La scape est une activité…
artistique
Elle utilise des techniques artistiques pour capturer et partager des moments de la vie sauvage.
ancestrale
Les mythes du jardin d’Éden et les peintures rupestres montrent que l’observation de la faune remonte aux origines de l’humanité.
philosophique
La SCAPE incarne une philosophie de respect et d’harmonie avec la nature, prônant l’observation paisible plutôt que l’exploitation.
éthique
Elle prône une approche non violente et respectueuse de la faune sauvage, en opposition à des pratiques comme la chasse.
objective
La SCAPE observe la nature sans l’altérer et capture des moments authentiques pour une compréhension impartiale de la vie sauvage.
Scientifique
Elle contribue à la connaissance de la faune et de la flore par l’observation et l’immortalisation des scènes naturelles.
sportive
Elle nécessite des compétences sportives physiques et techniques pour approcher la faune sans la perturber. Mais sans compétition.
Discrète
Durable
L’observation furtive préserve les équilibres naturels de la biodiversité
Inoffensive
écologique
Elle promeut la préservation de la biodiversité et l’observation respectueuse de la nature.
politique
Elle cherche à influencer les politiques publiques pour une gestion plus équilibrée et respectueuse de la biodiversité et pour rétablir et défendre le droit de contempler la nature et la vie.
Moderne
L’évolution de Darwin est en marche, rien ne peut l’arrêter :
La chasse disparaitra pour être remplacé par la scape !
La scape n’est pas …
De la chasse !
C’est de plus en plus évident à une époque où la chasse n’est plus que le plaisir de tuer. Le gibier est élevé en batterie ou aux dépens des paysans, pour servir de cibles. Sa viande est toxique. Elle n’est pas traçable et polluée par les traitements agricoles et le plomb de chasse.
Les randonneurs confondent parfois les scapeurs et les chasseurs à cause de leur camouflage.
Il est pourtant simple de distinguer les scapeurs. Leur camouflage est discret, celui des chasseurs est orange fluo comme celui des Ouvriers de la voirie.
La législation et les chasseurs sont persuadés que les animaux ne le vois pas. C’est vrai pour certains herbivores, mais pas pour les oiseaux et les renards qui voient même les infrarouges des pièges photo.
Si le port d’équipements de protection fluo est obligatoire, c’est bien que les risques liés au tir en milieu naturel est aussi dangereux que de travailler au Bords de l’autoroute.
Le législateur conseille le gilet fluo à tous les usagers de la nature. Il hésite à l’imposer et à interdire la circulation en période de chasse. Les menaces des chasseurs sont généralement suffisantes pour dissuader quiconque de s’y aventurer.
Cette législation contre les risques lié à la chasse est incompatible avec la nécessité de discrétion et d’accès à la faune sauvage indispensable aux scapeuses et scapeurs.
Il est urgent qu’une association fasse interdire l’entrave à une action de scape comme pour les chasseurs.
De la chasse photo !
L’objectif de la chasse photo est d’obtenir de belles images. C’est une bonne alternative à la chasse, mais elle ne lui est pas philosophiquement opposée.
Que l’on chasse les animaux ou leur image, le but est de s’approprier quelque chose. S’approprier l’image d’un animal sauvage, peut sembler anodin, sauf si tous les moyens sont bons pour se l’approprier. On voit même des photos d’animaux tués pour une mise en scéne.
Les IA de création d’images devraient rendre obsolète cette chasse photo.
Le but à la scape est d’observer ces scènes de vies sauvages. Son immortalisation en photos ou autre n’est qu’un moyen de témoigner et de partager ces observations. Elles n’ont aucun intérêt pour la scape, si ce sont des œuvres purement esthétique ou imaginative.
C’est pour cela que des personnes payent des sommes colossales pour aller regarder et photographier la chasse d’un lion en Afrique, plutôt que de lui tirer le portrait dans un zoo.
L’émotion que procure l’observation à proximité d’un animal sauvage n’a rien de commun avec celle du même animal dans un zoo ou un élevage.