Séparation de la cynégétique dogmatique et de l’état laïque __

Peut-on requérir une séparation de la cynégétique dogmatique et de l’état laïc ?

La séparation de la cynégétique dogmatique et de l’État laïc est une revendication qui peut être portée par des associations ou des mouvements citoyens. La cynégétique, ou la chasse, est souvent régulée par des lois et des politiques publiques, ce qui peut être perçu comme un soutien implicite de l’État à cette activité.

Requérir une séparation signifie demander que l’État ne promeuve ni ne soutienne la chasse en tant qu’activité, et qu’il adopte une position neutre ou même favorable à des alternatives respectueuses de la biodiversité et des usagers de la nature. Cela pourrait inclure :

  1. Neutralité de l’État : L’État ne devrait pas promouvoir la chasse ni financer des activités ou des organisations liées à la chasse.
  2. Promotion d’alternatives : Soutenir des activités alternatives comme l’observation de la faune (SCAPE), qui respectent la biodiversité et les usagers de la nature.
  3. Régulation douce : Mettre en place des méthodes de régulation de la faune sauvage qui ne reposent pas sur la chasse, mais sur des pratiques douces et efficaces.
  4. Accès à la nature : Garantir le droit pour tous d’accéder gratuitement à la nature et à toute sa faune, sans être contraints de soutenir la chasse.

Cette revendication peut être portée par des associations comme SCAPE, qui promeut une gestion plus naturelle de la faune sauvage et de la biodiversité, en remplacement de la chasse. Pour faire avancer cette cause, il est important de sensibiliser le public, de mobiliser les citoyens et de dialoguer avec les décideurs politiques.

l’ONG

La défense de l’environnement concerne la terre entière. La scape à donc vocation à élargir son influence aux autres pays et devenir une ONG

La France n’est qu’une étape pour lutter contre l’hégémonie cynégétique et abolir le soutien politique et législatif au plaisir de tuer.

Le droit d’EDEN

Nul n’est censé chasser sur autrui sans son autorisation.

Mais la réalité est plus nuancée. Comme l’explique maître adeline-paradeise, dans son blog

N’ayant aucune concurrence dans l’usage de la faune sauvage, les chasseurs considèrent que, par défaut, un propriétaire ne peut qu’être favorable à ce que l’on chasse chez lui.

Le droit de chasse est lié au droit du sol. En absence d’alternative les propriétaires se voient imposer une philosophie sectaire, dont ils peuvent sortir personellement par une démarche volontaire, mais qui reste lié à sa propriètè, ce qui entraine un défaut de concurence. Si un propriètaire peut s’opposer à la chasse, ce droit est assorti des plusieurs obligations, contraintes, menaces et ne sera établi dans le pire des cas qu’après 5 ans. Mais, lorsque la personne perd ses droits de propriété, le droit de chasse est automatiquement rétabli. Le droit d’EDEN rétabli un juste équilibre en liant EN MÊME TEMPS le droit de tuer et le droit d’observer à la propriété. Les propriétaires doivent choisir librement l’usage qu’ils souhaitent faire la faune sauvage et accorder ou non ce droit à autrui. Les mêmes règles s’appliquent au droit de chasse et au droit d’EDEN.

Cette législation s’inscrit dans la suite logique des libertés de conscience et de non-discrimination des usagers dans un pays démocratique et laïque. Nul ne peut être discriminé pour ses orientations, religieuses, sexuelles, et … naturalistes.