Fédé vs club

Les associations de scape animent la pratique locale de scape, tandis qu’scape fait la promotion et organise la structure de scape.
Son think-tank analyse et propose les modifications de la législation pour ceux qui n’aiment pas tuer.

Question légitime !

scape est une activité comme la peinture la sculture la varrape ou … la chasse.
On ne peut pas être pour ou contre scape, elle existe comme d’autres activités et elle est sans doute la plus ancienne de nos civilisations.

scape est une activité, un loisir, un art, un sport …
scape est une philosophie, une politique, une religion …

scape est un groupe de réflexion, qui recherche et imagine les règles de fonctionnement de scape, pour limiter les dérives de l’égocentrisme cynégétique.

Les associations de scape, elles, n’organisent que la pratique locale de l’observation et de l’immortalisation des scènes de vies sauvages observées par ses adhérents.
Leur organisation est libre, tant qu’elle respecte la charte fixée par scape. Cela va du prêt de matériel, à la négociation de spots d’observation avec les institutions ou les particuliers, à la préservation ou la restauration de biotopes ou de la biodiversité.
Ces associations travailleront avec profits avec celles qui partagent les mêmes objectifs de restauration des milieux naturels et de leur faune en prenant soin d’éviter d’être « récupéré » par les exploiteurs et destructeurs de l’environnement, dans des opérations de « green Waching ».

 

 

Créer une association

 

Choisir le statut de l’association

Pour atteindre ses objectifs, et négocier avec l’état, à égalité avec la chasse, l’association devra sans doute être agréée.
L’association a un conflit d’usage, de la faune sauvage et la biodiversité, avec la chasse.
Elle défend l’ensauvagement et la renaturation d’un environnement accessibles aux humains qui n’aiment pas tuer.
Il ‘s’agit donc plus d’une association de défense de consommateurs, bien que le mot de consommateur ne soit pas adapté pour les usages contemplatifs de l’environnement.

L’agrément traduit la reconnaissance par la État de l’engagement d’une association dans un domaine particulier (défense des consommateurs, protection de l’environnement, protection animale). la association agréée bénéficie d’avantages variables selon l’agrément : possibilité de demander des subventions publiques, avantages fiscaux, droit de pratiquer certaines activités.

https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F11966
https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F1126

Mission impossible :

Créer une association n’est pas une chose simple, même s’il est relativement facile de la déclarer.Tout est fait pour qu’elle reste cantonnée à son environnement immédiat, ne reçoive des subventions qu’en échange de soutiens à son donateur, et surtout, ne puisse pas influencer les choix gouvernementaux.

Créer une association qui en concurrence une autre est un peu plus difficile.
Il faut convaincre les décideurs politiques de faire un choix, ou du « en-même-temps » équitable.

Mais créer une alternative à une dangereuse association milliardaire et soutenu par presque toute la classe politique, est pratiquement mission impossible.
Même si elle représente moins de 2% des Français et que nous nous croyons encore, dans une démocratie qui respecte les droits de l’homme.

Je sais ! C’est dangereux ! … (Merci me voila prévenu) …. et impossible !
Mais comme dit Mark Twain : « je ne savais pas que c’était impossible, alors je l’ai fait ! ».

Droits d’une ‘minorités’ largement majoritaire.

56% des Français sont opposés à la chasse et pour 90% des Français la chasse pose problèmes.

Mais 80% de leurs représentants sont chasseurs !
Chercher l’erreur démocratique ?

Les chasseurs continus à se présenter comme seuls légitime à gérer la vie sauvage.
D’autre pays et d’autres régions ne respecte pas ce dogme cynégétique.
Proposer une alternative moins brutale devrait donc convenir à 48 millions de Français. On ne devrait pas avoir trop de difficultés à trouver quelques personnes assez motivées pour s’investir un peu plus dans cette aventure.

La pieuvre mafieuse 

Il faut le reconnaitre ; la chasse est une mafia trop puissante et dangereuse pour faire évoluer ses traditions dogmatiques. Leur lobbyiste ne s’en cache pas :  » la chasse est le dernier groupe stalinien d’Europe ». Sans doute pour rappeler qu’ils sont armés, dangereux et prêt à tout pour défendre leur plaisir de tuer.

Il existe de nombreuses associations de protection de l’environnement qui s’opposent aux chasseurs, mais s’il est presque impossible, pour des personnes, d’avoir gain de cause contre la chasse, c’est totalement inimaginable pour la faune, la nature ou la biodiversité que ces associations défendent.

Certaines ont voulu s’opposer à la chasse, pour que d’autres personnes ne se fassent plus tuer dans un ‘cynégécide accidentel’, en déposant une pétition sénatoriale. Le gouvernement a accouché, après une longue gestation, d’une loi qui limite (mais n’interdit pas !) la consommation de trop d’alcool à la chasse.

Tuer doit rester une activité conviviale !

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ET…ET… 

Bon ! évidement, il faut connaitre la chanson d’Henri Salvador !

La sache est un projet d’association de chasseurs qui ne chassent pas

Ils ne traquent pas, ils observent !

Ils ne tuent pas, ils immortalisent

 C’est une activité millénaire.
En devenant humains, les hommes préhistoriques ont compris l’empathie et ont peint des scènes de vies sauvages sur les murs de leurs cavernes.

Ils chassaient sans haine, pour se nourrir, sans imaginer les conséquences de leurs génocides.

Observer et immortaliser la faune sauvage reste aussi légitime que lui faire la guerre. C’est une activité libre, discrète, solitaire, mais ignorée par la législation et méprisée par la politique qui ne connait que la chasse.
La moindre demande de pose dans la chasse est rejeté avec mépris.
Si vous souhaitez pouvoir observer la faune chez-vous, vous devez maintenant demander l’autorisation… aux chasseurs, qui peuvent vous l’accorder 5 ans plus tard, assortie quelques sanctions financières et menaces législatives.

la SACHE.

La sache est incompatible avec la chasse.

Pour observer des scènes de vies sauvages, les snipis recherchent une faune sauvage.

Pourquoi ?

 

Landing pages des propriètaires

Titre 1

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Texte

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Chasseurs ou sacheurs

Vous devriez choisir…

Parce que

 

Vous aurez le choix !

Que vous soyez agriculteur, propriétaire ou simple usager de la nature, l’état a toujours considéré que l’on est à la campagne pour chasser, détruire ou exploiter.

Depuis la séparation de l’Église et de l’état les Français sont libres de réfléchir par eux-mêmes. Les pensées scientifiques et objectives font leur chemin. Mais au nom de la tradition certains veulent toujours imposer leurs dogmes.

L’association sacheurs vous permettra de choisir de contempler la faune qui fréquente votre propriété, sans risque pour votre vie et celles de vos enfants.

 

Parce que ...
C'est gratuit ?

L’inscription de base est gratuite mais…..

Vous pouvez faire un don, pour aider aux frais de fonctionnement et accélérer le développement de l’association.

Vous pouvez aussi convaincre d’autres personnes pour nous rejoindre. Plus nous serons nombreux plus le législateur nous écoutera.

Vous êtes curieux

L’adhésion permet de vous informer sur l’avancement du concept. Elle est libre et gratuite, les informations sont brèves et limitées à l’essentiel.

Elle ne vous engage à rien et vous pouvez vous désinscrire à tout moment.

 

 

Vous n'aimez pas les chasseurs ?

Il y a mille raisons de détester la chasse de loisir !

Mais la seule raison de soutenir les sachersdimages est de contraindre l’état à respecter l’immense majorité des usagers de la nature qui n’aiment pas tuer en révisant la loi.

Tuer n'est pas un "art de vivre"

Les chasseurs prétendent que tuer est un ‘art de vivre’. L’état considère que c’est un loisir honorable et que tout citoyen adhère pleinement aux dogmes cynégétiques.

Même dans un état laïc, il n’est pas possible de s’opposer à la chasse, mais nul ne devrait vous interdire de choisir un autre art de vivre; celui des sachersdimages.

 

Vous êtes propriètaire

Votre terrain est obligatoirement lié à un droit de chasse. Il est difficile voire imprudent de s’y opposer.

Les nombreuses dérogations permettent aux chasseurs de ne pas tenir compte de votre opposition.

Vous devez accepter qu’une meute de chiens hystériques terrorisent, chez vous, vos enfants jusque dans leur bac à sable.

Ou qu’un groupe d’individus armés s’invitent au milieu de vos invités pour y poursuivre un sanglier.

Ou qu’une association étrangère décide d’exterminer la faune endémique que vous accueillez chez vous.

 

il est dangereux de s'opposer aux chasseurs

La chasse n’est pas qu’un loisir. Selon les chasseurs eux-mêmes, « tuer est un art de vivre ». Cet oxymore en ferait une secte, ou une religion, selon que l’on accepte ou pas ses dogmes.

Mais son hégémonie et son implantation au plus haut niveau de l’état, la rendent intouchable et extrêmement dangereuse. La chasse est une Mafia et prône le plaisir de tuer.

Il est extrêmement dangereux de vouloir s’opposer ou modifier la charia cynégétique, elle s’aplique avant les lois de la république.

Comme pour les religions ou les partis politiques hégémoniques, le seul moyen de réduire leur nuisance est de proposer une autre philosophie soutenue par davantage de personnes.

Vous devriez donc soutenir les sachersdimages pour que la loi protège enfin les victimes avant leurs bourreaux.

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Les multiples agressions dont sont victimes, ceux qui souhaitent limiter quelque peu les nuisances cynégétiques peuvent aller jusqu’au meurtre. S’il est facile de reclasser les cynégécides en « malheureux accident de chasse », le meurtre en bande organisée de XXX prouve qu’ils ne prennent même plus cette précaution. Leur président appel impunément au meurtre de ceux qui oseraient dégrader leurs miradors, leur lobbyiste se vante d’être à la tête du dernier groupe Stalien d’Europe, et les ministres s’apitoient sur les tracasseries que risque de subir la jeune chasseuse meurtrière d’une autre jeune randonneuse, dont le seul tort est d’avoir aimé la nature. D’autres victimes seraient parfaitement ignorées sans la pétition sénatoriale du collectif « un jour un chasseur ».