la scape

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SCAPE

L’alternative
à la chasse

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Juge et partie à géométrie variable !

Le parallèle révèle l’incohérence des partis politiques :

Concernant France Terre d’Asile : Une partie de la droite critique cette association en dénonçant un conflit d’intérêts : elle assure à la fois l’hébergement des demandeurs d’asile (activité financée) et plaide pour leurs droits. Le reproche sous-jacent est qu’elle aurait économiquement intérêt à l’augmentation du nombre de réfugiés accueillis.

Concernant la chasse : Les écologistes et l’association SCAPE adressent exactement la même critique aux fédérations de chasseurs : celles-ci gèrent les populations d’animaux sauvages tout en ayant intérêt à préserver des effectifs suffisants pour pratiquer leur activité. Elles vont même jusqu’à réintroduire certaines espèces pour alimenter le gibier.

La contradiction : Certains élus de droite qui dénoncent vigoureusement le double rôle problématique de France Terre d’Asile défendent simultanément le système cynégétique où les chasseurs administrent eux-mêmes la faune. Pourtant, la structure est identique : dans les deux situations, on confie la gestion d’une ressource (personnes migrantes ou animaux) à des acteurs qui ont un intérêt direct – financier ou ludique – à son maintien ou à son développement.

Cette double lecture illustre comment un même mécanisme peut être dénoncé chez l’adversaire politique tout en étant légitimé dans son propre camp idéologique.

Un parti politique opposé à la chasse

Un parti politique opposé à la chasse, ça n’existe pas !
Pourtant, un parti qui prendrait le risque de s’opposer aux chasseurs risquerait de perdre un million d’électeurs potentiels, mais gagnerait des centaines de millions d’électeurs exaspérés par la chasse moderne. 
Il lui suffirait de proposer une alternative comme la SCAPE pour gérer éthiquement la faune sans détruire la biodiversité.
La chasse de loisir n’a de chasse que le nom.