Délit d’obstruction à la chasse
Encore une loi écrite sur un PQ pour se torcher avec les droits de l’homme et protéger la communauté des chasseurs.
Encore une loi écrite sur un PQ pour se torcher avec les droits de l’homme et protéger la communauté des chasseurs.
——————————— Pétition contre la gestion génocidaire de la biodiversité. ———————————
Discours pour l’abolition de la peine de mort des Espèces Susceptibles d’Occasionner des Dégâts (ESOD)
Mes chers concitoyens,
Aujourd’hui, je me tiens devant vous avec une conviction profonde et un engagement inébranlable envers nos valeurs les plus fondamentales. Je suis ici pour vous parler d’un sujet qui touche au cœur de notre humanité, à notre sens de la justice et à notre capacité à évoluer en tant que société civilisée. Je suis ici pour plaider en faveur de l’abolition de la peine de mort pour les Espèces Susceptibles d’Occasionner des Dégâts (ESOD).
La peine de mort, dans toutes ses formes, est une pratique inhumaine et obsolète. Elle va à l’encontre des principes de dignité humaine et de respect de la vie. Elle ne contribue pas à dissuader les dégâts des ESOD, elle ne répare pas les torts causés, et elle ne fait que perpétuer un cycle de violence et de vengeance.
En tant que membres des Espèces Susceptibles d’Occasionner des Dégâts, (ESOD) nous sommes conscients de notre responsabilité envers notre planète et envers toutes les formes de vie qui la peuplent. Nous reconnaissons que chaque être vivant, quelle que soit sa nature, mérite d’être traité avec respect et dignité.
L’abolition de la peine de mort pour les ESOD est un impératif moral. Elle témoigne de notre engagement envers les principes de compassion, de réhabilitation et de réconciliation. Elle affirme notre croyance en la possibilité de changer, même pour les espèces qui ont causé des dégâts.
Je comprends que certains parmi nous puissent craindre que l’abolition de la chasse n’entraîne une augmentation des risques pour notre sécurité. Cependant, les faits démontrent que la mise à mort d’une espèce, n’est pas dissuasive et qu’elle ne garantit pas la sécurité des élevages et des cultures.
En réalité, elle ne fait que nuire à notre réputation en tant que société respectueuse des droits de tous les êtres sensibles.
En abolissant la peine de mort pour les ESOD, nous envoyons un message fort au reste du monde : nous croyons en la valeur de la vie, quelle que soit sa forme. Nous rejetons la logique de la vengeance et de la violence, et nous nous engageons à promouvoir des solutions fondées sur la compassion et la réhabilitation.
Mes chers concitoyens, l’abolition de la peine de mort pour les Espèces Susceptibles d’Occasionner des Dégâts est un pas crucial vers un avenir plus juste, plus humain et plus respectueux de la vie sous toutes ses formes. C’est un témoignage de notre volonté de construire un monde où la justice est équitable pour tous, où la rédemption est possible, et où la vie est précieuse.
Mais elle tue davantage que tous les autres sports de tirs, pourtant l’état ne lui impose, comme eux, aucune mesure de sécurité.
Comme souvent avec les statistiques, ça dépend de la base de comparaison. Par un doux mois, sans neige, d’ouverture de la chasse, il est probable que ce soit faut.
L’ojectif du ski n’est pas de tuer !
Les morts sont accidentelles. Ce n’est pas le cas à la chasse. Les morts sont un usage dangereux d’un engin mortel, voir une menace trop appuyée (sur la gachette).
La faune sauvage n’aurait pas de raisons de craindre l’homme plus que tout autre animal, si elle n’avait pas appris que certains aiment tuer, sans raison, par plaisir, surtout lorsque leur victime n’a aucun moyen de se défendre.
La vie sauvage a presque été exterminé à la révolution, lorsque le droit de chasse a été élargie à tous les propriétaires terriens. Depuis, la législation encadre, un peu, le massacre pour qu’il dure plus longtemps.
Les humains normaux qui aiment la vie et aiment partager avec celles qui nous entourent, ont été oubliés. La faune terrorisée, par quelques individus, ne se laisse plus approcher que dans les rares endroits réellement à l’abri des chasseurs.
Les sachersdimages sont des observateurs discrets de la faune sauvage.
Ils ne tuent jamais, ni les humains, ni les bêtes, ni par plaisir, ni par accidents.Ils immortalisent des scènes de vies sauvages, en photos, films, dessins, littérature ou simples souvenirs et même dans les peintures rupestres à l’aube de l’humanité.
Ils observent la faune authentique
et peuvent remplacer les chasseurs
pour gérer les équilibres agro-sylvo-pastoral
sans dégâts à la biodiversité, et sans mépris pour la vie des autres usagers.
Les SCAPEURS ne souhaitent pas vivre sur une autre planète, ils veulent vivre sur la seule planète accessible, vivante et vivable.
Au lieu d’investir ses milliards dans un projet débile qui n’intéresse que lui, il ferait mieux de les investir pour rendre la seul planète vivante, vivable