Les 5 grands principes du droit de l’environnement ?

les 5 grands principes du droit de l’environnement sont :
  • L’environnement fait partie de la nation. …
  • Le principe de précaution ou prévention. …
  • Le principe pollueur-payeur. …
  • Le principe de participation. …
  • Le principe de l’utilisation durable. …
  • Le principe de non-régression.
  • L’environnement fait partie de la nation. …
  • Le principe de précaution ou prévention. …
  • Le principe pollueur-payeur. …
  • Le principe de participation. …
  • Le principe de l’utilisation durable. …
  • Le principe de non-régression.

L’immortalisation des observations

L’observation & l’immortalisation sont les bases de science, la naissance d’Homo sapiens (l’homme sachant).

La civilisation a commencé lorsqu’Homo sapiens à su immortaliser ses observations sur le mur des cavernes.
Le plaisir de partager ses observations est toujours présent.

La photographie est la principale technique de partage.
Le dessin, la peinture, la littérature et les techniques artistiques sont toujours utilisés
La littérature, le son et la vidéo, sont plus adaptés à la description ou l’enregistrement de scènes de vies puisqu’ils transmettent le mouvement.

La chasse ! C’est traditionnel.

La prédation ayant raréfié les espèces sans défense contre les humains, tuer est devenue un privilège réservé aux dominants. À la révolution, ce privilège n’a pas été abolie, il a été élargi à tous les propriétaires fonciers. Principalement les paysans à qui on avait distribué les terres.
Cet accès de masse à une viande gratuite, a provoqué une extermination rapide des espèces gibier.

La raréfaction du gibier et les restrictions qui s’ensuivirent, ont rendu la chasse alimentaire trop chronophage, elle est devenue ce qu’elle est aujourd’hui : un simple loisir.
Les seules traditions restantes sont folkloriques et culinaires. Le folklore des chasses à courre est trop imprégné de royalisme pour des Français républicains et la viande de gibier ne correspond plus aux normes sanitaires actuelles. Elle est fortement déconseillée par les autorités sanitaires.

l’observation des scènes de vies

L’observation des autres terriens que sont les animaux sauvages, précède la chasse. Les premiers humains étaient principalement végétariens. Comme les primates les plus proches d’eux, ils consommaient sans doute des insectes et récoltaient occasionnellement des animaux blessés, malades ou facilement accessibles, pour combler leur besoin de protéines.
Comme tous les grands prédateurs, ce n’est qu’après avoir transmis leurs observations du comportement de leurs proies, qu’ils ont appris à chasser, à tuer, à dominer, à guerroyer !
« C’est depuis lors qu’ils sont civilisés, les singes de mon quartier » comme chantait Jacques Brel.

À cette époque, l’observation des scènes de vies sauvages ne s’appelait pas la scape, tuer pour manger, ne s’appelait pas non plus la chasse.
La tradition ne donne pas plus de légitimité à la chasse.

Qui est à l’origine du concept ?

Le concept de SCAPE est suffisamment novateur pour devoir expliquer la démarche qui a conduit à le créer et l’intérêt de le développer.

Qui est l’initiateur de la scape n’a aucune importance.
On l’appellera SAM.

Ce n’est pas un secret, en cherchant bien, vous trouverez sans doute son nom, mais ce n’est pas le seul ni le meilleur représentant de la scape.
Cette discrétion est un choix qui interdit aux malfaisants médiatiques et autres, de critiquer les amis, les proches ou le représentant de ce concept, puisque le concept lui-même, n’est pas critiquable.

Vouloir connaitre le concepteur de scape, c’est comme vouloir connaitre celui de la musique, de la danse, de la marche, de la pêche ou de la chasse.
Ce sont des activités, Qui les a inventés, ? On s’en fout ! Qu’on les aime ou pas. Elles existent, on n’y peut rien !

Mais, si observer et immortaliser des scènes de vies, existe depuis que l’homme a peint les murs des cavernes, on n’avait jamais éprouvé le besoin de lui donner un nom.
C’est pourtant l’origine de la science et de nos civilisations.

Cette absence de reconnaissance l’a fait ignorer ou mépriser par le législateur lors de la création des lois de la chasse.
Ces deux activités se ressemblent, mais elles sont incompatibles.

La législation qui protège, plus qu’elle n’encadre, le plaisir de tuer, est souvent une entrave à la scape.