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SCAPE

L’alternative
à la chasse

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mille et une raisons de detester la chasse et d’aimer la scape

Il y a mille raisons de détester la chasse, mais il y en a une d’aimer la scape : C’est la seule alternative !

La chasse-alimentaire à disparue dans tous les pays où l’élevage peut la remplacer avantageusement. La chasse est devenue un loisir ou quelques frustrés de pouvoir, jouent à la guéguerre contre la faune sauvage, ennemi imaginaire et sans défense.
Tuer est ce qui distingue la chasse des autres loisirs de tir ou de jeux de guerre comme le paint ball.
Le gibier culinaire d’antan est remplacé par des animaux d’élevage qui ne respecte aucune contrainte de bien-être animal, ni aucune norme sanitaire. Le gibier est pollué par les plombs et les pesticides. Sa consommation est fortement déconseillée.
Le plaisir de la chasse est donc uniquement le plaisir de tuer. Tous les autres arguments peuvent être trouvés dans d’autre activité. On ne peut pas interdire aux gens d’aimer tuer, mais on peut exiger de l’état d’arrêter de soutenir ce « loisir ». La scape peut assurer les missions de services publique que l’état a confié aux chasseurs. Il suffit de lui en donner les moyens !

Comme dans la publicité des chasseurs, de nombreuses personnes sont chasseuses parce que c’est une obligation pour certaine intervention dans la nature. Les garde-particulier sont obligatoirement des chasseurs, si leur rôle est de protéger contre la chasse. Comme si, seul un assassin peut être garde du corps !

La chasse alimentaire n’existe plus, La viande de gibiers n’est pas traçable et déconseillée à la consommation. Elle est empoisonnée par les traitements agricoles et les plombs de chasse. En ‘exploitant la venaison » la chasse-loisir concurrence les éleveurs, sans respecter aucune de leur contrainte sanitaire.

Ce loisir barbare ne perdure que par la protection des élus, qui généralement, pratiquent ce ‘loisir’. Le plaisir de tuer est pourtant contradictoire avec l’empathie nécessaire à cette fonction.

Le papy, chasseur solitaire des romans de terroir, a depuis longtemps raccroché son fusil.
La sympathie qu’inspirent, les rares qui subsistent, n’est qu’un prétexte que citent les hordes de tueurs des champs. Il oublie que le braconnier Raboulliaux a aussi évolué en dangereuse mafia

La loi affirme que les chasseurs contribuent au maintien, à la restauration et à la gestion équilibrée des écosystèmes en vue de la préservation de la biodiversité.
Il est donc illégal de dire ou de prouver que c’est faux.
Dans notre France laïque, le code rural est devenu un Évangile cynégétique. L’art de tuer est légalement un « art de vivre » aussi protégé que le Coran dans un état islamique.

Les intérêts revendiquées des chasseurs sont à l’opposé de ceux de la nature et de la biodiversité. Ils dénaturent la biodiversité, favorisent la reproduction des ongulés destructeur de cultures et de forêts et détruisent les prédateurs qui régulent les rongeurs. Les groupements agricoles et forestiers contestent de plus en plus la gestion cynégétiques de la faune sauvage. Ils commencent à comprendre que leurs intérêts sont diamétralement opposés et que la location du droit de tuer des animaux qui ne leur appartiennent pas ne compensent pas les dégâts de leur surpopulation.
L’entrisme politique des lobbies cynégétique, a transformé le code rural en véritable charia cynégétique. Les fédérations de chasseurs siègent dans tous les organes de décision. Elles rédigent les règlements. Elles votent les quotas. Elles se contrôlent elles-mêmes.
Confier la gestion de la faune sauvage aux chasseurs est un choix politique absurde. Il est contraire aux intérêts des exploitants professionnels, à ceux des usagers de la nature et à ceux de la SCAPE. C’est un choix politique justifié par l’absence d’alternative établie. La scape comble ce vide.

C’est une évidence interdite : La chasse est les plus mortelles activités humaines et elle ne tue pas que des animaux. C’est aussi le plus mortel sport de tir et statistiquement la plus dangereuse de toutes les activités : Le nombre de morts, par unité de temps de tir, est des milliers de fois plus important que celui par unité de temps de conduite, de ski ou de toute autre activité à risque.
Mais ce n’est pas une évidence pour l’état qui a confié la sécurité de la chasse… aux chasseurs ! Aucune contrainte physique n’entrave le risque de blesser ou tuer une personne, comme c’est le cas pour toutes les activités à risque.

La Scape est le concept d'une activité ancestrale alternative à la chasse.
Il permettra aux usagers de la nature de choisir s'ils la préfèrent avec ou sans animaux sauvages vivants et visibles et avec ou sans bruits et risques mortels.

Cet article renforce le document fondateur de la scape.

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