Une autre chasse est elle possible

Il existe parait il des chasseurs qui regrette le temps où l’on ne chassait pas pour le plaisir de tuer, mais pour améliorer son ordinaire par un gibier au repas du dimanche.
C’est cette chasse que l’on nous présente pour faire sa publicité. La réalité est tout autre. Partout on voit dans les campagnes des ordres de nemrod déguisé en danseuse du crasy horse terroriser les hommes et les bêtes. Ils jouent à la guerre comme au paintball, mais avec des balles mortelles à 3 km. Leur adversaire de jeu, n’ont jamais demandé à jouer les victimes. Ils n’ont aucun moyen de se défendre et sont certains de perdre la partie.
Mais on peut imaginer qu’il existe encore dans quelques contrées isolées de « bons chasseurs » solitaires qui ne tuent jamais plus d’un animal et que pour le manger, lors de leur sortie.
Un groupe de ces chasseurs auraient même voulu prendre leur distance avec la chasse de loisir. Ils aiment manger du gibier, mais n’éprouvent aucune jouissance à la tuer. Mais voilà ! en France, c’est interdit. Si vous voulez chasser, vous devez obligatoirement faire partie de la FNC. Vous ne pouvez pas faire preuve de plus d’étique que celle, officielle, de la fédération et vous devrez soutenir tous les modes de massacre, même les plus dégueulasses.
La seule solution pour ces chasseurs est de s’expatrier dans un pays où l’on pratique la chasse alimentaire et où jamais, il ne vient à l’idée des chasseurs que l’on puisse élever des animaux et s’en servir de cible, ou se prétendre plus compétent que les millions d’années d’évolution, pour réguler la biodiversité à coup de fusil.
L’autre possibilité et de remplacer son fusil par un appareil photo ou une caméra… et de rejoindre la SCAPE.

Certain jette l’éponge et leur fusil (ou l’inverse) et le plaisir d’un bon repas

 

Polution du plomb de chasse

Selon un rapport d’enquête publié par l’Agence européenne des produits chimiques (Echa),
effectué à la demande de la Commission européenne,
4 000 à 5 000 tonnes de plomb liées à la chasse seraient actuellement dispersées dans les zones humides.
Et jusqu’à 14 000 tonnes dans les zones terrestres.

Un parti politique opposé à la chasse

Un parti politique opposé à la chasse, ça n’existe pas !
Pourtant, un parti qui prendrait le risque de s’opposer aux chasseurs risquerait de perdre un million d’électeurs potentiels, mais gagnerait des centaines de millions d’électeurs exaspérés par la chasse moderne. 
Il lui suffirait de proposer une alternative comme la SCAPE pour gérer éthiquement la faune sans détruire la biodiversité.
La chasse de loisir n’a de chasse que le nom.