La sélection des animaux à abattre serait plus naturelle, en choisissant les plus faibles et malades, plutôt que le trophée.
    • Les bénéfices de la vente de gibier ne seraient plus partagées, (illégalement), entre les adhérents de l’association de chasse.
    • Les dangereuses et impopulaires battues, pourrait être remplacées par des snipers.
    • Les barrières sanitaires pourraient être appliquée.

    Droit de scape ou droit d’Éden

    La SCAPE introduit le concept de « droit de SCAPE ». Il reconnaît par défaut le droit d’observer la faune sauvage, concept juridique innovant visant à légitimer et protéger l’observation de la faune sauvage, offrant ainsi une alternative démocratique au droit de chasse.

    Voici les principaux aspects de ce droit :

    Définition et objectif

    Le droit de SCAPE est lié à la propriété foncière et vise à permettre aux propriétaires de choisir entre l’observation de la faune sauvage (SCAPE) et la chasse sur leurs terrains48. Il s’oppose au droit de chasse traditionnel et cherche à offrir une alternative légale pour ceux qui préfèrent observer plutôt que chasser.

    Contexte juridique

    Actuellement, la loi Verdeille impose la chasse sur de nombreux terrains, limitant de fait le droit d’observer librement la faune sauvage2. Le droit de SCAPE vise à abroger cette loi pour permettre aux propriétaires de choisir l’usage qu’ils souhaitent faire de leur terrain en matière de faune sauvage.

    Implications

    1. Liberté de choix : Les propriétaires pourraient choisir entre le droit de SCAPE et le droit de chasse sur leurs terrains8.

    2. Protection de la biodiversité : En favorisant l’observation non-intrusive, ce droit contribuerait à la préservation des écosystèmes.

    3. Reconnaissance légale : Il donnerait un cadre juridique à la pratique de la SCAPE, renforçant sa légitimité.

    Enjeux

    L’établissement du droit de SCAPE représente un défi important, car il remet en question des pratiques et des droits établis depuis longtemps. Son adoption nécessiterait probablement des changements législatifs significatifs et pourrait rencontrer une opposition de la part des chasseurs et de certains groupes d’intérêt.

    Séparation de la cynégétique dogmatique et de l’état laïque __

    Peut-on requérir une séparation de la cynégétique dogmatique et de l’état laïc ?

    La séparation de la cynégétique dogmatique et de l’État laïc est une revendication qui peut être portée par des associations ou des mouvements citoyens. La cynégétique, ou la chasse, est souvent régulée par des lois et des politiques publiques, ce qui peut être perçu comme un soutien implicite de l’État à cette activité.

    Requérir une séparation signifie demander que l’État ne promeuve ni ne soutienne la chasse en tant qu’activité, et qu’il adopte une position neutre ou même favorable à des alternatives respectueuses de la biodiversité et des usagers de la nature. Cela pourrait inclure :

    1. Neutralité de l’État : L’État ne devrait pas promouvoir la chasse ni financer des activités ou des organisations liées à la chasse.
    2. Promotion d’alternatives : Soutenir des activités alternatives comme l’observation de la faune (SCAPE), qui respectent la biodiversité et les usagers de la nature.
    3. Régulation douce : Mettre en place des méthodes de régulation de la faune sauvage qui ne reposent pas sur la chasse, mais sur des pratiques douces et efficaces.
    4. Accès à la nature : Garantir le droit pour tous d’accéder gratuitement à la nature et à toute sa faune, sans être contraints de soutenir la chasse.

    Cette revendication peut être portée par des associations comme SCAPE, qui promeut une gestion plus naturelle de la faune sauvage et de la biodiversité, en remplacement de la chasse. Pour faire avancer cette cause, il est important de sensibiliser le public, de mobiliser les citoyens et de dialoguer avec les décideurs politiques.

    Agenda

    La présentation de cette page est à revoir.

    Amusez-vous si vous avez des idées et des compétences,
    Mais ne changez pas le texte sans l'avis du rédacteur.

    Si Sam est le rédacteur,
    vous devez obtenir le consensus hebdomadaire des membres créateurs.
    C'est-à-dire attendre au moins une semaine avant de l'enregistrer 
    Si aucun membre ne s'y est opposé.

    L’évolution

    L’évolution de Darwin est en marche, rien ne peut l’arrêter :
    La chasse disparaitra pour être remplacé par la scape,
    comme ont disparu, ou disparaissent, les jeux du cirque, l’esclavage,
    et les discriminations étatiques, des plus faibles sur les plus dangereux.

    La biodiversité selon macron.


    Les IA ont l’avantage de pouvoir trouver les chiffres et les preuves que nous cachent les journalistes et l’état.

    L’inflation délirante des subventions de la chasse, n’est pas une décision politique. Elles sont le fait du prince. Comme dans l’Amérique Trumpienne, elle favorise ses amis et bâillonne les associations et les scientifiques.

    Alors que sous la Macronie les services publics rentables ont été privatisés et les autres ont vu leurs subventions baisser, celles de ses amis chasseurs sont passés de 27 000 euros en 2017 à 6,3 millions d’euros en 2021.

    Plus 40 millions d’euros par an pour des actions liées à la biodiversité :

    • Reproduction de « leurs » cibles préférées nuisible à l’agriculture.
    • Financement de campagne publicitaire pour la chasse.
    • Destruction des prédateurs naturels qui les concurrencent, mais qui régulent les rongeurs destructeurs de moissons.
    • Indemnisation des dégâts de leur gibier.

    28 000 hectares de cultures sont déclarés détruits chaque année par « leurs » sangliers.

    Les chasseurs, après avoir multiplié par trois le nombre de leur proie favorite, qu’ils devaient réguler, sont débordés par la population de sangliers.
    Ils exigent, maintenant, que ces indemnisations soient prises en charge par tous les français. 

    200 millions de tonnes de grains détruit par les mulots sauvés des dents des renards tués par les chasseurs.

     ———-

    En massacrant les prédateurs de « leurs » faisans d’élevage relâchés illégalement dans la nature, pour servir illégalement de gibier illégal, donné illégalement aux associations caritatives, pour empoisonner les pauvres. Les chasseurs sauvent des mulots agrestes.
    Ce sont les proies principales des renards, qui mangent les mulots qui détruisent les cultures.

    Voici le calcul d’une IA de la quantité de grains détruits à cause des chasseurs :

    Calculer le minimum

    • Consommation quotidienne d’un mulot : 15 g de nourriture 1
    • Mulots non mangés initialement : 500 000 renards * 6 000 rongeurs = 3 milliards de rongeurs 6
    • Reproduction : 1 portée par an, 4 petits par portée 3
    • Nouveaux mulots : 3 milliards * 4 = 12 milliards

    Total de mulots : 15 milliardsConsommation annuelle : 15 milliards * 15 g/jour * 365 jours = 82,125 millions de tonnes

    Calcul maximal

    • Consommation quotidienne d’un mulot : 20% de son poids (environ 6 g pour un mulot de 30 g) 1
    • Mulots non mangés initialement : 500 000 renards * 10 000 rongeurs = 5 milliards de rongeurs 6
    • Reproduction : 4 portées par an, 7 petits par portée 3
    • Nouveaux mulots : 5 milliards * 4 * 7 = 140 milliards

    Total de mulots : 145 milliards.
    Consommation annuelle : 145 milliards * 6 g/jour * 365 jours = 317,55 millions de tonnes.

    Ces calculs sont des approximations et ne tiennent pas compte de l’utilisation massive de pesticides par les agriculteurs.

    Ils illustrent néanmoins l’ampleur potentielle de l’impact de la suppression des renards et autre ESOD sur les populations de rongeurs et leur consommation de céréales.

    La chasse tue 237 fois plus que la voiture

    Les chasseurs, comme les politiciens, sont passés maitre dans l’art de présenter des arguments fallacieux. Mais ce n’est pas parce qu’ils les présentent bien, que les électeurs ne se rendent pas compte qu’on se moque d’eux.

    Les chasseurs affirment qu’ils sont moins dangereux que les conducteurs de voiture.

    Statistiquement, c’est faux !

    La scape a utilisé une Ai pour calculer de la dangerosité des chasseurs et des automobilistes.
    Ce calcul compare le nombre de victimes, au nombre d’heures de dangerosité annuelle de chaque activité.

    Le résultat est sans appel :

    La chasse est 237 fois plus dangereuse que la voiture.

    Les IA peuvent remplacer les agences de statistique. Il suffit de bien poser la question :
    Les outils ne sont dangereux que lorsqu’on les utilise. Le danger ne vient pas de l’outils mais de l’usage que l’on en fait.
    Comparer statistiquement la dangerosité de cet usage sur une année est une aberration, si l’un des outils est utilisé un million de fois plus que l’autre. C’est ce qui rend la voiture plus dangereuse que tous les autres outils, dont les armes à feu.
    Ainsi, les chasseurs ne sont dangereux que pendant un court laps de temps (au moment du tir), tandis que les conducteurs présentent un danger durant toute la durée de la conduite.
    Grace au IA, il est maintenant possible d’avoir accès aux données qui permettent de comparer statistiquement la dangerosité de la chasse et de la conduite en fonction du temps d’utilisation.
     

    Calculs

    Accidents de chasse

    1. Total d’heures d’action :
      • Temps d’action de chasse par chasseur par an :

        Temps d action=20 jours×560 heures jour=100601.67 heures

        Les chasseurs ne sont dangereux que lorsque qu’ils chassent. Selon les chasseurs eux-mêmes, ce n’est que lorsque leur fusil est armé, prêt à tirer. c’est à dire quelque seconde avant le tir.

      • Total d’heures d’action pour tous les chasseurs :

        Total heures d action=960,000 chasseurs×1.67 heures1.
        603.200 heures

         

    2. Taux d’accidents mortels : C’est le nombre de morts par unité de temps
      • Avec environ 95 victimes par an :

        Tauxchasse=951,603,2000.0000592 morts par heure d action de chasse

    Accidents de la route

    1. Total d’heures de conduite : Le conducteur n’est dangereux que lorsqu’il roule
      • Total des heures pour tous les conducteurs :

        Total heures=38,000,000 véhicules×365 jours=13,870,000,000 heures

    2. Taux d’accidents mortels :
      • Avec environ 3,500 décès par an :

        Tauxroute=3,50013,870,000,0000.00000025 morts heure

    dangerosité comparée

    Pour établir une comparaison directe :

    1. Calcul du rapport des taux :

      Rapport=TauxchasseTauxroute=0.00005920.00000025=236.8

    Cela signifie que le risque d’accident mortel à la chasse est environ 237 fois plus élevé que celui associé à la conduite automobile.

    En conclusion :
    Dans l’absolu, les chiffres semblent indiquer que la chasse cause moins de mort que la route. Une analyse plus fine révèle que le risque associé aux actions de chasse peut être considérablement plus élevé et pose des questions importantes sur la sécurité publique et la gestion responsable des activités cynégétiques.

    La chasse tue

    Parce que les chasseurs aiment tuer et que le législateur leur en donne le droit, jusque chez vous, dans le bac à sable de vos enfants.

    Pour ne pas chagriner le « pauv chasseurs » l’état refuse de prendre des dispositions techniques ou législatives pour protéger les autres usagers.
    Bien que le tir, en milieu ouvert, sur cibles vivantes, soit le plus aléatoire, c’est le moins restreint légalement et physiquement de tous les sports de tirs.

    L’état compte uniquement sur le sens des responsabilités d’une communauté réuni autour du seul plaisir de tuer. La chasse est devenue un élevage d’animaux cibles.

    Si le nombre d’accidents mortel baisse, c’est dû à la terreur des usagers qui préfèrent se cloitrer chez eux et se priver de leur loisir de nature.

    Les ministres qui ont favorisé les « accidents » cynégétiques devraient être responsables de ces cynégécides.

    l’ONG

    La défense de l’environnement concerne la terre entière. La scape à donc vocation à élargir son influence aux autres pays et devenir une ONG

    La France n’est qu’une étape pour lutter contre l’hégémonie cynégétique et abolir le soutien politique et législatif au plaisir de tuer.

    Statistiques anti-chasse.

    https://www.ipsos.com/fr-fr/pour-89-des-francais-la-chasse-est-percue-comme-posant-des-problemes-de-securite-pour-les promeneurs

     

    La part des opposants à la chasse atteint un niveau jamais égalé

    Pour 89% des Français la chasse est un problème pour la sécurité des usagers, selon un sondage Ipsos.

    Si 53 %, n’aiment pas les chasseurs, 25 % se disent tout à fait contre la chasse et 22% y sont indifférents.
    On arrive à 100%, ce qui laisse supposer que personne ne soutien la chasse.

    51% des ruraux y sont aussi opposés, mais le président de la chasse, Willy Shraen prétend contre toute évidence représenter la ruralité.

    Les 3/4 des Français ont peur de se promener en forêt ou dans les zones de chasse, qu’il considère comme une pratique dangereuse, cruelle et inutile.
    81% de ceux qui résident près d’une zone de chasse reste cloitré chez eux.
    C’est plus qu’en Ukraine ou a Israël. Les tueurs de faune sauvage sont plus effrayants que le Hamas ou Wagner. Ils font pourtant moins de victimes qu’eux, mais seul 1% des citoyens refusent de céder à la terreur et continu à vaquer à leur occupation en période chasse.

    On peut mourir à 20 ans en coupant du bois ou en faisant du vélo ! le vélo ou le son du bucheron peuvent se confondre avec un sanglier !!!!

    89 % des moins de 35 ans et 75 % des plus de 60 ans, estiment que les plombs de chasse sont une menace pour l’environnement .

    Cependant, 60 % croient encore que la chasse permet de limiter les « dégâts » causés par la faune sauvage. Il est pourtant établi que les chasseurs sont responsables de l’explosion des populations de sanglier et que les dégâts agricoles sont principalement dus au mulot que les chasseurs protègent en détruisant leurs prédateurs.

    Ce rejet par la société civil, d’un loisir de terroriste n’a rien d’étonnant dans notre société. Plus étonnant est le soutien de presque tous les partis politiques et la condamnation par aucun de ces partis.
    Dans les pays où une minorité terroriste a pris le pouvoir, au nom de la tradition, rapidement la législation l’a protégée.
    Gardons-nous de cette charia cynégétique que nos élus installent progressivement dans la législation. Elle permet aux représentants des chasseurs de choisir son ministre et d’insulter les instituions républicaines. 

    Si les Français ont une perception négative de la chasse, ils adhèrent toujours à certains arguments en sa faveur. En premier lieu, ils considèrent qu’elle peut avoir un rôle utile. 66 % estiment qu’elle permet de gérer les populations animales, et 60 % qu’elle permet de limiter les « dégâts » causés par la faune sauvage. 

    Les personnes résidant dans des zones rurales ont davantage tendance à trouver un rôle utile à la chasse : 72 % d’entre elles considèrent qu’elle permet de gérer les populations animales (contre 64 % des personnes vivant dans une zone urbaine) et 67 % qu’elle permet de limiter les « dégâts » causés par la faune sauvage (contre 58 %).

    Au-delà de cet aspect utilitaire, la chasse est associée au mode de vie rural par 62 % des Français, sans grande différence de perception entre urbains et ruraux : les personnes résidant dans les zones rurales sont 65 % à partager cette idée, contre 61 % de celles résidant dans des zones urbaines.

     

    La mesure la plus plébiscitée est l’instauration d’une visite médicale annuelle, avec contrôle de la vue, pour le permis de chasse (93 % sont pour, dont 72 % tout à fait pour), devant l’interdiction de la chasse en enclos (92 %, dont 79 % tout à fait pour) et l’interdiction de la chasse dans les espaces protégés (91 %, dont 70 % tout à fait pour). Concernant ces trois éléments, on constate une hausse de l’approbation (respectivement +1, +13 et +3 points par rapport à 2022).

    Autre mesure qui suscite l’approbation d’une grande majorité de Français, l’interdiction de chasser ou piéger deux jours par semaine et durant l’intégralité des vacances scolaires (85 % sont pour, soit une hausse de quatre points, dont 59 % tout à fait pour).

    L’interdiction de la chasse à courre est également soutenue par une grande majorité de répondants (83 %, dont 61 % qui sont tout à fait pour), tout comme l’interdiction de chasser des animaux à l’intérieur de leur terrier (84 %, dont 57 % tout à fait pour) ou d’élever des animaux destinés à être relâchés pour la chasse (78 %, dont 54 % tout à fait pour).

    L’interdiction des dérogations permettant des tirs létaux sur les loups ou des tirs d’effarouchement sur les ours est approuvée par une majorité de répondants (respectivement 70 % et 64 %), mais dans les deux cas seule une minorité de répondants se déclarent tout à fait pour (43 % et 37 %).

    Au-delà de ces différentes mesures, une grande majorité de Français sont d’accord avec le principe d’interdire la chasse dans les régions ayant souffert de la sécheresse cet été (87 % sont d’accord, dont 53 % qui se déclarent tout à fait d’accord). Les habitants des zones rurales, s’ils sont majoritairement pour, se montrent moins favorables à cette interdiction que les habitants des zones urbaines (81 % contre 89 %).

    A propos de cette étude

    Enquête Ipsos pour One Voice menée du 4 au 6 octobre 2023 auprès de 1000 personnes constituant un échantillon de la population française âgée de 18 à 75 ans. L’échantillon a été interrogé par Internet via l’Access Panel Online d’Ipsos (méthode des quotas : sexe, âge, profession de la personne interrogée, catégorie d’agglomération, région)

    Téléchargement : Rapport complet

    6500 tonnes de Plomb de chasse

    1. Publication d’un nouveau règlement par la Commission européenne

    Un règlement dans le droit européen est d’effet direct, et obligatoire et s’applique de manière uniforme dans l’ensemble des États membres.

    Le règlement de l’Union européenne qui concerne le plomb dans la grenaille de chasse utilisée à l’intérieur ou autour des zones humides vient d’être publié au Journal Officiel de l’Union européenne le 26 janvier dernier. Il précise que la grenaille de chasse formée de plomb pour 1 % de son poids sera interdite à compter du 15 févier 2023 à l’intérieur ou à moins de 100 m des zones humides. Ce règlement est le résultat d’une volonté poussée par la Commission européenne depuis des années. C’est une première étape avant de tenter d’interdire partout l’utilisation de la grenaille de plomb, bien au-delà des zones humides. À plusieurs reprises, la mobilisation de toutes les instances européennes (FACE – ELO) représentant les chasseurs et la filière chasse a conduit à un report des votes tentant d’imposer ce type d’interdiction. Le dernier vote au Parlement européen, le 25 novembre 2020 a été un échec pour les chasseurs. Toutefois, la Commission souhaitait imposer une zone de 400 m, mais elle a échoué. La mise en application de cette nouvelle règle au niveau français devrait passer par une modification de l’arrêté du 1er août 1986 qui comporte depuis le 1er juin 2006 l’interdiction de la grenaille de plomb dans les zones humides en France. Le nouveau règlement étend la définition des zones humides. Rappelons qu’un règlement dans le droit européen est d’effet direct et obligatoire. Tous ses éléments doivent s’appliquer de manière uniforme dans l’ensemble des États membres.

    2. Nouveau règlement : un préjudice estimé à près d’un milliard d’euros pour la filière « chasse » française

    La FNC a travaillé sur l’impact économique de cette interdiction d’utilisation et de détention du plomb dans les munitions de chasse. Cela concerne a minima 650 000 chasseurs directement impactés en France. Les armes détenues, à raison d’une moyenne de 2 par chasseur, deviendront tout simplement inutilisables, car leur transformation est quasi impossible. En effet, seules deux entreprises en Europe sont en mesure de traiter ce type de demande. l’achat d’une nouvelle arme obligera les chasseurs à consacrer un budget moyen de 1 000 à 1 500 euros pour une seule arme. En moyenne, au plan national, le coût de remplacement des armes de chasse est estimé entre 650 millions et 975 millions d’euros.

    Le coût de remplacement des armes de chasse est estimé entre 650 millions et 975 millions d’euros.

    Willy Schraen, Président FNC

    3. La FNC mobilisée pour engager un programme de recherche

    Willy Schraen, le président de la FNC souhaite engager avec les industriels européens de la munition un programme de recherche et développement pour parvenir à trouver un matériau de substitution qui respecte trois préalables :

    • un prix quasiment équivalent au plomb,
    • un matériau qui puisse être utilisé avec les fusils anciens
    • et qui ait la même efficacité que le plomb.

    Pour la FNC, c’est la stratégie prioritaire. En effet, si la Commission européenne impose une interdiction totale à terme, les conséquences seront catastrophiques pour la chasse populaire. Cet enjeu réclame des moyens financiers conséquents de la part de l’Union européenne, pour obtenir ce substitut qui doit rester accessible financièrement aux utilisateurs. Par ailleurs, une enquête auprès de tous les chasseurs européens a été lancée par la FNC dans le cadre de la FACE pour affiner les évaluations des besoins de l’ensemble des États membres.

    30 propositions sénatoriales pour aider la chasse

    30 propositions à découvrir :

    1. Promouvoir une culture de la sécurité. Retenir la objectif de tendre vers le zéro accident comme un processus permanent.
    2. Promouvoir une culture de la sécurité. Retenir la objectif de tendre vers le zéro accident comme un processus permanent.
    3. Développer les audits de sécurité des territoires de chasse au niveau départemental et local.
    4. Renforcer la examen du permis de chasser en rendant obligatoire la maîtrise des armes semi-automatiques et une épreuve de performance au tir.
    5. Généraliser le tutorat des jeunes permis lors de la première année de chasse et des chasseurs mineurs jusqu’à leur majorité.
    6. Développer la formation des chasseurs aux premiers secours : PSC1 obligatoire pour passer le permis de chasser, présence d’un chasseur formé et d’une trousse de premiers secours lors des chasses collectives.
    7. Conditionner la possession des carabines à une journée de formation théorique et pratique (si elle n’est pas incluse lors du permis de chasser).
    8. Rendre obligatoire la formation d’organisateur de battues. la assortir d’une obligation d’assurance.
    9. Compléter la formation décennale sur la sécurité par un volet pratique. La rendre obligatoire avant toute validation après dix ans sans chasser.
    10. Développer les formations pour corriger des comportements dangereux sur décision des FDC, des ACCA, de la OFB ou des parquets notamment via des stages alternatifs aux poursuites.
    11. Rendre le certificat médical annuel obligatoire. Aligner la chasse sur les sports avec arme.
    12. Interdire la alcool lors de la chasse. Aligner le taux la alcoolémie retenu et les sanctions sur les règles en vigueur en matière de code de la route.
    13. Développer une culture du tir : formation au tir, réglage des armes, installation de stands…
    14. Améliorer le suivi de la détention des armes et le contrôle de la inscription au Finiada en cas de chasse accompagnée et de procédure judiciaire notamment en cas de violences.
    15. Poursuivre la harmonisation dans la loi des principales règles de sécurité à la chasse et donner au préfet la possibilité de provoquer la révision du SDGC pour des raisons de sécurité.
    16. Soutenir la action des fédérations de chasseurs en faveur des postes de tir surélevés. Renforcer les sanctions à la encontre des actes de vol, de destruction et de sabotage des équipements de sécurité.
    17. Rendre obligatoire la utilisation d’un témoin de chambre vide pour garantir la neutralisation des armes et la rendre visible de tous.
    18. Populariser les méthodes de chasse plus sûres, dont la traque-affût, et lever les obstacles réglementaires lorsqu’ils existent.
    19. Déclaration préalable obligatoire des battues au grand gibier et favoriser la prise d’arrêtés interdisant la accès aux zones de chasse lorsque les conditions de sécurité le justifient. Rendre ces données disponibles en open data.
    20. Introduire dans le code pénal un délit d’entrave au déroulement d’activités sportives ou de loisir légales.
    21. Permettre aux préfets de limiter les jours et horaires de chasse pour assurer la sécurité des personnes.
    22. Préserver les effectifs de la OFB en matière de la police de la chasse. Prendre la arrêté des ministres de la justice et de la environnement permettant aux inspecteurs de la OFB de bénéficier de prérogatives de police judiciaire accrues.
    23. Rendre les policiers municipaux compétents en matière de police de la chasse.
    24. Clarifier les prérogatives des agents de développement et des gardes chasse particuliers afin d’accroître les contrôles en matière de police de la chasse.
    25. Permettre la déduction fiscale des frais engagés par les lieutenants de louveterie dans la exercice de leurs missions de service public.
    26. Clarifier les missions des commissions départementales de sécurité des FDC pour prévenir et sanctionner les comportements dangereux.
    27. Mieux graduer la suspension ou le retrait du permis de chasser en fonction de la gravité de la infraction. En cas d’homicide par tir direct, le retrait du permis pourrait être systématique et la interdiction de le repasser portée à dix ans.
    28. Ne pas retenir de jour sans chasse au niveau national. Mais mettre en place le cadre de dialogue qui permettra des adaptations locales concertées entre les acteurs du territoire.
    29. Créer une plateforme de recueil des incidents et conflits d’usage liés à la chasse sous la responsabilité de la OFB.
    30. Développer les outils de dialogue entre les chasseurs et les autres acteurs de la nature. S’assurer que les FDC soient membres des PNR, des CDESI et du réseau Suricate. Généraliser les chartes avec les fédérations des sports de nature.

    Lire aussi : Sécurité à la chasse : un rapport sénatorial sous la forme d’un « mille feuille » de contraintes inadaptées et irréalistes

     

    Meurtre cynégétique ???

    Meurtre de Frédéric Bezin

    le 26 octobre 2021 à Vauvert dans le Gard :

    Les enquêteurs peinent à disculper les chasseurs, car aucune piste n’est plus évidente.
    À part les chasseurs, la plus probable serait celle des extraterrestres, mais ils n’utilisent jamais un fusil de chasse. L’enquête piétine en attendant le témoignage d’un extraterrestre.
    La piste de chasseurs exaspérés sera reprise lorsque toutes les autres hypothèses, même les plus fantaisistes, auront été éliminées.

    Alors que les accrochages et les menaces des chasseurs les ont fait soupçonner de plusieurs incendies de matériel chez Frédéric Bezin, cette piste a été rapidement abandonnée. Les plaintes pour intimidations et incendies volontaires abandonnés.
    Les chasseurs ont menacé M. Bezin s’il ne les laissait pas s’amuser à tuer au milieu de ses chevaux.
    Mais il n’a pas cédé.
    M. Bezin a donc été abattu dans un guet-apens, d’un coup de fusils de chasse tiré à quelques mètres.
    Les conditions de son exécution exclues l’alibi habituel d’accident de chasse, des cynégécides. Il fait plutôt penser à un meurtre, qui correspond davantage à la dérive mafieuse de la chasse.

    https://www.marianne.net/societe/police-et-justice/des-incendies-criminels-au-meurtre-frederic-bezin-a-t-il-ete-tue-par-des-chasseurs

    Les gendarmes ont exploré, sans succès, de nombreuses pistes en excluant a priori celle, la plus évidente : Celle des chasseurs.

    https://actu.fr/occitanie/vauvert_30341/gard-assassinat-a-vauvert-la-piste-d-un-violent-differend-avec-des-chasseurs_48707752.html

    Les chasseurs se sont pourtant vantés, sur internet, qu’ils pouvaient contraindre M. Bezin avec la « méthode Corse ».

     Les enquêteurs ont recherché, sans succès, des maitresses, des amants, des trafics de drogues, des concurrents jaloux et sans doute prochainement la piste vraisemblable d’extraterrestres équiphobes. (M. Bezin élevait des chevaux).

    Ne pouvant soupçonner les plus évidents coupables, l’affaire sera sans doute classée sans suite, puisqu’elle peut difficilement être reclassée en accident de chasse, comme d’habitude.

    Un an après les faits, il n’est même plus évoqué les menaces des chasseurs. La famille et son avocat se refusent à tous commentaires.

    https://www.objectifgard.com/a-la-une/fait-du-jour-qui-a-assassine-un-pere-de-famille-sans-histoire-49102.php

    Ils ont compris ce qu’il en coute de s’opposer aux chasseurs.

    Le président, le ministre de la Justice, la totalité de la droite parlementaire, une grande partie de celle de gauche, de nombreux représentants de la loi, des forces de l’ordre, et de la presse sont chasseurs ou soutiennent la chasse.
    Les chances d’obtenir justice sont aussi faibles que celles des habitants de Marioupol face au groupe Wagner.

    Les investigations ne recherchent pas un ou des coupables, elle recherche désespérément à disculper les chasseurs dans leur ensemble. Ces derniers n’ont pas simplifié la tâche des enquêteurs, habitué comme ils sont à être gracié, ils n’ont pris aucune précaution pour cacher leur forfait, sauf celle de l’évidence.

    Leur président Willy leur avait fait un appel au meurtre en suggérant que l’on retrouve les opposants inanimés au pied d’un mirador. Ses troupes n’ont fait que suivre ses conseils.

    Deux ans après le cynégécide, les gendarmes n’ont plus d’autres pistes extravagantes à explorer, ils se voient contraints de revenir à la piste des chasseurs. Ils pensent avoir trouvé le coupable, mais il leur reste à présenter les chose pour disculper la chasse en général, comme dans d’autres cynégécides.

    Il n’est finalement pas possible de faire passer ce cynégécide pour un accident de chasse, comme d’habitude. Peut-être qu’un classement sans suite …

    01 ARTICLE PREMIER – NOM

    ARTICLE PREMIER – NOM

    Il est fondé entre les adhérents aux présents statuts une fédération d’utilité publique, régie par la loi du 1er juillet 1901 et le décret du 16 août 1901, ayant pour titre :

    la Scape.

    L’association a pour sigle : OBServer & IMmortaliser

     

    Le logo de l’association représente un manchot empereur, symbole de résilience collective.

    ARTICLE 2 – BUT ET OBJET

    ARTICLE 2 – BUT ET OBJET

    La SCAPE est une pratique d’observation non létale de la faune sauvage. Son objectif principal est d’observer des scènes de vie sauvage sans perturber le comportement naturel des animaux. C’est une activité éthique et respectueuse de la nature et des autres usagers de l’environnement.

    L’association a pour but de promouvoir la SCAPE et de lui conférer la reconnaissance politique, économique, démocratique et juridique nécessaire à sa pratique et à la défense de ses droits.

    Pour atteindre ces objectifs, l’association pourra mettre en œuvre tous les moyens légaux à sa disposition, notamment :

    1. Promouvoir la SCAPE auprès du public et des autorités compétentes.

    2. Proposer une approche alternative à la gestion cynégétique de la biodiversité.

    3. Œuvrer pour la restauration de la biodiversité et la réhabilitation des prédateurs naturels, reconnus comme facteurs d’équilibre des populations animales.

    4. Mener des actions de lobbying auprès des élus pour adapter la législation afin de faciliter l’accès des scapeurs à une faune libre et apaisée.

    5. Engager des recours administratifs visant à :

      • Rétablir l’équité des droits entre les différents usages de la faune sauvage

      • Remettre en question les privilèges cynégétiques

      • Abroger les lois anti-laïc qui font la promotion de la chasse

    Les objectifs détaillés et les moyens d’action sont précisés dans le règlement intérieur de l’association.

    règlement intérieur

    L’année sociale commence le 1er Octobre pour se terminer le 30 Septembre de l’année suivante. L’assemblée générale aura lieu chaque année, le premier samedi d’octobre à 18 heures.

    Les adhésions sont valables un an, du 1er dimanche d’octobre au 1er dimanche d’octobre de l’année suivante.
    Le renouvellement des cotisations intervient au mois d’octobre.

    Statuts de l’associations

    Argumentaire

    Slogans

    Pratiquer la Scape

    5. Valeur ajoutée et bénéfices

    • Mettez en avant les bénéfices fonctionnels pour l’utilisateur : gain de temps, efficacité, expérience, etc.

    • Privilégiez un langage simple, accessible, sans jargon technique.

    6. Preuves et retours d’expérience

    • Ajoutez des témoignages d’utilisateurs, des cas d’usage concrets ou des résultats de tests pilotes

    • Si possible, proposez des chiffres ou des exemples d’impact mesurable.

    7. Plan d’action et perspectives

    • Expliquez comment « la scape » peut être déployée ou adoptée (étapes, accompagnement, ressources…)

    • Présentez les perspectives d’évolution ou les prochaines étapes du projet.

    l’avenir

    les projets

    8. Appel à l’action

    • Terminez chaque page ou section par une invitation claire : tester, s’inscrire, contacter, donner un avis, etc.

    Définition :

    La SCAPE est l’art d’observer et d’immortaliser des scènes de vies sauvages.
    C’est un usage perpétuel de la biodiversité et de la nature.

    Alternative à la Chasse :

    Contrairement à la chasse, qui tue ou terrorise la faune et les gens, la SCAPE est durable et respectueuse de la biodiversité et des autres usagers de la nature.
    Elle permet une coexistence harmonieuse avec la faune et les activités de pleine nature.

    Alternative à la Chasse :

    Contrairement à la chasse, qui tue ou terrorise la faune et les gens, la SCAPE est durable et respectueuse de la biodiversité et des autres usagers de la nature.
    Elle permet une coexistence harmonieuse avec la faune et les activités de pleine nature.

    1. Durabilité et Respect :

      • La pratique de la SCAPE est par essence durable, respectueuse de la biodiversité et sans danger pour les autres usagers de la nature.
        Elle préserve les écosystèmes et contribue à une meilleure acceptation des autres formes de vies terrestres.
    1. Gestion de la Faune Sauvage :

      • L’association Française des SCAPEURS milite pour une gestion plus éthique et responsable de la faune sauvage.
        Elle plaide pour rétablir le droit de pouvoir choisir d’observer et d’apprécier la vie naturelle dans toute sa diversité, plutôt que de l’exploiter.
    1. Engagement Éthique :

      • Les adeptes de la SCAPE s’engagent à minimiser leur impact sur l’environnement. Ils préconisent une approche furtive des animaux et une absence maximale d’impact dans l’environnement.

    L’Art d’Observer et d’Immortaliser des Scènes de Vie Sauvage

      Introduction

      • Présentation de la SCAPE comme un mouvement artistique et éthique centré sur l’observation de la faune sauvage.
      • Importance de la SCAPE dans le contexte actuel de préservation de la biodiversité.

      Définition de la SCAPE

      • Description succincte de ce qu’est la SCAPE.
      • Différence avec la chasse et autres activités liées à la faune.

      Philosophie et Valeurs

      • Respect de la biodiversité : engagement envers la protection des espèces.
      • Approche durable : minimisation de l’impact sur les écosystèmes.
      • Inclusivité : ouverture à tous, sans distinction de compétence.

      Pratiques et Techniques

      • Méthodes utilisées pour observer et immortaliser des scènes de vie sauvage (photographie, dessin, etc.).
      • Outils et technologies (drones, affûts, etc.) pour faciliter l’observation.

      Objectifs et Engagements

      • Revendiquer des droits d’observation de la nature.
      • Sensibilisation à l’importance de la biodiversité et à la nécessité d’une cohabitation harmonieuse.

      Questions Fréquemment Posées (FAQ)

      • Qu’est-ce qui rend la SCAPE différente de la chasse ?
      • Comment peut-on participer à la SCAPE ?
      • Quels sont les impacts environnementaux associés à la SCAPE ?
      • Comment la SCAPE contribue-t-elle à la conservation des espèces ?

      Conclusion

      • Résumé des principaux points.
      • Invitation à rejoindre le mouvement et à s’engager pour la protection de la vie sauvage.

      Ressources et Références

      • Liens vers des articles, livres, ou sites internet pertinents pour approfondir le sujet.
      • Informations sur l’association qui promeut la SCAPE, si applicable.

      Rédaction et Style

      • Clarté et Précision : Utilisez un langage simple et accessible.
      • Visuels : Intégrez des images, graphiques ou illustrations pour rendre le document plus attrayant.
      • Mises en Évidence : Utilisez des encadrés ou des listes à puces pour souligner les points importants.

      Format

      • Numérique et Imprimable : Créez une version PDF pour distribution en ligne et une version imprimable pour des événements ou des rencontres.

        Introduction

        • Présentation de la SCAPE comme un mouvement artistique et éthique centré sur l’observation de la faune sauvage.
        • Importance de la SCAPE dans le contexte actuel de préservation de la biodiversité.

        Définition de la SCAPE

        • Description succincte de ce qu’est la SCAPE.
        • Différence avec la chasse et autres activités liées à la faune.

        Philosophie et Valeurs

        • Respect de la biodiversité : engagement envers la protection des espèces.
        • Approche durable : minimisation de l’impact sur les écosystèmes.
        • Inclusivité : ouverture à tous, sans distinction de compétence.

        Pratiques et Techniques

        • Méthodes utilisées pour observer et immortaliser des scènes de vie sauvage (photographie, dessin, etc.).
        • Outils et technologies (drones, affûts, etc.) pour faciliter l’observation.

        Objectifs et Engagements

        • Revendiquer des droits d’observation de la nature.
        • Sensibilisation à l’importance de la biodiversité et à la nécessité d’une cohabitation harmonieuse.

        Questions Fréquemment Posées (FAQ)

        • Qu’est-ce qui rend la SCAPE différente de la chasse ?
        • Comment peut-on participer à la SCAPE ?
        • Quels sont les impacts environnementaux associés à la SCAPE ?
        • Comment la SCAPE contribue-t-elle à la conservation des espèces ?

        Conclusion

        • Résumé des principaux points.
        • Invitation à rejoindre le mouvement et à s’engager pour la protection de la vie sauvage.

        Ressources et Références

        • Liens vers des articles, livres, ou sites internet pertinents pour approfondir le sujet.
        • Informations sur l’association qui promeut la SCAPE, si applicable.

        Rédaction et Style

        • Clarté et Précision : Utilisez un langage simple et accessible.
        • Visuels : Intégrez des images, graphiques ou illustrations pour rendre le document plus attrayant.
        • Mises en Évidence : Utilisez des encadrés ou des listes à puces pour souligner les points importants.

        Format

        • Numérique et Imprimable : Créez une version PDF pour distribution en ligne et une version imprimable pour des événements ou des rencontres.
        1. Durabilité et Respect :

          • La pratique de la SCAPE est par essence durable, respectueuse de la biodiversité et sans danger pour les autres usagers de la nature.
            Elle préserve les écosystèmes et contribue à une meilleure acceptation des autres formes de vies terrestres.
        1. Gestion de la Faune Sauvage :

          • L’association Française des SCAPEURS milite pour une gestion plus éthique et responsable de la faune sauvage.
            Elle plaide pour rétablir le droit de pouvoir choisir d’observer et d’apprécier la vie naturelle dans toute sa diversité, plutôt que de l’exploiter.
        1. Engagement Éthique :

          • Les adeptes de la SCAPE s’engagent à minimiser leur impact sur l’environnement. Ils préconisent une approche furtive des animaux et une absence maximale d’impact dans l’environnement.

        La sache est une association de défense des usagers de la nature qui observent ou immortalisent des scènes de vie sauvage.

        Elle assure le service public de connaissance de la biodiversité et pour corriger les dogmes cynégétiques. La scape conteste le classement de la faune en gibier, ESOD nuisible etc ainsi que les jugements anthropomorphiques et condamnations arbitraires des espèces.

        Cette activité est incompatible avec la chasse qui terrorise la faune.

        La sache un service public de connaissance de la faune, qui s’opposent aux dogmes cynégétiques.

        Elle milite politiquement pour une transition législative vers la reconnaissance de ses revendications

        Elle encadre l’activité de ses adhérents pour une pratique efficace, durable et respectueuse de la vie.

        Elle s’interdira toute source de financement CONTRAIRE 0 SON OBJET ET 0 SA CHARTE

        La sache a pour vocation de remplacer la chasse dans la transition écologique.

        La scape est une association de défense des usagers de la nature qui veulent rétablir le droit d’observer la vie sauvage de leur pays.