la scape

Observer &
Immortaliser

SCAPE

L’alternative
à la chasse

la scape

La Scape est une tradition ancestrale et un loisir contemporain. Elle invite à la contemplation de la vie et à l’harmonie avec la nature.

Une passion ancestrale.

Elle ne détruit rien, ni la vie, ni la Terre
Et ne vole que des images et des souvenirs.

Sniper photographe animalier

La SCAPE est à la chasse
ce que la paix est à la guerre.

L’état organise la guerre et la chasse.
Le peuple veut la paix et la scape.

La scape revendique le droit fondamental de préférer la contemplation à la tuerie

Bambi

Les intérêts de la scape sont ceux de la biodiversité et de ceux qui aiment la vie.

🎨 Le concept

Depuis toujours, les enfants et de nombreux adultes s’émerveillent de regarder vivre des animaux sauvages et libres. C’est ce qui fait le succès des films animaliers et des mythes comme le jardin d’Éden. Mais rien ne vaut l’observation furtive en immersion de la scape, lorsque l’animal ne se sait pas observé.
Les peintures rupestres témoignent que les humains ont rapidement souhaité immortaliser ces observations.
Le concept de SCAPE rassemble sous un seul nom ces loisirs de pleine nature, dont le but est d’observer et d’immortaliser des scènes de vies sauvages.
Il a été créé pour que cette activité, soit connue du public et reconnue par les autorités, comme un usage non appropriatifs de la nature et de la nature et de sa faune sauvage.

Le concept formalise politiquement cette pratique ancestrale, pour rétablir le droit fondamental de pouvoir choisir librement entre les deux plaisirs d’admirer ou de tuer la faune sauvage, chez soi ou dans la nature.
Ces deux loisirs sont incompatibles pratiquement et philosophiquement !

L’observation d’une faune terrorisée par la chasse devenant de plus en plus improbable, la SCAPE souhaite rétablir une relation apaisée avec la faune sauvage.
Elle prône une autre gestion de la faune sauvage, pour une véritable biodiversité naturelle indispensable à son activité.

Ce concept correspond à la féminisation d’une politique moins brutale. Elle est en phase avec les enjeux écologiques, démocratiques et économiques du XXIe siècle.

La SCAPE ne s’oppose pas à la chasse, elle la remplace. Elle ne défend pas les droits de la faune sauvage, elle défend les droits des citoyens qui défendent la faune sauvage.

Elle revendique une gestion de la biodiversité par des scientifiques ne priorisant pas les intérêts destructeurs de l’infime minorité cynégétique.
Elle propose que la régulation indispensable se fasse par des fonctionnaires compétents et sans conflit d’intérêt. Comme les militaires.
Son succès dépendra de la mobilisation citoyennes en faveur d’une nature apaisée, protégée, mais accessible à tous.

 Pourquoi, comment ?

La SCAPE est le nouveau concept d’une activité millénaire.
Elle a de nombreuses implications et suscite de nombreuses interrogations.

Pourquoi ce concept ?

À l’origine, le code de la chasse a été créé pour protéger la faune et les personnes.  Son entrisme dans toutes les instances de décision et son succès auprès des gens de pouvoir, en a fait un état dans l’état.
Aujourd’hui la législation impose les dogmes de la chasse et ne protège que les chasseurs, jusqu’à interdire l’opposition à la chasse.

La scape a été créée pour donner un cadre législatif à l’observation de la faune, à l’image de ce qui existe pour la chasse. Son développement repose sur la présence d’une faune sereine et d’une biodiversité abondante et protégée. Elle défend les intérêts de ses adhérents et représente indirectement ceux de la faune sauvage et de ses partisans.
Cette alternative, éthique et consensuelle, permet de concurrencer et marginaliser la chasse.
À terme, elle abolira l’hégémonie cynégétique dans le Code rural et la gestion de la faune sauvage.

Remplacer la chasse par la scape permet de rétablir la vraie biodiversité naturelle, non réduite aux intérêts égoïstes des chasseurs, rassurer les usagers de la nature et à tous de choisir librement une relation harmonieuse avec la nature.

La SCAPE est un concept, une activité et une association.
Le concept regroupe deux activités ancestrales : l’observation et l’immortalisation de scènes de vies sauvages et concurrence la chasse.
L’association développe et fait la promotion de l’observation et de l’éthologie auprès du public et des autorités.
L’activité utilise tous les moyens légaux à sa disposition pour atteindre ces objectifs.

Le think tank analyse la législation et propose les modifications de la loi.

Pourquoi remplacer la chasse ?

Il y a mille raisons de ne pas aimer ce qu’est devenu la chasse : Le seul plaisir de tuer !
Mais il est impossible d’éradiquer ou seulement restreindre ce loisir pour l’empêcher de tuer. Tuer est le loisir préféré des législateurs. Tel une charia cynégétique, il a inscrit ses dogmes dans la législation et lui a confié la gestion hégémonique et tyrannique de la faune sauvage.

La chasse bénéficie de nombreux privilèges, et d’énormes subventions qui ne cessent d’augmenter en temps de disette pour tous les autres.

S’opposer à la chasse est illégale, inefficace et dangereux. À défaut d’être morale, tuer par plaisir est légal, le Parlement refuse la moindre contrainte, les partis craignent la répression  des chasseurs, même un ministre peut être démissionné.
Comme une charia cynégétique, l’article
Article L420-1 du Code rural, fait la propagande de la chasse. L’entrisme cynégétique à infiltré tous les pouvoir bien plus efficacement que la Piovra Italienne.

S’il est difficile et dangereux de s’opposer à la chasse, il est tout aussi difficile, (mais moins dangereux) de s’opposer à une activité concurrente. On ne peut pas éradiquer la chasse-loisir, mais on peut la remplacer, jusqu’à la marginaliser.

Si, contrairement à ce que certains députés refusent aux lois religieuses, les lois de la république doivent s’effacer devant les traditions, presque toute la législation serait caduque, puisque les lois combattent très souvent un comportement traditionnel.

Comment remplacer la chasse ?

Le remplacement de la chasse par la SCAPE constitue un projet politique réalisable sur 30 ans. Sept chantiers structurants permettent cette transition vers une gestion respectueuse, démocratique et scientifique de la faune sauvage.

Un monopole à démanteler

La chasse dispose d’un monopole législatif inscrit dans le Code rural. Les fédérations cynégétiques dictent les lois qui les concernent, sans contre-pouvoir. Ce système impose la chasse aux propriétaires fonciers et exclut toute alternative. La SCAPE conteste cette hégémonie sur quatre plans : philosophique (respecter versus détruire), pratique (observer versus tirer), politique (briser le monopole) et écologique (objectifs contradictoires).

Sept chantiers pour la transition

La reconnaissance juridique établit l’observation comme droit opposable, avec réforme du Code rural et gouvernance partagée. La réorientation financière réaffecte à la biodiversité les subventions cynégétiques (multipliées par 420 entre 2017 et 2021). La régulation naturelle privilégie les prédateurs (loup, lynx) et interdit l’agrainage. Les territoires sanctuarisés visent 50% du territoire libéré d’ici 2045 (10% en 2035, 30% en 2045). Les gardes-scapes constituent une police environnementale désarmée, formée en écologie et sans lien avec la chasse. La réforme démocratique instaure transparence totale, audits indépendants et sanctions effectives. La transformation culturelle intègre l’observation dès l’école primaire.

Un modèle éprouvé

Genève fonctionne sans chasse depuis 1974 avec régulation professionnelle efficace. Suisse, Allemagne et Pays-Bas ont libéré des proportions significatives de leur territoire. Ces exemples démontrent la faisabilité technique et politique du projet.

Comment aider ce concept ?

Le plaisir de regarder vivre la faune sauvage devrait être libre et gratuit, Hélas cette association prouve qu’il devient indispensable de le protéger.
Le concept se développera plus ou moins vite selon ses moyens.
Il n’aura aucun soucis financier, si les dizaines de millions de personnes concernées donnent un dix millièmes de ses revenus pour soutenir la scape.
Ce soutien permet d’être informé de l’évolution de l’activité, de communiquer avec les membres créateurs et de postuler au titre de membres créateurs.
Les membres créateurs s’engagent à ne pas soutenir la chasse ou d’autres activités concurrentes incompatibles.
L’association à un fonctionnement collégial, sans hiérarchie, avec décisions consensuelles.
Les associations locales de scape sont autonomes et agréés. Elles participent à la rédaction de la grande encyclopédie et à la production de NFT-SCAPE.

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