
Affiche manifeste pour la scape

Les IA ont l’avantage de pouvoir trouver les chiffres et les preuves que nous cachent les journalistes et l’état.
L’inflation délirante des subventions de la chasse, n’est pas une décision politique. Elles sont le fait du prince. Comme dans l’Amérique Trumpienne, elle favorise ses amis et bâillonne les associations et les scientifiques.
Alors que sous la Macronie les services publics rentables ont été privatisés et les autres ont vu leurs subventions baisser, celles de ses amis chasseurs sont passés de 27 000 euros en 2017 à 6,3 millions d’euros en 2021.
Plus 40 millions d’euros par an pour des actions liées à la biodiversité :
28 000 hectares de cultures sont déclarés détruits chaque année par « leurs » sangliers.
Les chasseurs, après avoir multiplié par trois le nombre de leur proie favorite, qu’ils devaient réguler, sont débordés par la population de sangliers.
Ils exigent, maintenant, que ces indemnisations soient prises en charge par tous les français.
200 millions de tonnes de grains détruit par les mulots sauvés des dents des renards tués par les chasseurs.
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En massacrant les prédateurs de « leurs » faisans d’élevage relâchés illégalement dans la nature, pour servir illégalement de gibier illégal, donné illégalement aux associations caritatives, pour empoisonner les pauvres. Les chasseurs sauvent des mulots agrestes.
Ce sont les proies principales des renards, qui mangent les mulots qui détruisent les cultures.
Voici le calcul d’une IA de la quantité de grains détruits à cause des chasseurs :
Total de mulots : 15 milliardsConsommation annuelle : 15 milliards * 15 g/jour * 365 jours = 82,125 millions de tonnes
Total de mulots : 145 milliards.
Consommation annuelle : 145 milliards * 6 g/jour * 365 jours = 317,55 millions de tonnes.
Ces calculs sont des approximations et ne tiennent pas compte de l’utilisation massive de pesticides par les agriculteurs.
Ils illustrent néanmoins l’ampleur potentielle de l’impact de la suppression des renards et autre ESOD sur les populations de rongeurs et leur consommation de céréales.
Les chasseurs, comme les politiciens, sont passés maitre dans l’art de présenter des arguments fallacieux. Mais ce n’est pas parce qu’ils les présentent bien, que les électeurs ne se rendent pas compte qu’on se moque d’eux.
Les chasseurs affirment qu’ils sont moins dangereux que les conducteurs de voiture.
Statistiquement, c’est faux !
La scape a utilisé une Ai pour calculer de la dangerosité des chasseurs et des automobilistes.
Ce calcul compare le nombre de victimes, au nombre d’heures de dangerosité annuelle de chaque activité.
Le résultat est sans appel :
Les IA peuvent remplacer les agences de statistique. Il suffit de bien poser la question :
Les outils ne sont dangereux que lorsqu’on les utilise. Le danger ne vient pas de l’outils mais de l’usage que l’on en fait.
Comparer statistiquement la dangerosité de cet usage sur une année est une aberration, si l’un des outils est utilisé un million de fois plus que l’autre. C’est ce qui rend la voiture plus dangereuse que tous les autres outils, dont les armes à feu.
Ainsi, les chasseurs ne sont dangereux que pendant un court laps de temps (au moment du tir), tandis que les conducteurs présentent un danger durant toute la durée de la conduite.
Grace au IA, il est maintenant possible d’avoir accès aux données qui permettent de comparer statistiquement la dangerosité de la chasse et de la conduite en fonction du temps d’utilisation.
Les chasseurs ne sont dangereux que lorsque qu’ils chassent. Selon les chasseurs eux-mêmes, ce n’est que lorsque leur fusil est armé, prêt à tirer. c’est à dire quelque seconde avant le tir.
Pour établir une comparaison directe :
Cela signifie que le risque d’accident mortel à la chasse est environ 237 fois plus élevé que celui associé à la conduite automobile.
En conclusion :
Dans l’absolu, les chiffres semblent indiquer que la chasse cause moins de mort que la route. Une analyse plus fine révèle que le risque associé aux actions de chasse peut être considérablement plus élevé et pose des questions importantes sur la sécurité publique et la gestion responsable des activités cynégétiques.
Parce que les chasseurs aiment tuer et que le législateur leur en donne le droit, jusque chez vous, dans le bac à sable de vos enfants.
Pour ne pas chagriner le « pauv chasseurs » l’état refuse de prendre des dispositions techniques ou législatives pour protéger les autres usagers.
Bien que le tir, en milieu ouvert, sur cibles vivantes, soit le plus aléatoire, c’est le moins restreint légalement et physiquement de tous les sports de tirs.
L’état compte uniquement sur le sens des responsabilités d’une communauté réuni autour du seul plaisir de tuer. La chasse est devenue un élevage d’animaux cibles.
Si le nombre d’accidents mortel baisse, c’est dû à la terreur des usagers qui préfèrent se cloitrer chez eux et se priver de leur loisir de nature.
Les ministres qui ont favorisé les « accidents » cynégétiques devraient être responsables de ces cynégécides.