Genèse

L’observation de la vie sauvage est le premier loisir et son immortalisation artistique, la première démarche scientifique de l’humanité.
Elles sont apparues en peintures rupestres, lorsque Homo sapiens à découvert le loisir, c’est-à-dire une activité inutile à la survie d’une espèce.
En ce sens, la contemplation est un loisir.
Repus, au chaud et l’abri des dangers, Homos Sapiens a commencé à contempler  la vie autour de lui sans arrière-pensées alimentaires. En découvrant l’empathie, Sapiens a progressivement transformer cette contemplation en observation attentive, pour comprendre la faune qui l’entoure.
En mémorisant leurs observations par la sculpture ou la peinture, les humains les transmettent aux générations futures.
C’est le début de leur Histoire.

L’immortalisation n’est pas seulement un art esthétique, elle est descriptive. C’est une démarche préscientifique. La compréhension remplace les croyances.
Ce que l’on peut traduire aujourd’hui par : l’éthologie remplace la cynégétique.

Le concept permet de rassembler sous un seul nom : la SCAPE, les activités de pleine nature dont le but est d’observer et d’immortaliser des scènes de vies sauvages.
Elle a été créée pour que ces activités, soient connues du public et reconnues par les autorités comme alternative crédible à la chasse.

Elle comprend de nombreuses activités sportives, ludiques et artistiques et a diverses implications philosophiques, politiques et législatives.

C’est une alternative respectueuse de la biodiversité et des autres usagers.
Sa pratique est discrète et sans risque pour les animaux et les personnes.
Elle ne prélève, dans la nature, que des images et des souvenirs.
Elle permet à chacun de retrouver l’harmonie primitive du monde naturel.
C’est une alternative ancestrale, légitimement concurrente de la chasse moderne, capable de la remplacer dans ses missions de service public, mais elle reste ignorée du public et méprisée par ses élus, qui lui préfèrent le plaisir de tuer.

Notre philosophie

Redéfinir le rapport à la nature

La-Scape repose sur une conviction simple mais révolutionnaire : Notre approche permet de vivre pleinement l’émotion de la rencontre sauvage, l’adrénaline du pistage, la satisfaction de la connaissance approfondie du vivant, tout en préservant l’intégrité de nos écosystèmes.

INCOMPATIBLE AVEC LA CHASSE

LA SCAPE EST INCOMPATIBLE AVEC LA CHASSE.

La scape est à la chasse, ce que la bicyclette est à la voiture. Elles ont un confit d’usage d’un même bien commun : la faune sauvage pour les premiers, le macadam pour les seconds. Mais, pour scape, le législateur ne reconnait pas l’usage concurrent de la chasse, bien qu’elle soit largement majoritaire. C’est un délit de démocratie.

On aime ce que l’on connait. L’observation furtive de la faune fait de la scape une activité philosophiquement incompatible avec le plaisir de tuer. Ce n’est pas un dogme. Certaine peuplade doivent chasser pour survivre.

La chasse terrorise la faune, modifie son comportement naturel.

Elle exploite et transforme la biodiversité pour son seul usage égoïste

Elle est dangereuse pour les scapeuses et les scapeurs camouflés dans la nature.

En général, les ruraux préfèrent se priver de nature en période de chasse. Si la scape est reconnue, les usagers pourront, sans risques, vaquer à leurs occupations sur les terrains de scape.

La faune apaisée sera observable et ne présentera plus de danger.

Quelques règles simples suffisent à la scape pour cohabiter avec les autres activités.

Lorsqu’elle n’est pas terrorisée, la faune tolère parfaitement la présence humaine et n’agresse jamais les humains.

Vous n’aimez pas la chasse, vous allez adorer la scape

La scape est une alternative à la chasse, elle permettra aux usagers de choisir l’une ou l’autre et au législateur de rétablir les droits des non-chasseurs.
Cette « minorité » méprisée représente 80 % des Français. Il y a donc, potentiellement,  50 millions de scapeuses et scapeurs en France. La chasse ne peut plus imposer son dictat. Du moins ce que l’on ose encore appeler chasse en France.
La chasse alimentaire des lapons ne fait jamais de victimes humaines. Ils ne tuent avec une balle, que le strict nécessaire alimentaire. Ils n’ont jamais déséquilibré la biodiversité en « régulant » les prédateurs naturels, ni élevé, ni alimenté de cibles.

Pour les gouvernements qui ont un minimum d’étique, tuer ne peut pas être un loisir.

Incompatibilité Philosophique AVEC LA CHASSE

L’association scape conteste l’usage exclusivement cynégétique des autres êtres vivant librement sur terre.
Légalement, la faune sauvage est res-nullius, c’est-à-dire qu’elle n’appartient à personne, de faits, la chasse à l’exclusivité de son exploitation et de sa gestion. scape souhaite que la vie sauvage de la planète soit classée comme patrimoine mondial de l’humanité, pour être protégée, restaurée et n’être exploitée raisonnablement, que par nécessité.
Le plaisir de regarder vivre est aussi traditionnel et légitime. Il est incontestablement plus respectable que celui de tuer.

scape ne nie pas la nécessité, dans certaine circonstance, de tuer pour se nourrir, mais la chasse moderne est devenue le simple loisir, inutile, de hordes haineuses qui jouent à la guéguerre contre une ennemie imaginaire et inoffensive : la faune sauvage.
Comme inscrit dans ses statuts, la chasse ne défend que les intérêts des chasseurs et une biodiversité réduite à leurs seuls intérèts mercantiles.
La viande n’est pas tracée, elle est toxique, les chasseurs ne devraient ni consommer, ni vendre, ni écouler le produit de leur massacre.

Au dire des chasseurs, eux-même, la « régulation », ce n’est pas de la chasse. Ce n’est qu’un alibi, souvent contre-productif. pour continuer à massacrer des animaux, en dehors des périodes et des zones réservées à la chasse. Les militaires seraient plus efficaces et disciplinés pour rétablir l’équilibre des populations animales lorsque l’état l’éxige. Les chasseurs sont généralement à l’origine de ces déséquilibres. Leur intérêt étant d’avoir un maximum de proies à flinguer. Les militaires n’ont pas ce conflit d’intérêt. Ils remplissent toute leur mission et rien que leur mission.

Mais quelles que soient les origines des adhérents de la scape, tous condamnent le sadisme cynégétique.

L’hégémonie cynégétique a transformé la chasse de subsistance en un loisir mafieux.
La chasse est devenue un jeu de guerre, en temps de paix, contre un ennemi imaginaire et inoffensif, pour le plaisir malsain de terroriser et de fusiller d’innocentes victimes.
Elle n’a même plus l’alibi alimentaire. Le gibier est fortement déconseillé à la consommation. Il n’a pas de traçabilité, il mange n’importe quoi et il est plein de plomb.
Mais c’est le loisir préféré des autorités politiques et religieuses.

Gestion de la faune

Ce concept est un usage et une gestion non létale de la faune sauvage.
Il se présente comme une alternative à la chasse traditionnelle.

Ce concept vise à gérer la faune sans recourir à la chasse.
Il préconise d’utiliser des méthodes telles que le contrôle de la fertilité, la réintroduction d’espèces dans des habitats adaptés et la création de zones protégées adapté à l’observation furtive de la biodiversité.
Chacun devrait avoir droit à une fenêtre sur la nature, prêt de chez lui.

LA scape ET LES RELIGIONS.

Dans un pays laïc comme la France, il est étonnant de constater que cette république n’a pas séparé la chasse de l’état, comme elle l’a fait pour les autres religions.
La chasse ne prétend peut-être pas être une religion, mais elle n’hésite pas à sanctionner un ministre et à menacer les représentants du peuple si on la contrarie. Comme au temps de l’inquisition, la chasse est un état dans l’état et souvent, c’est elle qui domine. Aucun parti politique n’ose contester sa gestion partisane de la faune sauvage.
Elle condamne ou gracis les ESODE du diable ou le gibier du bon dieu.

Comme la chasse, scape est une passion et un art de vivre. Elle est méprisée des autorités, depuis que les catholiques ont écrasé les Cathares qui prônaient plus de compassion envers la faune.
Pour les cathares, les animaux ont une âme, les catholiques ont pris ce prétexte pour les exterminer comme blasphémateurs.

QUI SONT LES scapeUSES ET LES scapeurs ?

A priori !, tous ceux qui n’éprouvent aucun plaisir à détruire la nature et sa biodiversité.

Mais surtout les nostalgiques du jardin d’Eden, avant que le législateur autorise des hordes d’individus à jouer partout à la guéguerre contre des ennemis imaginaires et inoffensifs, avec de véritables armes de guerre.

La scape ET LES ASSOCIATIONS ENVIRONNEMENTALES

La scape est une activité artistique, culturelle ou sportive.
Elle existe indépendamment de toutes considérations politiques, philosophiques et législatives.
Les sympathisants des associations qui défendent la biodiversité pourraient affirmer qu’ils pratiquent scape, sauf les chasseurs qui exploitent leur biodiversité cynégétique aux dépens de la biodiversité naturelle.

La fédération Française de scape permettra d’encadrer et de protéger cette activité.
Les particuliers et les associations. environnementale pourront y adhérer, pour développer la scape et limiter considérablement, les nuisances de la chasse.

LA scape DANS LA RURALITÉ.

En général, les ruraux préfèrent se priver de nature en période de chasse. Si scape est reconnue, les usagers pourront vaquer à leurs occupations sur les terrains de scape.

La faune apaisée sera observable. Les scapeuses et les scapeurs et ne présentent aucun danger. Quelques règles de savoir-vivre dans la nature permettent à toutes les activités inoffensives de partager la nature.

 

Nos PROJETS

Nos projets

Il y a énormément de chose à faire pour rattraper et remplacer le loisir mortifère qui s’intéresse à la faune sauvage.
La liste ci-dessous n’est pas exhaustive, elle sera allongée par les membres créateurs.

N’hésitez pas à nous rejoindre si le concept vous intéresse et que vous avez des suggestions à faire.

  1.  Créer un droit d’EDEN opposable au droit de chasse.
  2. Appliquer la loi qui interdit de chasser sans autorisation.
  3. Taxer l’utilisation du droit de suite.
  4. Rétablir l’égalité des droits.
  5. Rétablir le droit constitutionnel.
  6. Réformer les dérives sectaires de la législation cynégétique.
  7. Abolir ou généraliser les privilèges cynégétiques.
  8. Abroger toutes les règles qui imposent la chasse chez soi.
  9. Abroger les lois qui sanctionnent l’opposition à la chasse

Le DROIT D’EDEN » ou « droit de scape »

Le droit d’Éden est un concurrent exclusif du droit de chasse. De sa reconnaissance dépend l’avenir de ces deux activités.

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La loi du 3 mai 1844 constitue le fondement de la organisation de la chasse.

Le droit de chasse est un attribut du droit de propriété. Chaque citoyen peut chasser sur un territoire dès lors qu’il obtient la accord du propriétaire.

Le droit d’Eden est aussi un attribut fondamental du droit de propriété. Il n’a jamais été remis en cause. Chaque citoyen peut donc scaper sur un territoire sans la accord du propriétaire dès lors qu’il n’a pas exprimé son désir d’y interdire l’observation de la faune sauvage.

Contrairement à l’interprétation des chasseurs, qui estiment qu’une loi ne s’applique pas par défaut de la réclamer.
scape rappelle, que dans un État de droits, la loi s’applique tant qu’une autre loi ne l’a pas abrogée ou n’en a pas limité la portée.
Si le commentaire de la loi du 3 mai 1844 précise que le consentement du propriétaire n’a pas besoin d’être écrit. Il précise également que c’est au juge d’en décider. Hors, à cette époque, la justice ignorait (ou méprisait ?) le droit d’Éden.
Il ne pouvait donc pas retenir le droit de non-chasse par défaut, comme le dit la loi.

En absence d’usage alternatif connu de la faune sauvage, le droit de chasse conditionné au consentement du propriétaire est progressivement devenu une obligation de chasse avec la loi Verdeille.

En conséquence, scape souhaite se faire connaitre pour être reconnue et respectée par les autorités, pour que la loi soit appliquée dans toute sa rigueur et que la législation contradictoire soit abrogée.

Les sentinelles

Les sentinelles sont à scape ce que les …sont à la chasse. MAIS :

Ce sont tous les bénévoles concernés par la pérennité de la planète.

  • Ils collaborent entre eux pour sauver la biodiversité.
  • Ils ne sont pas armés.
  • Ils ne protègent pas leurs intérêts, mais ceux de la planète.
  • Ils préfèrent éduquer que dénoncer la population.
  • Ils témoignent et informent des ‘abus’  des chasseurs.
  • Ils proposent des règles locales pour un usage perpétuel de la nature.
  • Ils font la promotion de l’observation en alternative à la prédation.
  • Ils dénoncent et s’opposent aux dégradations volontaires de l’environnement.
  • Ils soutiennent la démocratie directe et l’auto discipline.
  • Ils

 

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 Genèse

Dans l’évolution d’Homo sapiens, observer la faune a nécessairement précédé l’envie de la tuer.
L’observation est donc aussi, voire plus légitime que la chasse.

Le projet

 L’association concurrence les loisirs nuisibles à la nature et aux autres usagers.
Pour que les générations futures puissent toujours pouvoir observer la faune qui partage la planète terre.

Elle intervient politiquement pour que soit réformé le code de la chasse et y inclure la scape qui a été « oubliée » depuis les premières réglementations.

Elle prescrit notamment :

– Que soit reconnu et inscrit dans la constitution, le droit d’éden.

– Que soit appliqué la première règle de la chasse qui stipule que, par défaut d’accord, les propriétaires bénéficient du droit de non-chasse (droit d’ÉDEN)

– Que ce droit d’ÉDEN soit reconnu et lié au droit de propriété comme le droit de chasse qu’il annule et remplace.

– Que la législation abroge la loi Verdeille qui impose partout la chasse et interdit, de fait, le droit d’observer la faune sauvage, chez soi ou dans la nature.

– Que soit adaptée la réglementation ; en reconnaissant l’existence de la SCAPE et en levant les entraves techniques et légales, à sa pratique.

– Que les régulations de la faune se fassent par celles des naissances, plutôt que par les massacres ludiques et inutiles de la chasse.

– D’inscrire dans la constitution le droit à cet usage éthique et perpétuel de la nature et de sa biodiversité.

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 La défense de l’environnement concerne la terre entière. La scape à donc vocation à élargir son influence aux autres pays et devenir une ONG
La France n’est qu’une étape pour lutter contre l’hégémonie cynégétique et abolir le soutien politique et législatif au plaisir de tuer.

 

 

Usage non appropriatif de la nature

Le Code de l’environnement précise que « la chasse s’exerce dans des conditions compatibles avec les usages non appropriatifs de la nature ».
Sans doute que, puisque la loi le dit, il n’est pas, pour la chasse, nécessaire de le faire !

La scape est un usage non appropriatif de la nature, puisqu’elle n’y prélève que des souvenirs.
La chasse est définitivement incompatible avec la scape.
Elle ne doit donc pas s’exercer sur les terrains de scape.

La gestion cynégétique est hégémonique, partisane et protégée par l’état.
Elle nuit gravement à la pratique de la scape et devient même dangereuse lorsque la faune se concentre sur les rares parcelles délaissées par l’agriculture.

Rejoignez-nous

Une communauté en croissance

La-Scape rassemble des passionnés de nature qui ont fait le choix de l’éthique sans compromis. Naturalistes, amateurs passionnés, photographes animaliers, éco-guides, scientifiques : tous unis par la conviction que l’amour de la nature peut s’exprimer autrement que par la violence cynégétique.

Pourquoi nous rejoindre ?

  • Vivez pleinement et partagez votre passion de la nature sans nuire à la biodiversité.
  • Développez vos compétences autant que vous le souhaitez.
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