Les 5 grands principes du droit de l’environnement ?

les 5 grands principes du droit de l’environnement sont :
  • L’environnement fait partie de la nation. …
  • Le principe de précaution ou prévention. …
  • Le principe pollueur-payeur. …
  • Le principe de participation. …
  • Le principe de l’utilisation durable. …
  • Le principe de non-régression.
  • L’environnement fait partie de la nation. …
  • Le principe de précaution ou prévention. …
  • Le principe pollueur-payeur. …
  • Le principe de participation. …
  • Le principe de l’utilisation durable. …
  • Le principe de non-régression.

Manifeste pour la scape.

L’association de la scape appelle à une mobilisation pour une action coordonnée et pacifique auprès des élus de France et d’Europe. Les scapeurs sont invités à leur adresser un manifeste pour la scape avec 11 revendications.

« Depuis toujours, nous sommes l’objet d’attaques répétées des idéologues cynégétiques et des gouvernements successifs. Ces attaques ont atteint leur paroxysme sous la présidence actuelle, et c’est dorénavant toute la scape française qui est menacée, comme une bonne partie du monde rural » explique Sam, le représentant de la scape.

Une action coordonnée et pacifique

Il devient urgent de faire entendre la voix de ceux qu’on n’a jamais écoutés et de s’opposer à l’hégémonie politique de la chasse et à ses dogmes législatifs.

C’est pourquoi la SCAPE a décidé d’organiser la riposte en lançant un appel à la mobilisation, auprès de citoyens démocratiques de la république laïc de France, pour une action coordonnée et pacifique auprès des élus. Les scapeurs sont invités à leur présenter un manifeste avec 11 propositions essentielles pour l’avenir de la scape française, car il y a urgence à faire entendre la voix de ceux qu’on n’a jamais écoutés.

Dans ce manifeste porteur d’espoir figurent des propositions claires et légitimes pour la scape française. Parmi celles-ci :

2)

Proposition concernant la scape:

La Scape est l’art d’observer et d’immortaliser des scènes de vies sauvages. C’est une activité alternative concurrente de la chasse, qu’elle peut remplacer.

  • La reconnaissance de la scape comme patrimoine culturel à l’UNESCO ;
  • Le soutien aux agriculteurs, aux éleveurs, au pastoralisme face à la destruction des « nuisibles pour la chasse », mais utiles autres usagers.

 

2) Propositions de la scape concernant la chasse :

Ce sont des contre propositions à celles des chasseurs. Elles sont aussi provocantes que les leurs.

 

  • La reconnaissance de la scape comme alternative moderne à la chasse, dans le cadre de la transition écologique.
  • La fin de la gestion de la faune sauvage par les seuls chasseurs, qui se limite à la biodiversité cynégétique et mettent en péril la vraie biodiversité.
  • la fin du financement de la chasse qui a augmenté de 4.500.000 % sous Macron.
  • l’obligation de respecter l’interdiction de rejeter 6500 tonnes de plomb chaque année dans la nature, Comme cela a été imposé aux automobilistes.
  • La réduction des espèces chassables, aux seules espèces consommables et abondantes, et l’obligation de respecter les moratoires et la loi.
  • l’interdiction des chasses « traditionnelles » qui ne sont qu’une légalisation républicaine d’ancienne technique de braconnage.
  • L’abolition du déterrage et autres techniques abjectes de martyriser, sans raison autre que par sadisme, des animaux innocents et sans défense
    La mise en place d’une police rurale de proximité, assuré par de vrais fonctionnaires d’état, comme les polices municipales et surtout, indépendantes des premiers terroristes de la nature.
  • La recomposition de l’OFB monopolisée par les chasseurs.
  • La consultation citoyenne pour toute décision de soutiens municipaux, aux tueurs des champs et des bois.
  • Le soutien aux agriculteurs, aux éleveurs, au pastoralisme face à la gestion égocentriste des chasseurs, qui favorisent les nuisibles du monde agricole. (mulots, sangliers, cerfs …) en détruisant leurs prédateurs, en multipliant le gibier et en ignorant les rongeurs.
  • Une refonte totale des lois cynégétiques, pour assurer une utilisation sereine de la nature pour tous les autres usagers, même pendant leurs jours chômés et leurs congés.
  • Et, bien sûr, pour le tir aléatoire sur cibles vivantes en milieu ouvert, une protection semblable à celle des autres sports de tir, interdisant tout risque d’accident. Les carabines de chasse sont plus dangereuses que les armes des stands de tir.

L’objectif de cette action est de passer collectivement un message national porté par le manifeste, par le biais des maires, qui sont des élus de proximité. Pour la plupart, « ils nous connaissent, ils savent l’importance de notre réseau rural, et constatent l’action des chasseurs sur la biodiversité, et le lien social que nous représentons dans la France des territoires » souligne le président de la FNC. « Ce n’est pas le nombre de chasseurs mobilisés qui fera la force de cette mobilisation, mais le nombre de mairies ainsi visitées. Aucune d’entre elles ne doit être oubliée » ajoute le président de la FNC.

L’objectif de cette action est de passer collectivement un message national porté par le manifeste.

Le samedi 17 mai, à 11 heures précises, chaque chasseur ou délégation de chasseurs devra :

  • se présenter devant la mairie de sa commune, se prendre en photo avec le manifeste en main,
  • et la poster sur les réseaux sociaux, comme symbole de l’attachement des chasseurs à leur territoire et à leurs valeurs avec le #LaPassionDesTerritoires
  • Après quoi, les maires seront invités à prendre connaissance des revendications des chasseurs exprimées dans le manifeste, voire  à le signer s’ils le souhaitent. Si la mairie est fermée, les rendez-vous peuvent être pris les jours précédents.
Il est important, ce 17 mai, de faire voir que nous sommes présents partout, et de faire comprendre que cet acharnement contre nous doit prendre fin pour que nos enfants et nos petits-enfants puissent vivre une ruralité heureuse.

Willy Schraen, Président de la FNC

Une ruralité heureuse

Par cette action sur l’ensemble du territoire, les chasseurs lancent un appel de bon sens : « Qu’on nous laisse vivre chez nous avec nos passions et nos modes de vie, et que l’écologie dogmatique et politique arrête tout simplement de nous emmerder » résume Willy Schraen. « Il est important, ce 17 mai, de faire voir que nous sommes présents partout, et de faire comprendre que cet acharnement contre nous doit prendre fin pour que nos enfants et nos petits-enfants puissent vivre une ruralité heureuse » a-t-il conclu.

Reconnaissance de la SCAPE comme acteur légitime de la biodiversité

La SCAPE doit être reconnue comme une alternative moderne à la chasse, dans le cadre de la transition écologique.

Séparation de la chasse alimentaire et de loisir.

Les hordes d’individus qui terrorisent les campagnes ressemble plus au groupe Wagner qu’au chasseur discret et solitaire de nos romans de terroir. La scape remplace cette chasse alimentaire puisque la viande de gibier est non-traçable et polluée.

Fin du monopole des chasseurs sur la gestion de la faune

La gestion actuelle, dominée par les chasseurs, se limite à une « biodiversité cynégétique » (espèces chassables), au détriment des équilibres naturels. Cette approche met en péril la vraie biodiversité, y compris les prédateurs naturels (loups, renards) et les espèces protégées.

Arrêt des subventions disproportionnées à la chasse

Sous Macron, les aides publiques à la chasse ont explosé (passant de 10 000 € en 2017 à plus de 4,5 millions d’euros en 2023). Ces fonds doivent être réorientés vers un retour,  à l’équilibre de la vraie biodiversité.

Interdiction totale du plomb de chasse

l’obligation de respecter l’interdiction de rejeter 6500 tonnes de plomb de chasse chaque année dans la nature. les automobilistes ont abandonné l’essence au plomb dès les années 2000.

Réduction drastique des espèces chassables

La réduction des espèces chassables, aux seules espèces consommables et abondantes, et l’obligation de respecter les moratoires et la loi. Les dérogations abusives doivent cesser.

Abolition des « chasses traditionnelles »

Ces pratiques (gluaux, tendelles, chasse à courre) ne sont que des anachronismes légalisations républicaines, d’anciennes techniques de braconnage de survie, sous la royauté.

Interdiction des pratiques cruelles (déterrage, piégeage)

L’abolition du déterrage et autres techniques abjectes pour martyriser, sans raison autre que par sadisme, des animaux innocents et sans défense.

Création d’une police rurale indépendante

La mise en place d’une police rurale de proximité, assuré par une police environnementale d’État, formée, impartiale et indépendante des intérêts des chasseurs.

Démocratisation de l’OFB

L’Office Français de la Biodiversité (OFB) est monopolisé par les chasseurs. Nous demandons sa recomposition pour y intégrer proportionnellement les citoyens opposés à la chasse.

Création d’un fonds

pour financer le réensauvagement des terrains de scape et réparer les dégâts d’une gestion partisane. (Destruction de nuisible, élevage de gibiers…)

Soutien à la paysannerie.

Pour que les paysans ne travaillent pas dans une nature stérile et industrialisé. Nous exigeons le remplacement des petits prédateurs de la liste des nuisibles, par leurs proies qui détruisent les moissons.
Les renards tués à la chasse coutent 240 millions d’euros aux agriculteurs (INRAE)

Sécurisation de la nature pour tous

Une refonte totale des lois cynégétiques, pour retrouver une utilisation sereine de la nature et le droit de pouvoir y observer la faune locale.

La protection de l’état contre une activité inutile et dangereuse

La protection contre le tir aléatoire sur cibles vivantes (et mouvantes) dans un milieu ouvert, ne doit plus être confié à la Bienveillance de psychopathes Nécrosadiques.
La protection physique des autres sports de tir, pourtant plus éthique et controlable, interdit tout risque d’accident.

La chasse est statistiquement l’activité la plus mortelle.
C’est un loisir bien plus nuisible et dangereux que les rodéos urbains et elle fait plus de mort que le terrorisme.
C’est un loisir bien plus nuisible et dangereux que les
rodéos urbains ou le terrorisme.
L’état devrait avoir le courage de marginaliser ce « loisir »
Pour que 99% des Français, ruraux et urbains, jeunes ou vieux, d’aujourd’hui et de demain retrouvent un peu du bonheur de vivre, comme au jardin d’éden, proche de la nature et de ses animaux apaisés.

Les cynégécides sont des faits ayant entrainé la mort d’un usager de la nature innocent par un chasseur.
Contrairement aux accidents de voitures, c’est fait sont toujours classés en « malheureux accidents de chasse », bien que ce soit statistiquement contestable. La victime peut avoir été délibérément visée.

À la décharge du coupable, il faut avouer que le législateur fait tout pour favoriser les accidents.

En accordant les dérogations de sécurité élémentaire imposée aux autres sports de tir, les chasseurs se comportent comme des intégristes soutenus par la charia d’un état cynégétique.